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vendredi 10 avril 2015

Le partage de GIF animés avec Youtube



La plateforme vidéo YouTube expérimente le partage de GIF animés à l'aide d'un nouvel outil d'édition dédié, de la même manière qu'il est déjà possible de partager une vidéo par courriel, via un lien hypertexte ou un code à copier/coller.
Le GIF animé, qui permet de décrire une émotion en une petite animation de quelques secondes tournant en boucle, est devenu incontournable sur internet, qu'il s'agisse d'illustrer d'un billet sur un blogue ou de communiquer sur les réseaux sociaux.

L'outil mis en place par YouTube permet de sélectionner un extrait de vidéo d'au maximum 6 secondes afin d'en faire un GIF animé. Le résultat prend la forme d'un code à insérer sur n'importe quelle page web.
Cette fonctionnalité n'est pour le moment disponible que via une toute petite sélection de vidéos, notamment celles publiées par PBS Idea Channel. Dans ce cas, il suffit de se rendre dans le menu «Partager de la vidéo» et de sélection «GIF».
Outre le fait de permettre l'édition de séquences plus ou moins amusantes, ce nouvel outil, s'il est généralisé, pourrait bien représenter une alternative aux vidéos Vine, elles-mêmes courtes de quelques secondes et propriétés de Twitter.


Source.:

jeudi 9 avril 2015

Le secret de la vie Éternelle ?




Une théorie en vogue soutient que la clé du vieillissement réside à l’extrémité de chaque brin d’ADN, une partie appelée télomère. On peut comparer les télomères aux embouts en plastique des lacets de chaussures, conçus pour éviter que ceux-ci s’effilochent. Des scientifiques ont observé que chaque fois qu’a lieu la division cellulaire, les télomères raccourcissent comme un fil de fusible qui fond. Il semble que, finalement, les télomères rétrécissent au point que la cellule cesse de se diviser. Toutefois, la présence d’une certaine enzyme inhibe le rétrécissement des télomères, ce qui offrirait aux cellules la possibilité, selon la théorie, de continuer à se diviser indéfiniment. Le président d’une société engagée dans ce genre de recherches a déclaré : “ C’est la première fois que nous sommes en mesure d’envisager l’immortalité. ” Cependant, les scientifiques ne sont pas tous unanimes.
Les cellules normales perdent très tôt, au cours du développement, leur possibilité de synthétiser la télomérase tandis que les cellules cancéreuses conservent cette possibilité qui leur confère une capacité infinie de multiplication. En l'absence de thérapeutique efficace, cela condamne paradoxalement à mort l'organisme au sein duquel elles ont acquis une apparence d'immortalité. Et ajoutons encore que c'est en usant  de tels mécanismes que l'on parvient, à des fins scientifiques et médicales, à rendre «immortelles» des cellules cultivées in vitro.

 Les télomères raccourcissent avec l’âge, l’inflammation et le stress. Des études ont montré que des télomères courts sont associés à un risque plus élevé de maladies liées à l’âge2.Un raccourcissement plus important des télomères serait un marqueur de risque de maladies cardio-vasculaires chez les hommes d'âge moyen7.Plusieurs maladies de vieillissement prématuré (tels que le syndrome de Zinsser-Engman-Colea) et cancers seraient liés à la présence de télomères de petites tailles.
 

Quand le télomère devient trop court, il ne joue plus son rôle protecteur: la partie enroulée se déroule. La cellule va interpréter ceci comme une corruption de son ADN, entrer en sénescence et stopper sa croissance. De tels télomères trop raccourcis peuvent aussi provoquer une fusion de deux chromosomes. Comme de telles altérations ne sont pas réparables dans les cellules somatiques ordinaires, elles peuvent provoquer une apoptose.Il a déjà été montré que le stress et le tabagisme pouvaient causer un raccourcissement des télomères.
Ces résultats valident ainsi certaines théories sur la signification de la longueur des télomères. Ils ne font état d’aucune relation de cause à effet. Un long télomère n’influence pas la durée de vie. Il informe juste sur la probabilité de vivre longtemps.
Plusieurs maladies du vieillissement (dont la progeria, caractérisée par un vieillissement très précoce) sont provoquées par un raccourcissement télomérique excessif. Les organes se détériorent d'autant plus que leurs cellules constitutives meurent ou entrent en sénescence.
La plupart des cancers produisent de la télomérase, mais souvent à un stade tardif, la cancérogénèse débutant par une érosion importante des télomères8.
Le maintien des télomères étant un facteur-clé dans l'immortalité des cellules cancéreuses, l'inhibition de la télomérase est une voie prometteuse pour le traitement de certains cancers.

Donc,si la mort arrive avec le cancer il est causé par 60% de cause connu,comme l'environnement,la pollution,mauvaise alimentation ,tabac,alcool,la sédentarisme,le stress et de 40 % de cause inconnu (le télomère de l'ADN).

Conclusion: La seul solution pour vivre éternellement, est de conbtrôler le 60% des causes du cancer ,oui mais le stress lui est l'élément le plus difficile  a contrôler.

Le stress, la peur d'avoir peur,la petite voix dans la tête qui vous fait paniquer, c'est elle qui vous même jusqu'a la mort.L'Égo ,le péché original en fait parti.
Il ne faut pas l'écouter, et de n'avoir jamais peur, il faut être capable de gérer son stress,car sans le stress les télomères rétrécistes moins vite,et vous vivrez facilement 15 a 20 ans de plus ! L'Homme est fait pour vivre 125 ans ! Et si vous voulez l'éternité , la vrai , vous l'avez déja si l'Esprit-Saint vous habite !




Source.:

dimanche 5 avril 2015

Votre employeur peut espionner vos communications car le déchiffrement HTTPS est parfaitement « légitime »



Votre employeur peut espionner vos communications chiffrées, et la CNIL est d’accord

La Commission nationale informatique et libertés donne sa bénédiction au déchiffrement des flux HTTPS des salariés, à condition que cette pratique soit encadrée. Il reste néanmoins une zone de flou juridique côté pénal...

 

 

Saviez-vous que certains employeurs déchiffrent systématiquement les flux HTTPS de leurs salariés lorsqu’ils surfent sur Internet ? Ils disposent pour cela d’un équipement appelé « SSL Proxy » qui se place entre l’utilisateur et le serveur Web. Cette boîte magique déchiffre tous les échanges en usurpant l’identité du service interrogé (google.com, par exemple), par l’utilisation d’un certificat bidon. La pratique n’est pas du tout récente, mais se fait de manière un peu cachée en raison d'incertitudes juridiques et de l'impopularité de cette mesure auprès des salariés. Les directeurs informatiques n’ont, par conséquent, pas une folle envie d’en faire la publicité.

Mais l’employeur peut se rassurer : la CNIL vient de publier une note qui clarifie les choses. Ainsi, la Commission estime que le déchiffrement des flux HTTPS est parfaitement « légitime », car elle permet à l’employeur d’assurer « la sécurité de son système d’information », en bloquant les éventuels malwares qui s’y trouveraient. Evidemment, ce n’est pas la seule raison : ces équipements sont également utilisés pour prévenir les fuites d’informations. Un salarié qui enverrait des documents confidentiels à un concurrent pourrait, ainsi, être facilement repéré.

Infraction pénale ou pas ?

Toutefois, la CNIL met un (petit) bémol. L’utilisation de cette technique de surveillance doit être « encadrée ». Ainsi, les salariés doivent être informés en amont et de manière « précise » sur cette mesure : raisons invoquées, personnes impactées, nature de l’analyse effectuée, données conservées, modalités d’investigation, etc. L’employeur doit également mettre en place une « gestion stricte des droits d’accès des administrateurs aux courriers électroniques ». Autrement dit : éviter que tous les membres du service informatique puissent fouiller dans les messageries. Par ailleurs, les « traces conservées » doivent être réduites au minimum.

Il reste néanmoins une petite zone de flou juridique, nous explique la CNIL. En effet, le Code pénal interdit théoriquement « d’entraver ou de fausser le fonctionnement d’un système de traitements automatisés de données (STAD) ». Or, quand l’entreprise déchiffre les flux Gmail de ses salariés, on peut estimer que cela fausse le fonctionnement du STAD d’un tiers, à savoir Google. Cela pourrait donc constituer une infraction. Conclusion de la CNIL : il faudrait peut-être modifier le Code pénal pour que l’employeur puisse réellement surveiller ces flux chiffrés en toute tranquillité. Décidément, la situation n'est pas encore totalement claire... 

A lire aussi :
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Source :
CNIL