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mardi 23 avril 2024

Les IA comme ChatGPT aident-elles réellement les étudiants en informatique ?

 Les IA comme ChatGPT aident-elles réellement les étudiants en informatique ?

@KORBEN  —  15 AVRIL 2024




Vous êtes un étudiant en informatique, tout frais, tout nouveau, et on vous balance des exercices de programmation à faire. Panique à bord !



Mais attendez, c’est quoi ce truc là-bas ?


Ah bah oui, c’est ChatGPT, votre nouveau meilleur pote ! Il est capable de résoudre vos exos en deux temps trois mouvements, grâce à des techniques de traitement du langage naturel (NLP) et d’analyse de langage de programmation, mais attention, c’est pas si simple.


Des chercheurs ont voulu creuser la question et voir comment ces générateurs de code IA influencent vraiment l’apprentissage des étudiants et pour cela, ils ont réalisé 2 études. Dans la première, ils ont pris 69 étudiants, des novices complets en Python et les ont séparés en deux groupes : Ceux qui utiliseront l’IA et ceux qui coderont à l’ancienne sans IA.


Durant 7 sessions, ils leur ont donné des exos à faire. Les Jedis boostés à l’IA avaient accès à un générateur de code basé sur Codex, un modèle d’apprentissage automatique qui utilise le NLP et l’analyse de langage de programmation pour générer du code à partir des entrées des utilisateurs. Les autres, eux, devaient se débrouiller.




Résultat des courses ?


Les dev augmenté à l’IA ont cartonné ! Ils ont fini 91% des tâches contre 79% pour les autres. En plus, leur code était beaucoup plus correct. Toutefois, sur les tâches où il fallait modifier du code existant, les deux groupes étaient au coude à coude. Ensuite, ils ont fait passer des tests de connaissance aux étudiants, sans l’IA. Et là, surprise ! Les deux groupes ont eu des scores similaires. Mais quand ils ont refait les tests une semaine plus tard, les étudiants du goupe boosté à l’IA ont mieux retenu ce qu’ils avaient appris.


Dans la deuxième étude, les chercheurs ont analysé comment les étudiants utilisaient vraiment le générateur de code. Et là, révélations ! Certains en abusaient grave, genre copier-coller direct la consigne sans réfléchir. Pas cool ! 😅 Mais d’autres étaient plus malins et s’en servaient pour décomposer le problème en sous-tâches ou vérifier leur propre code.


Alors, que faut-il en retenir ?


Et bien que l’IA peut être un super outil pour apprendre à coder, mais à condition savoir l’utiliser intelligemment. C’est pourquoi les concepteurs d’outils et les profs doivent encourager une utilisation responsable et auto-régulée de ces générateurs de code. Sinon, c’est le drame assuré !


Pour ma part, vous le savez, le développement, c’est pas mon truc. Mais depuis que l’IA a débarqué dans ma vie, « sky is the limit » et ça m’aide énormément. Et comme ces étudiants, si je pose mon cerveau que je passe en mode copié-collé IA, à la fin, je vais avoir du caca. Mais si je comprends ce que je veux faire, si je maitrise mon code plus comme un chef de projet bien technique et bien c’est redoutablement efficace. Et ce qui est encore plus cool, c’est que j’apprends plein de trucs. On dit souvent qu’il faut forger pour devenir forgeron. Et bien là c’est le cas, car je ne m’encombre plus des problématiques de syntaxe, et je construis brique par brique mes outils en comprenant tout ce que je fais. Donc l’IA pour développer, oui !! Mais en laissant le cerveau allumé.



En tout cas, une chose est sûre, c’est en train de révolutionner l’apprentissage du code. Ça promet pour le futur mais faudra veiller à ce que les étudiants apprennent vraiment à faire les choses et ne deviennent pas des zombies du copier-coller (on avait déjà le souci avec StackOverflow, cela dit…).


Source: https://korben.info/apprendre-a-coder-avec-ia-etude-generateurs-code-novice.html?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR15JsvlYvQW5lBrETlHSGEzlyMIY5wiGvGB2maL072k9lICgppGiqCdDY4_aem_AXx0SIaNIrUd1AldUpIuyLa5TBf3QwMllDPwihNeyuagsLcyx6uZKwHoo1ZW-qAzHFs4UFx0TR5_EMZgrFKa4BKs

Voici Palmsy : le réseau social qui va (vraiment) vous faire du bien;-)

 Voici Palmsy : le réseau social qui va (vraiment) vous faire du bien;-)

Vos contacts téléphoniques deviennent vos abonnés fictifs.


Publié le 15 avril 2024 à 07:59Par Sami Trabcha




Ce qui nous rend accros aux réseaux sociaux, c’est le boost de dopamine que le cerveau sécrète après avoir consommé un contenu qui lui plaît. C’est l’aspect « plaisir » de la chose. Il y a également un autre aspect à prendre en compte, qui est au passage encore plus pervers, mais concerne beaucoup moins d’utilisateurs.



Il s’agit de la gratification par la réaction d’autrui, autrement dit, c’est le fait de recevoir des réactions, comme des likes ou des commentaires, sur notre publication. C’est également une source de sécrétion de dopamine, mais qui cette fois-ci dépend d’autres êtres humains, et non plus d’un algorithme.


Tout le monde n’est pas comme ça bien sûr. La plupart des utilisateurs réagissent sans vraiment attendre de réaction, mais plutôt, car un sujet les intéresse. Mais pour d’autres cependant, il y a un réel enjeu émotionnel dès qu’ils postent quelque chose.


Il n’y a pas de statistique réelle sur le sujet, mais il est admis que la majorité des utilisateurs des réseaux sociaux sont uniquement spectateurs. Ils ne publient et ne commentent pas pour la plupart d’entre eux. On dit que sur l’ensemble des membres d’un réseau social, 90 % observent, 9 % commentent, et 1 % créent le contenu.



Tout ça pour dire qu’un développeur a créé une application qui joue sur ce phénomène.


Pamsy simule l’effet psychologique des “J’aime”

Screen + mockup palmy 2



L’application en question se nomme Pamsy. Elle simule un réseau social en synchronisant vos contacts iPhone, afin que ces derniers deviennent vos abonnés. Une fois que vous mettez en ligne une publication, elle sera « likée » par vos abonnés fictifs portant les noms de vos contacts téléphoniques. À chaque réaction, vous recevez une notification.


Screen + mockup palmy



Selon le développeur, Pamsy peut agir comme un remède aux réseaux sociaux classiques, en simulant le phénomène de récompense et de gratification par autrui via de fausses réactions, comme précisées ci-dessus.


Il s’agit cependant plutôt d’une solution à court terme, qui ne résout pas le problème de fond des personnes qui ont une réelle dépendance aux réseaux sociaux. Une addiction est la plupart du temps liée à un déséquilibre hormonal (que ce soit la cause ou la conséquence) nécessitant une prise en charge. Que ce soit une addiction aux drogues ou aux réseaux sociaux, le mécanisme est similaire.



En dehors de l’aspect lié à la dépendance, le développeur affirme que le réseau peut servir à autre chose :


Cela peut être amusant de voir des personnes auxquelles vous n’avez pas pensé depuis des années vous aimer. Cela peut également être utile pour supprimer certains contacts dont vous n’avez peut-être plus besoin


Palmsy dans l’App Store

D’autres applications comme Brizzly ou Binky proposent également l’expérience d’un réseau social fictif, mais sans les réactions. L’idée pourrait être poussée encore plus loin grâce à de faux profils utilisant l’intelligence artificielle pour animer le réseau.

REF.: https://www.iphon.fr/post/voici-palmsy-le-reseau-social-qui-va-vraiment-vous-faire-du-bien?fbclid=IwAR38JIZYBJYaFJ7-xFqyzdjFm__t4YJukm81Mgx0DYZrRiccp2wSd1T7lg4_aem_Aftp_WCQGc2IDlU1TcgSEGe0wNhtapVHpeVCLanGnY3pNVeueZPchSOYPvdLvB2ThXc

Bricolage : transformer son smartphone en machine à hologramme

 Bricolage : transformer son smartphone en machine à hologramme

Publié le 3 août 2015 à 16:29

Par Grobubu



holo-1.jpgL’iPhone peut servir à beaucoup de choses

utiles ou futiles. Aujourd’hui c’est clairement dans la seconde catégorie que

nous nous trouvons, mais il faut avouer que ce bricolage est plutôt

amusant.

Avec une simple boite de CD, je vous propose de créer ni plus ni moins qu’un

véritable hologramme en 3 dimensions. Découverte :


Postée ce week-end sur YouTube la vidéo a déjà été visionnée plus de 2

millions de fois. On y découvre comment avec un peu de papier millimétré, un

cuter et une boite de CD, on peut créer un véritable projecteur

holographique.

Une fois le petit accessoire bricolé, il ne reste qu’à utiliser une de

ces vidéos, pour voir

s’animer une méduse, un papillon en 3 dimensions

Plutôt cool non ?



source: https://www.iphon.fr/post/bricolage-transformer-son-smartphone-en-machine-hologramme-827563

Beeper : l'appli qui regroupe toutes les messageries devient gratuite pour tous

 Beeper : l'appli qui regroupe toutes les messageries devient gratuite pour tous

Maurine Briantais

16/04/24 12:05

L'appli Beeper, qui regroupe 14 services de messageries en une seule, passe entre les mains d'Automattic et sort enfin de bêta. Désormais gratuite pour tous, elle se présente comme la première messagerie universelle.



Beeper : une plateforme accessible à tous gratuitement

Beeper, l'application de chat universelle, a parcouru bien du chemin depuis ses débuts ! Regroupant pas moins de quatorze messageries différentes, elle s'est fait connaitre il y a quelques mois avec son application Android permettant de dialoguer avec le service iMessage d'Apple, même si cela n'a été que temporaire.



Basé sur un protocole de chat open source appelé Matrix, Beeper a pour but de proposer un point d'entrée unique pour toutes les messagerie. Pour y parvenir, il entend bien s'appuyer sur la notoriété d'Automattic (WordPress et WooCommerce), qui vient de le racheter, pour promouvoir la plateforme. Cette dernière "fonctionnera de manière indépendante" au sein de sa nouvelle maison.  Ce changement de main signe au passage la fin de la version bêta et de son interminable liste d'attente, le déploiement de la nouvelle version pour Android et le passage d'un modèle payant à un abonnement gratuit. Que des bonnes nouvelles donc !


Beeper : quatorze messageries en une

Aujourd'hui, il existe une multitude de services de messagerie. Outre les SMS, le RCS (Rich Communication Suite) de Google et les iMessages d'Apple, il y a aussi des applications comme Facebook Messenger, WhatsApp, Slack, Signal, Telegram, Discord, Instagram... Bref, avec tant de moyens de communication, il est facile de se perdre dans les conversations ! Beeper résout ce problème en regroupant tous ces services en une seule application – une métamessagerie en quelque sorte. Il prend actuellement en charge 14 services :



WhatsApp

Facebook Messenger,

Android SMS

Google Messages (SMS/RCS)

Telegram

Slack

X (anciennement Twitter)

Google Chat

Instagram

IRC

Matrix

Discord

Signal

LinkedIn


Du beau monde donc, même si on peut regretter l'absence des messageries de TikTok et de Snapchat. Beeper intègre, sur une seule et même interface, toutes les discussions que l'on a sur les différents services de messagerie. Un petit symbole se trouve à côté de chaque conversation afin d'indiquer quel service est utilisé. Un système d'onglet permet également de filtrer les discussions privées ou groupées. De plus, l'application propose des fonctions plutôt pratiques, comme la copie automatique des codes 2FA, la planification des messages, l'archivage et la gestion de dossiers.


Beeper : une tentative d'ajout des iMessages sur Android et Windows

Fin 2022, Beeper était brièvement parvenu à intégrer iMessages sur tous les systèmes d'exploitation. Les iMessages d'Apple sont tellement populaires et emblématiques de la marque que certains utilisateurs refusent de passer d'iOS à Android afin de continuer à les utiliser. Contrairement aux SMS (Short Message Service) – dont les données échangées ne sont pas chiffrées, ce qui permet aux opérateurs d'avoir accès aux communications de leurs clients – les iMessages sont toujours chiffrés car les données passent par Internet via le réseau Wifi ou les données mobiles. L'application est très simple à utiliser et ne demande aucun paramétrage. Les messages envoyés apparaissent dans une bulle bleue au lieu de la bulle verte des SMS. Toutefois, les iMessages connaissent une limite car ils ne fonctionnent que pour les échanges entre appareils tournant sous iOS – sinon c'est l'universel SMS qui prend le relais. Mais la plateforme Beeper a réussi à faire fonctionner les iMessages sur tous les systèmes d'exploitation, y compris Android et Windows.


Pour y parvenir, il a fallu recourir à quelques ruses – reste à savoir si Apple ne va pas contre-attaquer. L'une des premières solutions consistait à utiliser un Mac connecté à Internet et faisant tourner Beeper comme passerelle. La seconde consistait à utiliser là aussi comme passerelle un iPhone jailbreaké – dont on peut contourner les restrictions imposées aux développeurs par le constructeur – avec Beeper installé dessus. Il fallait donc impérativement posséder un ID Apple pour pouvoir obtenir et envoyer les iMessages sur les autres appareils. Beeper a joué le rôle d'intermédiaire entre l'appareil Apple et les autres. Il connectait le compte Apple à ses propres serveurs et redirige les iMessages via sa plateforme. En gros, le message envoyé passait par les serveurs de Beeper qui le redirigent vers le destinataire. Malheureusement, cela n'a duré qu'un temps... Mais l'entreprise reste optimiste pour qu'iMessages soit de nouveau pris en charge à l'avenir.




Beeper : une plateforme accessible à tous gratuitement

Beeper est disponible sous forme d'application mobile sur iOS et Android, mais également comme logiciel sur Windows, macOS ou Linux. Depuis le 9 avril 2024, il n'y a plus besoin de passer par une liste d'attente pour accéder à Beeper. Depuis que l'application a été annoncée en 2021, plus de 115 000 personnes ont participé à sa bêta test. Aussi, les équipes ont décidé d'inviter les 466 000 personnes qui attendent patiemment sur la liste d'attente, ainsi que les potentiels utilisateurs du monde entier !


Après avoir installé Beeper sur son PC, il faut se créer un compte et s'abonner. Ensuite, il faut configurer le logiciel. Il suffit ensuite de télécharger l'application sur son mobile et de se connecter à son compte. Notons avec plaisir que Beeper est désormais gratuit ! Auparavant, il fallait souscrire un abonnement de 10 dollars par mois, soit environ 10 euros TTC. Ce n'est plus le cas aujourd'hui.  Ultérieurement, l'application proposera un abonnement payant facultatif, qui comprendra des fonctions supplémentaires telles que la possibilité d'ajouter plusieurs comptes par réseau et bien plus encore.

REF.: https://www.commentcamarche.net/telecharger/communication/26517-beeper/?#v8zee5i2ila

La recherche Google est en proie à du spam SEO.

 La recherche Google est en proie à du spam SEO.

Ce n'est pas seulement vous, la recherche Google a vraiment empiré

Une nouvelle étude menée par des chercheurs allemands a révélé que la recherche Google est en proie à du spam SEO.

Cette révélation vient d'une nouvelle étude menée par des chercheurs allemands de l'Université de Leipzig, de l'Université Bauhaus de Weimar et du Centre d'analyse de données évolutives et d'intelligence artificielle. Les chercheurs ont posé la question « Est-ce que Google s'aggrave ? » en examinant 7 392 requêtes d'avis de produits sur Google, Bing et DuckDuckGo pendant un an.



Les chercheurs ont travaillé sur des rapports selon lesquels « un torrent de contenu de mauvaise qualité, en particulier pour la recherche de produits, continue de noyer toute sorte d'informations utiles dans les résultats de recherche ». Une quantité importante de résultats trouvés en réponse aux requêtes liées aux produits étaient du « spam pur et simple d'évaluation de produits SEO ».


La recherche a montré que les sites de spam sont très répandus et apparaissent en tête du classement de Google dans ce qui est « une bataille constante » entre les sites et les moteurs de recherche. En d’autres termes, écrivent-ils, « les moteurs de recherche semblent perdre le jeu du chat et de la souris qu’est le spam SEO ».


"Le référencement est une bataille constante et nous constatons des schémas répétés de spam d'avis entrant et sortant des résultats alors que les moteurs de recherche et les ingénieurs SEO ajustent à tour de rôle leurs paramètres", lit-on dans le rapport. Bien que Google, Bing et DuckDuckGo aient supprimé le spam, les chercheurs ont déclaré que cela n'entraînait qu'un « effet positif temporaire ».


Un porte-parole de Google a déclaré à Mashable que l'étude "ne reflète pas la qualité globale et l'utilité de la recherche". Ils ont souligné que l’étude se concentre uniquement sur un ensemble restreint de requêtes, à savoir la recherche de produits.


"Cette étude particulière s'est concentrée sur le contenu des avis sur les produits, et elle ne reflète pas la qualité globale et l'utilité de Search pour les milliards de requêtes que nous voyons chaque jour. Nous avons lancé des améliorations spécifiques pour résoudre ces problèmes - et l'étude elle-même souligne " Google s'est amélioré au cours de l'année écoulée et fonctionne mieux que les autres moteurs de recherche. De manière plus générale, de nombreux tiers ont mesuré les résultats des moteurs de recherche pour d'autres types de requêtes et ont trouvé que Google était de qualité nettement supérieure aux autres ", a déclaré le rapport. porte-parole.

Le générateur d'images IA de la recherche Google vous permet d'imaginer des produits et d'acheter les vraies versions

Voici comment recevoir des alertes lorsque vos informations personnelles apparaissent dans la recherche Google

TikTok peut intégrer les résultats de recherche Google dans l'application

La recherche Google dispose désormais d'un vérificateur de grammaire

La recherche Google brouille désormais automatiquement les images explicites

L'étude en question a montré que les résultats de Google se sont améliorés "dans une certaine mesure" entre le début et la fin de l'expérience des chercheurs. Pourtant, ils ont constaté « une tendance générale à la baisse de la qualité du texte dans les trois moteurs de recherche ». Avec la présence de spam généré par l’IA, la situation ne fera que s’aggraver, prévient l’étude.

"Nous concluons que le spam contradictoire dynamique sous la forme de contenu commercial de mauvaise qualité produit en masse mérite plus d'attention", ont écrit les chercheurs.


Comme le rapporte 404Media, d'autres chercheurs remarquent que Google est inondé de spam. Le Search Engine Journal, par exemple, a déclaré que Google avait été submergé « par une attaque massive de spam » en décembre 2023 – une attaque qui a duré plusieurs jours.

REF.: https://mashable.com/article/google-search-low-quality-research?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR2bV_sQgJSYGwMFsPnffmgHeHXR9iX5gJpgEuEKkdgi87gb5NoIdjLpolY_aem_AfMWffCDyrZnfA1RL4Yxlmsnfzfe2UDbiCXhvs60EUEBil2Fn1BI6ycOJQ3htJ-jntSSFjlyfQL-vXrBtYxjzHWp

Le premier concurrent de l’App Store est arrivé : voici l’AltStore

 Le premier concurrent de l’App Store est arrivé : voici l’AltStore

Apple n’en voulait pas mais les premiers concurrents de l’App Store sont arrivés. Avec l’AltStore en tête.


Le premier concurrent de l’App Store est arrivé : voici l’AltStore


Publié le 18 avril 2024 à 09:15Par Tristan Carballeda




Le célèbre développeur Ridley Testut vient d’annoncer l’arrivée de l’AltStore, une version concurrente de l’App Store. À compter d’aujourd’hui, elle peut être installée sur tous les iPhone européens qui supportent iOS 17.4 ou une version ultérieure. Pour installer ce magasin d’applications concurrent, il suffit de se rendre sur le site internet d’AltStore pour lancer le téléchargement.



En ce qui concerne les applications disponibles, Ridley Testut est pour le moment le seul développeur à avoir accès à son AltStore. Il propose donc ses propres applications, dont l’émulateur delta qu’il a lui-même mis au point et qui a permis de se faire connaître dans le monde entier. Une autre application, nommée « Clip » est-elle aussi présente dans l’AltStore. Il s’agit d’un presse-papier qui peut fonctionner en arrière-plan sur l’iPhone.


L’AltStore : le projet d’une vie

Selon ses propres mots, la création de l’AltStore représente un de ses « rêves », lui qui a commencé par créer des émulateurs sur iPhone il y a une dizaine d’années. Pour l’heure le catalogue de ce magasin d’applications est très restreint, mais il devrait s’ouvrir dans les prochaines semaines.


Ridley Testut a promis que l’AltStore serait ouvert à tous, il demande juste quelques semaines pour vérifier que tout fonctionne correctement dans son magasin avant de l’ouvrir à d’autres développeurs. En ce qui concerne Apple, la marque à la pomme ne peut légalement plus empêcher la création d’un tel magasin.


La firme de Cupertino reste cependant proche de ces avancées, elle qui demande un paiement de 50 centimes par téléchargement d’applications au-delà du premier million d’installations. C’est cette taxe, nommée CTF par Apple, qui explique que Ridley Testut ait mis en place un système de donation à l’entrée de l’AltStore. Le premier paiement est de 1 euro.

REF.: https://www.iphon.fr/post/le-premier-concurrent-de-lapp-store-est-arrive-voici-laltstore?fbclid=IwZXh0bgNhZW0BMQABHVv_H42-Yzkeo4MQO2vqyDwIA1N5pExqHELRkv2yN1Z6Ep5Hf0oBmQg5kA_aem_AcSbysGKa_hTvU2h-Oo-C5yDIxmer6hNMK4-jYMrGcOVdV7rpLF8qET_Vtq3c7tv3Dc

Meta AI l'intelligence artificielle générative dans Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp:

 

Meta AI l'intelligence artificielle générative dans Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp:

C'est quoi Meta AI dans Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp?

Publié le 18 avril 2024 Vincent Paquette

Meta, la maison mère des réseaux sociaux Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp  déploie tranquillement son intelligence artificielle générative dans ses applications. À l'aide du champ de recherche, on peut ainsi clavarder avec un agent conversationnel (chatbot) pour lui demander de générer une image ou bien de chercher du contenu dans une thématique précise.


C'est quoi Meta AI dans Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp?

Meta AI envahit les applications de Facebook, Messenger, Instagram et WhatsApp. - Meta


Depuis la fin de 2022 et le début de 2023, l'intelligence artificielle (IA) est sur toutes les lèvres dans le monde de la technologie.


L'expansion de ChatGPT d'OpenAI notamment a ouvert les yeux du monde entier sur cette technologie qui n'a pas fini d'envahir nos vies.


Toutes les grandes compagnies se lancent maintenant dans la course pour développer la meilleure IA possible.


Mark Zuckerberg et son entreprise Meta font évidemment partie du lot, alors que leurs réseaux sociaux: Facebook, Instagram, WhatsApp et Messenger sont utilisés par des milliards de personnes sur Terre.


Ainsi, à l'automne 2023, Meta donnait un premier aperçu de son modèle d'intelligence artificielle nommée: Llama.


Mais bon, ce n'est pas le nom marketing le plus sexy et il est donc mieux connu sous le nom de Meta AI.



Qu'est-ce que Meta AI et son modèle Llama?

Llama est donc essentiellement le nom du modèle linguistique développé par Meta au même titre que ChatGPT est le nom du modèle développé par OpenAI ou bien Gemini chez Google.


Llama est un modèle open source qui en est rendu à sa 3e version, donc Llama3.


C'est ce modèle qui est utilisé pour générer les réponses de l'intelligence artificielle de Meta.


Cette intelligence artificielle prend le nom de Meta AI et est progressivement implanté dans les applications et réseaux sociaux de Meta.


On parle ici de Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp.


Meta AI est essentiellement un assistant virtuel avec lequel on peut converser. À l'image de ChatGPT, il s'agit d'un "chatbot" à qui l'on peut clavarder et envoyer des requêtes ou des "prompts" en anglais.


D'ailleurs, il faut être familier avec la langue de Shakespeare, puisqu'au moment d'écrire ces lignes Meta AI répond uniquement en anglais.


Chatbot de Meta AI

Il est possible d'avoir une conversation avec le chatbot de Meta AI. Image: Meta.

 


On peut donc lui parler de tout et de rien. Même que Meta entend déployer des avatars de célébrités telles que Snoop Dog, Tom Brady ou Kendall Jenner par exemple avec qui on pourra discuter.


Reste à voir comment ce sera reçu, alors que le chatbot de Snapchat avait soulevé plusieurs questions éthiques.


Les célébrités de Meta AI

Meta AI va nous permettre de discuter avec des avatars de célébrités. Image: Meta.

 



Mais outre converser avec un robot, celui-ci a aussi pour but de nous aider.


Nous aider comment?


Bien, on peut lui poser une question sur un fait spécifique et il va chercher sur le web la réponse grâce à un partenariat avec le moteur de recherche Bing.


On peut également lui demander de générer une image avec les caractéristiques de notre choix comme on le ferait sur Dall-E ou Midjourney par exemple.


Meta AI génération d'images.

Meta AI peut modifier nos photos ou en générer de toutes nouvelles. Image: Meta.

 


Il peut également nous aider à générer des autocollants (stickers) pour nos conversations.


Meta AI génère des autocollants

On peut créer des autocollants de notre choix avec Meta AI. Image: Meta.

 


Enfin, il peut nous aider à trouver des contenus sur Facebook ou Instagram notamment.


En tapant un mot, il va nous proposer des suggestions de recherche pour trouver des publications ou des comptes liés à ce fameux mot qu'on a inscrit.


Comment utiliser Meta AI?

Au moment d'écrire ces lignes, Meta AI est en phase de test et est progressivement déployé à travers le monde pour quelques utilisateurs chanceux.


Il ne faut donc pas se mettre à chercher frénétiquement pour trouver Meta AI dans nos applications, ça se peut très bien qu'on ne l'ait pas encore.



À titre d'exemple, une personne dans notre équipe a la chance de l'avoir dans son compte Instagram et une autre l'a sur Messenger.


Il reste que c'est très facile de savoir si on l'a ou non. On a un beau message qui apparaît à l'ouverture d'une application de Meta pour nous mentionner que Meta AI est disponible.


Message quand on a accès à Meta AI

Voici à quoi ressemble le message lorsqu'on a accès à Meta AI. Image: francoischarron.com.

Ainsi, si Meta AI est disponible dans l'une de nos applications de la marque, on peut accéder à l'outil d'intelligence artificielle en appuyant sur l'icône de loupe.


On remarque un petit cercle bleu à la gauche de la barre de recherche. C'est en appuyant dessus que l'on peut commencer à converser avec le "chatbot".


Reste ensuite à voir l'accueil que réserveront les usagers à ce nouvel assistant dans leurs réseaux sociaux!


Peut-on enlever Meta AI de Facebook, Messenger, Instagram et WhatsApp?

Plusieurs personnes se sont plaintes de cet ajout dans leurs réseaux sociaux et souhaiteraient pouvoir le retirer.


Or, au moment d'écrire ces lignes, il est impossible de désactiver ou retirer Meta AI.


Il faudra voir si une option sera ajoutée dans les paramètres des applications éventuellement.


REF.: https://francoischarron.com/reseaux-sociaux/medias-sociaux/cest-quoi-meta-ai-dans-facebook-instagram-messenger-et-whatsapp/BuBSQ8JaOt/?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR1z7pDHyl2y-mVS8P-VqTgh4JnA4e4smJ4332hCbx2lehGv4aSP1a0luDI_aem_AfN8cvPxb6MVLUF5NiiiZIB_628HlNB8RDJc3IPEi0SKIwe2ekJrzH15dlKxOMFR2CDFQzX9FtB917acJ-_Y5Q2Z

 Micro$oft Store : pourquoi il ne faut jamais ouvrir cette boutique d'applications

 Micro$oft Store : pourquoi il ne faut jamais ouvrir cette boutique d'applications


Par: Téo Marciano

18/04/24 16:08

Microsoft a récemment mis à jour son magasin d'applications, le Microsoft Store, un composant logiciel essentiel du système d'exploitation Windows dont la meilleure utilisation consiste paradoxalement... à ne jamais l'ouvrir.


Si vous utilisez un PC sous Windows, vous avez sans doute déjà remarqué la présence systématique d'une curieuse icône dans la barre des tâches, représentant un panier (ou un sac) blanc avec le logo de Microsoft : elle correspond à l'application Microsoft Store, la boutique officielle d'applications de Microsoft. Une boutique que vous n'avez probablement jamais visitée : et pour cause !



La vocation première du Microsoft Store était de rapprocher la gestion des applications dans Windows de ce qui se fait sur macOS, Android ou Linux, en offrant une interface unique pour découvrir, installer, mettre à jour et supprimer des logiciels sur son ordinateur, sous la forme d'un "magasin". Historiquement, l'installation de programmes sur Windows consistait à télécharger les applications voulues sur les sites Web des différents éditeurs, sous la forme de fichiers .exe ou .msi, par exemple, puis de suivre une succession de fenêtres de paramétrage, en cliquant le plus souvent sur le bouton "Suivant" sans vraiment réfléchir.


Cette méthode d'installation, qui a dominé l'univers Windows pendant longtemps, est devenue quelque peu désuète avec la démocratisation des smartphones et leur magasins d'applications respectifs, qu'il s'agisse de l'App Store ou du Play Store, qui offrent aux utilisateurs la possibilité d'installer n'importe quel logiciel simplement, en un seul clic, de façon automatique et transparente.



La page d'accueil du Microsoft Store © CCM

Le Microsoft Store était donc censé apporter cette facilité d'usage aux utilisateurs de Windows, avec les bénéfices associés en termes de sécurité et de fiabilité des applications : plus besoin d'arpenter Internet à la recherche de logiciels, au risque de tomber sur des sites de téléchargement douteux qui proposent des versions peut-être vérolées des programmes ; une fois installées, les applications sont automatiquement mises à jour lorsque des correctifs ou de nouvelles versions sont disponibles ; le paramétrage initiale des applications, comme le choix des dossiers d'installation, est géré directement par le Microsoft Store, sans nécessiter d'actions spécifiques de la part de l'utilisateur.



Microsoft Store : une boutique d'applications toujours inutile

Malheureusement, ces objectifs initiaux n'ont semble-t-il pas été atteints et le Microsoft Store peine toujours à s'imposer comme la solution centrale de gestion des applications sous Windows. D'abord, la découverte de logiciels y est pénible, voire dangereuse. L'offre d'applications y est chaotique – pour ne pas dire pire – et on peine souvent à trouver le programme recherché. Pire, certaines applications open source bien connues y sont distribuées uniquement dans des versions… payantes ! C'est le cas, par exemple, de la très populaire suite bureautique LibreOffice, proposée au prix de 4,59 euros sur la boutique de Microsoft, alors que ce logiciel est disponible facilement et gratuitement sur le site officiel de son éditeur.



Ensuite, certaines applications populaires et très utilisées, comme le gestionnaire de notes Obsidian ou le navigateur Web Google Chrome, sont tout simplement absentes du Microsoft Store. Et pour celles qui y sont présentes, telle que le navigateur Mozilla Firefox, les fiches de présentation n'inspirent franchement pas confiance : aucune information précise sur la version proposée au téléchargement et aucune note sur les correctifs et améliorations des dernières mises à jour. On ne sait donc pas vraiment ce que l'on télécharge. De plus, si l'une des applications proposées est déjà installée par ailleurs sur le PC, le Microsoft Store ne la détecte pas, et la télécharger peut donc entraîner une double installation, générant ainsi de la confusion pour l'utilisateur, voire des conflits d'exécution. Dans le genre gestion centralisée, on a vu mieux.



Le Microsoft Store propose d'obtenir une application même si elle est déjà installée © CCM

Enfin, la fonction de gestionnaire des mises à jour d'applications du Microsoft Store n'est pas non plus satisfaisante. Seuls les logiciels téléchargés via le magasin d'applications de Microsoft sont pris en charge : toutes les applications installées directement par l'utilisateur sont laissées de côté. Un comble, quant on sait que l'excellent WingetUI, un logiciel libre que nous vous présentions ici, est capable de centraliser la gestion complète de tous les programmes et applications installés sur un ordinateur, le tout avec une interface graphique beaucoup plus claire et intuitive que celle du Microsoft Store.



WingetUI permet de gérer facilement et précisément les mises à jour d'applications © CCM

En définitive, la seule réelle utilité à l'heure actuelle du magasin d'applications de Microsoft, est de gérer les mises à jour des utilitaires intégrés par défaut à Windows (qu'on qualifie souvent d'applications "natives"), comme la visionneuse d'images Photos, l'outil de prise de notes Pense-Bêtes ou l'éditeur graphique Paint. Les correctifs, les changements et les améliorations apportés à ces programmes passent en effet par le Microsoft Store, qui s'occupent de les télécharger et de les installer dès qu'ils sont disponibles. Et le plus fort, c'est qu'il le fait automatiquement et en tâche de fond, sans aucune intervention de votre part ! Faites l'expérience : ouvrez l'application, cliquez sur l'icône Bibliothèque, située en bas du volet à gauche, et faites défiler la liste des applications dans la zone centrale. Vous y verrez toutes les applications installées avec Windows et les dates de leurs dernières mises à jour.


En l'état et presque quinze ans après la publication de sa toute première version, le Microsoft Store est donc malheureusement une boutique d'applications toujours inachevée, peu pratique et passablement inutile au quotidien. Et ce n'est pas sa dernière mise jour, publiée mi-avril 2024 et censée améliorer significativement ses performances, qui changera radicalement la donne. Ses effets en termes de vitesse d'affichage à l'ouverture de la boutique sont peu perceptibles et, surtout, elle ne corrige pas les défauts structurels du magasin : une offre logicielle assez pauvre, une recherche peu lisible envahie d'applications douteuses et une incapacité à centraliser efficacement la maintenance des programmes installés sur le PC. Pour le moment, et en attendant une véritable refonte, il n'y a donc aucune bonne raison d'ouvrir le Microsoft Store !


REF.: https://www.commentcamarche.net/informatique/windows/30881-microsoft-store-pourquoi-il-ne-faut-jamais-ouvrir-cette-boutique-d-applciations/?#b7ryq466koh

Comment notre cerveau compense les distractions numériques

 

Comment notre cerveau compense les distractions numériques

Par: Sibylle Turo, Anne-Sophie Cases - 18 avril 2024 à 11h38


Téléphone, mails, notifications... Opposé à toutes les sollicitations auxquelles nous sommes confrontés, le cerveau tente tant bien que mal de rester concentré. Voici comment.


Aujourd'hui, les écrans et les notifications dominent notre quotidien. Nous sommes tous familiers de ces distractions numériques qui nous tirent hors de nos pensées ou de notre activité. Entre le mail important d'un supérieur et l'appel de l'école qui oblige à partir du travail, remettant à plus tard la tâche en cours, les interruptions font partie intégrante de nos vies –et semblent destinées à s'imposer encore davantage avec la multiplication des objets connectés dans les futures «maisons intelligentes».


Cependant, elles ne sont pas sans conséquences sur notre capacité à mener à bien des tâches, sur notre confiance en nous ou sur notre santé. Par exemple, les interruptions engendreraient une augmentation de 3% à 27% du temps d'exécution de l'activité en cours.

En tant que chercheuse en psychologie cognitive, j'étudie les coûts cognitifs de ces interruptions numériques: augmentation du niveau de stress, augmentation du sentiment d'épuisement moral et physique, niveau de fatigue, pouvant contribuer à l'émergence de risques psychosociaux voire du burn-out.


Dans mes travaux, je me suis appuyée sur des théories sur le fonctionnement du système cognitif humain qui permettent de mieux comprendre ces coûts cognitifs et leurs répercussions sur notre comportement. Ce type d'études souligne qu'il devient crucial de trouver un équilibre entre nos usages des technologies et notre capacité à nous concentrer, pour notre propre bien.


Pourquoi s'inquiéter des interruptions numériques?

L'intégration d'objets connectés dans nos vies peut offrir un contrôle accru sur divers aspects de notre environnement, pour gérer nos emplois du temps, se rappeler les anniversaires ou gérer notre chauffage à distance, par exemple. En 2021, les taux de pénétration des maisons connectées (c'est-à-dire, le nombre de foyers équipés d'au moins un dispositif domestique connecté, englobant également ceux qui possèdent uniquement une prise ou une ampoule connectée) étaient d'environ 13% dans l'Union européenne et de 17% en France (contre 10,7% en 2018).

Si la facilité d'utilisation et l'utilité perçue des objets connectés ont un impact sur l'acceptabilité de ces objets pour une grande partie de la population, les interruptions numériques qui y sont souvent attachées entravent notre cognition, c'est-à-dire l'ensemble des processus liés à la perception, l'attention, la mémoire, la compréhension, etc.

L'impact des interruptions numériques peut s'observer aussi bien dans la sphère privée que dans la sphère professionnelle. En effet, une personne met en moyenne plus d'une minute pour reprendre son travail après avoir consulté sa boîte mail. Les études mettent ainsi en évidence que les employés passent régulièrement plus de 1h30 par jour à récupérer des interruptions liées aux courriels. Cela entraîne une augmentation de la charge de travail perçue et du niveau de stress, ainsi qu'un sentiment de frustration, voire d'épuisement, associé à une sensation de perte de contrôle sur les événements.


On retrouve également des effets dans la sphère éducative. Ainsi, dans une étude de 2015 portant sur 349 étudiants, 60% déclaraient que les sons émis par les téléphones portables (clics, bips, sons des boutons, etc.) les distrayaient. Ainsi, les interruptions numériques ont des conséquences bien plus profondes que ce que l'on pourrait penser.

Mieux comprendre d'où vient le coût cognitif des interruptions numériques

Pour comprendre pourquoi les interruptions numériques perturbent tant le flux de nos pensées, il faut jeter un coup d'œil à la façon dont notre cerveau fonctionne. Lorsque nous réalisons une tâche, le cerveau réalise en permanence des prédictions sur ce qui va se produire. Cela permet d'adapter notre comportement et de réaliser l'action appropriée: le cerveau met en place des boucles prédictives et d'anticipation.


Ainsi, notre cerveau fonctionne comme une machine à prédire. Dans cette théorie, un concept très important pour comprendre les processus d'attention et de concentration émerge: celui de la fluence de traitement. Il s'agit de la facilité ou la difficulté avec laquelle nous traitons une information. Cette évaluation se fait inconsciemment et résulte en une expérience subjective et non consciente du déroulement du traitement de l'information.

Le concept de fluence formalise quelque chose que l'on comprend bien intuitivement: notre système cognitif fait tout pour que nos activités se déroulent au mieux, de la manière la plus fluide (fluent, en anglais) possible. Il est important de noter que notre cognition est «motivée» par une croyance qu'il formule a priori sur la facilité ou la difficulté d'une tâche et en la possibilité de réaliser de bonnes prédictions. Cela va lui permettre de s'adapter au mieux à son environnement et au bon déroulement de la tâche en cours.

Notre attention est attirée par les informations simples et attendues

Plus l'information semble facile à traiter, ou plus elle est évaluée comme telle par notre cerveau, plus elle attire notre attention. Par exemple, un mot facile à lire attire davantage notre regard qu'un mot difficile. Cette réaction est automatique, presque instinctive. Dans une expérience, des chercheurs ont mis en évidence que l'attention des individus pouvait être capturée involontairement par la présence de vrais mots par opposition à des pseudo-mots, des mots inventés par les scientifiques tels que «HENSION», notamment lorsqu'on leur demandait de ne pas lire les mots présentés à l'écran.


Ainsi, une de nos études a montré que la fluence –la facilité perçue d'une tâche– guide l'attention des participants vers ce que leur cerveau prédit. L'étude consistait à comprendre comment la prévisibilité des mots allait influencer l'attention des participants. Les participants devaient lire des phrases incomplètes, puis identifier un mot cible entre un mot cohérent et un mot incohérent avec la phrase. Les résultats ont mis en évidence que les mots cohérents, prédictibles, attiraient plus l'attention des participants que les mots incohérents.


Il semblerait qu'un événement cohérent avec la situation en cours attire plus l'attention et, potentiellement, favorise la concentration. Notre étude est, à notre connaissance, l'une des premières à montrer que la fluence de traitement a un effet sur l'attention. D'autres études sont nécessaires pour confirmer nos conclusions. Ce travail a été lancé, mais n'a pas pu aboutir dans le contexte de la pandémie de Covid-19.

Les événements imprévus provoquent une «rupture de fluence»

Comme nous l'avons vu, notre système cognitif réalise en permanence des prédictions sur les événements à venir. Si l'environnement n'est pas conforme à ce que notre cerveau avait prévu, nous devons d'une part adapter nos actions (souvent alors qu'on avait déjà tout mis en place pour agir conformément à notre prédiction), puis essayer de comprendre l'événement imprévu afin d'adapter notre modèle prédictif pour la prochaine fois.


Par exemple, imaginez que vous attrapiez votre tasse pour boire votre café. En la saisissant, vous vous attendez a priori à ce qu'elle soit rigide et peut-être un peu chaude. Votre cerveau fait donc une prédiction et ajuste vos actions en fonction (ouverture de la main, attraper la tasse plutôt vers le haut).


Imaginez maintenant que lorsque vous la saisissiez, ce ne soit pas une tasse rigide, mais un gobelet en plastique plus fragile. Vous allez être surpris et tenter d'adapter vos mouvements pour ne pas que votre café vous glisse entre les mains. Le fait que le gobelet plie entre vos doigts a créé un écart entre ce que votre système cognitif avait prédit et votre expérience réelle: on dit qu'il y a une rupture de fluence.

Les interruptions numériques perturbent notre système prédictif

Les interruptions, qu'elles soient numériques ou non, ne sont pas prévues par nature. Ainsi, un appel téléphonique impromptu provoque une rupture de fluence, c'est-à-dire qu'elle contredit ce que le cerveau avait envisagé et préparé.


L'interruption a des conséquences au niveau comportemental et cognitif: arrêt de l'activité principale, augmentation du niveau de stress, temps pour reprendre la tâche en cours, démobilisation de la concentration, etc.

La rupture de fluence déclenche automatiquement la mise en place de stratégies d'adaptation. Nous déployons notre attention et, en fonction de la situation rencontrée, modifions notre action, mettons à jour nos connaissances, révisons nos croyances et ajustons notre prédiction.


La rupture de fluence remobilise l'attention et déclenche un processus de recherche de la cause de la rupture. Lors d'une interruption numérique, le caractère imprévisible de cette alerte ne permet pas au cerveau d'anticiper ni de minimiser le sentiment de surprise consécutif à la rupture de fluence: la (re)mobilisation attentionnelle est alors perturbée. On ne sait en effet pas d'où va provenir l'interruption (le téléphone dans sa poche ou la boîte mail sur l'ordinateur) ni ce que sera le contenu de l'information (l'école des enfants, un démarchage téléphonique, etc.).

Des stratégies vers une vie numérique plus saine

Trouver un équilibre entre les avantages de la technologie et notre capacité à maintenir notre concentration devient crucial. Il est possible de développer des stratégies afin de minimiser les interruptions numériques, d'utiliser les technologies de façon consciente et de préserver notre capacité à rester engagés dans nos tâches.


Cela pourrait impliquer la création de zones de travail sans interruption (par exemple, la réintroduction du bureau conventionnel individuel), la désactivation temporaire des notifications pendant une période de concentration intense (par exemple, le mode silencieux du téléphone ou le mode «focus» de logiciels de traitement de texte), ou même l'adoption de technologies intelligentes qui favorisent activement la concentration en minimisant les distractions dans l'environnement.

En fin de compte, l'évolution vers un environnement de plus en plus intelligent, ou du moins connecté, nécessite une réflexion approfondie sur la manière dont nous interagissons avec la technologie et comment celle-ci affecte nos processus cognitifs et nos comportements. Le passage de la maison traditionnelle à la maison connectée relève des problématiques du projet «Habitat urbain en transition» (HUT) pour lequel j'ai travaillé dans le cadre de mon postdoctorat.

De nombreux chercheurs (sciences de gestion, droit, architecture, sciences du mouvement, etc.) ont travaillé autour des questions de l'hyperconnexion des habitations, des usages et du bien-être, au sein d'un appartement-observatoire hyperconnecté. Cela nous a permis de déterminer ensemble les conditions idéales du logement du futur, mais aussi de déceler l'impact des technologies au sein d'un habitat connecté afin d'en prévenir les dérives.


REF.: https://www.slate.fr/story/266541/telephone-mail-notifications-cerveau-distractions-interruptions-numeriques-cognition-attention-concentration-comportement-sciences?fbclid=IwZXh0bgNhZW0BMQABHUI3heHjiK4TD-1f6JFlBpNzDhGlzQvMeO2CcHH2Q-MP8XeVlKAEvfA6PA_aem_AfHgToqUL5_5PRuTY4YXmPQ3PQo1Bfk5vc74b3YmnLaba_xJN-NpK5hoc4KGTt1sb3U#lv5wenoi8mue6qm7fex

The Conversation

Sibylle Turo est docteure en psychologie cognitive et postdoctorante sur le projet «Habitat urbain en transition» (HUT) à l'université de Montpellier. Anne-Sophie Cases est professeure des universités, laboratoire MRM de l'université de Montpellier.


Hackers: ChatGPT est plus efficace et moins coûteux qu’un cybercriminel

 Hackers: ChatGPT est plus efficace et moins coûteux qu’un cybercriminel

@KORBEN  —  18 AVRIL 2024


Les grands modèles de langage (LLM), comme le célèbre GPT-4 d’OpenAI, font des prouesses en termes de génération de texte, de code et de résolution de problèmes. Perso, je ne peux plus m’en passer, surtout quand je code. Mais ces avancées spectaculaires de l’IA pourraient avoir un côté obscur : la capacité à exploiter des vulnérabilités critiques.



C’est ce que révèle une étude de chercheurs de l’Université d’Illinois à Urbana-Champaign, qui ont collecté un ensemble de 15 vulnérabilités 0day bien réelles, certaines classées comme critiques dans la base de données CVE et le constat est sans appel. Lorsqu’on lui fournit la description CVE, GPT-4 parvient à concevoir des attaques fonctionnelles pour 87% de ces failles ! En comparaison, GPT-3.5, les modèles open source (OpenHermes-2.5-Mistral-7B, Llama-2 Chat…) et même les scanners de vulnérabilités comme ZAP ou Metasploit échouent lamentablement avec un taux de 0%.


Heureusement, sans la description CVE, les performances de GPT-4 chutent à 7% de réussite. Il est donc bien meilleur pour exploiter des failles connues que pour les débusquer lui-même. Ouf !


Mais quand même, ça fait froid dans le dos… Imaginez ce qu’on pourrait faire avec un agent IA qui serait capable de se balader sur la toile pour mener des attaques complexes de manière autonome. Accès root à des serveurs, exécution de code arbitraire à distance, exfiltration de données confidentielles… Tout devient possible et à portée de n’importe quel script kiddie un peu motivé.


Et le pire, c’est que c’est déjà rentable puisque les chercheurs estiment qu’utiliser un agent LLM pour exploiter des failles coûterait 2,8 fois moins cher que de la main-d’œuvre cyber-criminelle. Sans parler de la scalabilité de ce type d’attaques par rapport à des humains qui ont des limites.



Alors concrètement, qu’est ce qu’on peut faire contre ça ? Et bien, rien de nouveau, c’est comme d’hab, à savoir :


Patcher encore plus vite les vulnérabilités critiques, en priorité les « 0day » qui menacent les systèmes en prod

Monitorer en continu l’émergence de nouvelles vulnérabilités et signatures d’attaques

Mettre en place des mécanismes de détection et réponse aux incidents basés sur l’IA pour contrer le feu par le feu

Sensibiliser les utilisateurs aux risques et aux bonnes pratiques de « cyber-hygiène »

Repenser l’architecture de sécurité en adoptant une approche « zero trust » et en segmentant au maximum

Investir dans la recherche et le développement en cybersécurité pour garder un coup d’avance

Les fournisseurs de LLM comme OpenAI ont aussi un rôle à jouer en mettant en place des garde-fous et des mécanismes de contrôle stricts sur leurs modèles. La bonne nouvelle, c’est que les auteurs de l’étude les ont avertis et ces derniers ont demandé de ne pas rendre publics les prompts utilisés dans l’étude, au moins le temps qu’ils « corrigent » leur IA.


Source: https://korben.info/ia-malefiques-quand-llm-menacent-cybersecurite.html?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR1zKqtIIY8zR_xVove97bXHBXGk58y2iWLVPD9oZvXfbDa7rFNcyoa9gAM_aem_AfMHfnYov3d0C2fPmtPRU398Tj-laL0TQkD_URzvaiCRaXq4pdwXgpStKhc7GixUeH52-xoRoRRYfp5yVV3dhym8

Un nouveau genre de cybermalveillance : les faux podcasts

 

Un nouveau genre de cybermalveillance : les faux podcasts

Aux Etats-Unis, où les podcasts sont désormais plus populaires que la radio, une nouvelle arnaque étonnante se développe : des invitations à participer à un faux podcast, sous prétexte de dérober des informations personnelles. 

L'histoire que raconte Alex Kantrowitz, auteur de la newsletter Big Technology, est aussi édifiante qu'étonnante. Ce chroniqueur américain spécialisé dans le secteur du podcasting a reçu une invitation à participer à un podcast appelé "The Global Influencer Podcast". L'invitation semblait légitime, avec un email professionnel et un message bien écrit. Cependant, après quelques recherches, Kantrowitz a découvert que le podcast n'existait pas. Il a constaté que l'adresse email utilisée pour l'invitation n'était pas liée à l'organisation qu'elle prétendait représenter. Il s'est rendu compte que c'était une tentative d'escroquerie visant à obtenir des informations personnelles et professionnelles.


"Les fausses invitations à des podcasts sont un nouveau stratagème utilisé par les escrocs pour s'emparer de vos comptes en ligne, écrit-il. Quelqu'un vous invite à apparaître dans une émission, vous demande de participer à un « contrôle technique », puis prend vos informations d'identification lors de l'installation. Finalement, au lieu d’une apparition médiatique, vous vous retrouvez avec un cauchemar de récupération de compte".


Les escrocs utilisent l'attrait d'une plateforme de podcast populaire pour attirer des individus et des entreprises dans leur piège. Ils créent des invitations qui semblent légitimes, avec des adresses email professionnelles et des messages bien écrits, pour tromper leurs victimes en pensant qu'ils participent à un véritable podcast. Une fois que la victime a accepté l'invitation, les escrocs orientent leurs victimes vers des sites pour leur soutirer un maximum d'informations personnelles (Alex Kantrowitz ne dit pas lesquelles exactement). Ils peuvent alors utiliser les informations collectées à des fins malveillantes.


Pour se protéger, il est recommandé de vérifier soigneusement toute invitation à participer à un podcast. Recherchez le podcast en question et contactez directement les organisateurs via leurs canaux officiels pour confirmer l'invitation. Rappelez-vous que, bien que les podcasts soient une excellente plateforme pour partager des idées et des informations, il est essentiel de rester vigilant et de protéger vos informations personnelles et professionnelles. Soyez conscient de cette nouvelle forme d'escroquerie et restez en sécurité dans le monde du podcasting.


Si vous recevez une invitation à participer à Monde Numérique, pas de panique, vous êtes en territoire sécurisé !


REF.: https://mondenumerique.info/blog/nouveau-type-de-cybermalveillance-les-fausses-invitations-un-podcast?fbclid=iwzxh0bgnhzw0cmtaaar3oadawvautdpsi42s67l87hnoh8wtlwtubcztbxbyov34axylzeuben0u_aem_afnamup8gz5ckty46jlyakcd_xajcht01ibrzk6ibgdzzuly6ofxj9tyqt0zg-pepbq1zol4bn1zvyh9dqmiac03#google_vignette

L'IA avec VASA-1 – Des visages parlants ultra-réalistes et en temps réel

 L'IA avec VASA-1 – Des visages parlants ultra-réalistes et en temps réel

@KORBEN  —  18 AVRIL 2024


VASA-1 est un nouveau framework qui permet de générer des visages parlants ultra-réalistes en temps réel ! En gros, vous balancez une simple photo à cette IA, ainsi qu’un petit clip audio, et bim ! Elle vous pond une vidéo d’un visage qui parle, avec une synchronisation de la bouche nickel chrome, des expressions faciales hyper naturelles et des mouvements de tête très fluides. C’est hyper bluffant !



Les chercheurs de Microsoft ont réussi ce tour de force en combinant plusieurs techniques de pointe en deep learning. Ils ont d’abord créé un espace latent expressif et bien organisé pour représenter les visages humains. Ça permet de générer de nouveaux visages variés, qui restent cohérents avec les données existantes. Ensuite, ils ont entraîné un modèle de génération de dynamiques faciales et de mouvements de tête, appelé le Diffusion Transformer, pour générer les mouvements à partir de l’audio et d’autres signaux de contrôle.


Et le résultat est juste époustouflant. On a l’impression de voir de vraies personnes qui parlent, avec toutes les nuances et les subtilités des expressions faciales. Les lèvres bougent parfaitement en rythme avec les paroles, les yeux clignent et regardent naturellement, les sourcils se lèvent et se froncent…


En plus de ça, VASA-1 peut générer des vidéos en haute résolution (512×512) à une cadence élevée, jusqu’à 40 images par seconde, avec une latence de démarrage négligeable. Autant dire que c’est le graal pour toutes les applications qui nécessitent des avatars parlants réalistes. On peut imaginer des assistants virtuels avec lesquels on pourrait interagir de manière super naturelle, des personnages de jeux vidéo encore plus crédibles et attachants, des outils pédagogiques révolutionnaires pour apprendre les langues ou d’autres matières, des thérapies innovantes utilisant des avatars pour aider les patients… etc etc..


En plus de pouvoir contrôler la direction du regard, la distance de la tête et même les émotions du visage généré, VASA-1 est capable de gérer des entrées qui sortent complètement de son domaine d’entraînement comme des photos artistiques, du chant, d’autres langues…etc.



Bon, évidemment, il reste encore quelques limitations. Par exemple, le modèle ne gère que le haut du corps et ne prend pas en compte les éléments non rigides comme les cheveux ou les vêtements. De plus, même si les visages générés semblent très réalistes, ils ne peuvent pas encore imiter parfaitement l’apparence et les mouvements d’une vraie personne mais les chercheurs comptent bien continuer à l’améliorer pour qu’il soit encore plus versatile et expressif.


En attendant, je vous invite à checker leur page de démo pour voir cette merveille en action. C’est juste hallucinant ! Par contre, vu les problèmes éthiques que ça pourrait poser du style usurpation d’identité, fake news et compagnie, et connaissans Microsoft, je pense que VASA-1 ne sera pas testable par tous bientôt malheureusement. Mais je peux me tromper…


REF.: https://korben.info/vasa-1-ia-genere-visages-parlants-ultra-realistes-temps-reel.html?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR2E1-_2Ozof_HkGyGo6fFNi_bx9EKt-YLp8BnINO2cY6NZ4TnDCrA_AWDk_aem_AfMHl0b1ZacbHFwtYS9IqWf6iSBz3wXntFXs8EAkoL8lzH7R17omjRdEckv96M6yB2ByHqujmBuOKGzMaQdck9Ef

Réseaux sociaux : Retour à l'interaction humaine avec Nospace,Youni et PI.FYI :

 Réseaux sociaux : Retour à l'interaction humaine avec Nospace,Youni et PI.FYI :


-Tiffany Zhong lance Nospace, une application qui remet les interactions humaines au cœur des réseaux sociaux, inspirée par les premiers jours de Myspace et Facebook, pour combattre la solitude numérique et renforcer les connexions authentiques.



Dans un monde numérique marqué par une "épidémie de solitude", Tiffany Zhong, jeune entrepreneure technologique, lance une contre-offensive avec sa nouvelle application, Nospace. À 27 ans, après dix années d'observation des comportements sur les réseaux sociaux, Zhong propose une plateforme qui renoue avec l'esprit des premiers jours de Myspace et Facebook : des pages de profil personnalisées et des mises à jour quotidiennes sur les petites choses de la vie, comme le petit-déjeuner ou les nouvelles découvertes musicales.


Nospace promet de mettre en avant la connexion et l'expression personnelle, avec des fonctionnalités permettant de partager ce que les utilisateurs voient, mangent, lisent ou écoutent, et de marquer leurs intérêts pour découvrir des personnes aux goûts similaires. Plus de 380 000 personnes sont déjà inscrites sur la liste d'attente pour cette application, qui doit être officiellement lancée à la fin avril.


Ce mouvement n'est pas isolé. D'autres plateformes émergentes, telles que Youni et PI.FYI, cherchent également à privilégier les interactions réelles plutôt que la consommation passive de contenu. Ces initiatives semblent répondre à une lassitude de la génération Z face aux médias sociaux traditionnels, exacerbée par une pandémie mondiale et ses répercussions économiques. Ces jeunes utilisateurs recherchent simplicité et camaraderie, se détournant des applications de rencontres pour l'amour et des grands réseaux comme Instagram et TikTok pour l'amitié.


Selon Katya Varbanova, stratège en marketing de marque, la génération Z "en a assez du même vieux schéma des réseaux sociaux" et cherche de nouvelles expériences que les applications mainstream ne parviennent pas à offrir. Cette quête d'authenticité pourrait bien redéfinir notre manière de socialiser à l'ère numérique, favorisant des plateformes qui valorisent l'expression de soi et les liens personnels, loin de l'égocentrisme encouragé par les algorithmes actuels.


Cette quête de lien social et d'authenticité semble également être une réponse directe aux défis posés par la saturation des médias sociaux traditionnels, où la superficialité et la comparaison constante engendrent isolement et mal-être. Nospace et ses concurrents envisagent de transformer cette dynamique en favorisant des interactions plus significatives et personnelles.


En mettant l'accent sur des mises à jour en temps réel et en permettant aux utilisateurs de partager leurs intérêts de manière plus interactive, ces nouvelles plateformes aspirent à recréer un espace où les conversations spontanées et les connexions authentiques prévalent sur les likes et les vues. Avec de telles innovations, l'ère des réseaux sociaux pourrait bien connaître un renouveau, redéfinissant notre manière de tisser des liens à l'ère du numérique.

REF.: https://moncarnet.kessel.media/posts/pst_6eb4f2012eb2409da00e1bdc899569df/reseaux-sociaux-retour-a-linteraction-humaine-avec-nospace?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTAAAR1LEsZOoYWMoeWkJ0WzLJhyHgyM4AnFjWxfhJpCXeGEEukMqT94uxDD_lA_aem_AfNsStJm7x3e2Zi94NWWgDCJgP7x3iVWHgu1dMH9wvyVfFbO37A90Nd78aexxrzPfEggTOftEx4KPWCnAFwFWsC0

mercredi 10 avril 2024

Un client IRC fonctionnel intégré dans un BIOS (UEFI)

 Un client IRC fonctionnel intégré dans un BIOS (UEFI)

Par: @KORBEN  —  7 AVRIL 2024


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La news de ce dimanche, c’est que Phillip Tennen, un de ces génies du clavier a réussi l’impensable : faire tourner un client IRC directement dans l’UEFI (anciennement appelé BIOS, si j’abuse un peu) de sa carte mère, sans même avoir besoin d’un système d’exploitation !



Alors, pour faire simple, le BIOS (ou l’UEFI maintenant), c’est comme le cerveau reptilien de votre ordinateur. C’est le premier truc qui se lance quand vous appuyez sur le bouton « ON », avant même que Windows, Linux ou MacOS ne pointe le bout de son nez. Normalement, ce bidule sert juste à vérifier que tout est en ordre et à passer la main au système d’exploitation. Mais voilà certains se lèvent un matin et décident que ce serait cool d’y coller un client IRC.


Alors concrètement, à quoi ça ressemble ? Eh bien ça a une vraie interface graphique, avec des polices TrueType et tout le toutim et notre bonhomme a même implémenté quelques commandes IRC de base, histoire de pouvoir tailler une bavette avec les copains sans même avoir à démarrer Windows. Pratique pour les soirées LAN où on a la flemme d’attendre que l’OS se lance ! (Quoi ça existe plus les soirées LAN ?? ouinnn)



Ça montre qu’avec un peu (beaucoup) d’huile de coude et une bonne dose de créativité, y’a pas de limites à ce qu’on peut faire avec nos bécanes même si dans 99% des cas, ça sert à rien, faut bien l’avouer.


Mais bon, je sais que parmi vous, y’a plein de bidouilleurs de génie qui rêvent déjà de faire tourner leur propre truc dans le BIOS, alors si vous voulez vous lancer, je vous conseille d’aller jeter un œil au code source et aux explications concernant ce fameux client IRC pour UEFI. C’est bourré de commentaires et d’explications, de quoi vous donner des idées pour vos propres projets délirants. Perso, si y’en a qui sont chaud, je vous commande un browser, une version offline de Korben.info et un client Twitter pour BIOS.



Bref, ça ne va pas révolutionner nos vies mais ça reste une sacrée prouesse technique !


Source; https://korben.info/client-irc-fonctionnel-integre-puce-bios-carte-mere.html?fbclid=IwAR305sAgq_0M8eCADCamPF-MBEZFUkekKmWwtjxVlxOWmRhYVRc0Df-nTTo_aem_AbUFvQA72zU7GXi97Q4shLaJAiMk7S3Jz-sWDeyoQd7uLbrnNeLQ8t9BryYDyO57oRnIPvEAIYxtd-KBadsiXocy

Gmail pourra bientôt résumer vos mails grâce à l'IA Gemini

 Gmail pourra bientôt résumer vos mails grâce à l'IA Gemini


Maurine Briantais

08/04/24 12:29

La version Android de Gmail devrait pouvoir vous faire gagner un temps précieux en résumant les échanges de mails grâce )à une nouvelle fonction utilisant Gemini, l'IA de Google.


En pleine course pour dominer le marché de l'intelligence artificielle générative, Google mise tout sur son IA Gemini, qu'il compte bien déployer dans l'ensemble de ses services. Pour rappel, son chatbot, qui repose sur Gemini Pro, un des plus puissants grands modèles de langage (LLM) de l'entreprise, est conçu pour aider les utilisateurs dans leur vie quotidienne, que ce soit pour rédiger des textes, planifier des événements, générer des images, résumer des documents, écrire des mails ou tout simplement gagner du temps dans leur navigation. À terme, Gemini doit même remplacer Google Assistant. Aussi, la firme de Mountain View étend progressivement son utilisation à certains de ses services, comme Google Messages, où certains bêta-testeurs peuvent désormais dialoguer directement avec l'IA (voir notre article), mais aussi dans Google Maps. La firme de Mountain View envisagerait même de proposer des fonctions premium, basées sur l'intelligence artificielle générative, sur Google Search, intégrées au sein de l'abonnement payant Gemini Advanced (voir notre article).



Gmail a lui aussi le droit à son lot de fonctions dopées à l'IA, pour l'instant uniquement dans son programme de test. Ainsi, sur la version Web, Gemini peut résumer un fil de discussion, suggérer des réponses, rechercher des informations dans les e-mails et dans les fichiers Google Drive. La firme s'attaque désormais à la version mobile de la messagerie électronique ou, selon AssembleDebug, elle serait en train de préparer une nouvelle fonction pour résumer les e-mails, baptisée "Résumer cet e-mail". De quoi s'avérer particulièrement utile pour les longs e-mails dont la densité d'information est faible




Résumer cet e-mail : un bouton pour utiliser l'IA dans Gmail

Repéré dans la version 2024.03.31.621006929 de l'application Android, un bouton "Résumer cet e-mail" apparait juste en dessous du titre de l'e-mail, même s'il est pour l'instant inactif. Comme précisé sur la page de support Google, cette fonction est pour l'instant uniquement effective sur la version Web de ses outils dédiés aux professionnels, et elle ne concerne que les fils de discussions par e-mail qui comprennent plus de deux réponses. Le nouveau bouton "Résumer cet e-mail" est en revanche présenté sur la version grand public de Gmail pour Android.


On peut supposer qu'une fenêtre contextuelle s'affichera au bas de l'écran, avec un résumé de l'e-mail sous forme de puces. Le fonctionnement serait quelque peu similaire à celui du web, bien que le panneau latéral soit remplacé par la fenêtre contextuelle. Une entrée "Gemini" a également été repérée dans le menu à trois points de la barre supérieure. Là encore, cette entrée n'a aucune fonction et ne fait qu'afficher une feuille blanche avec le logo et le texte Gemini. Comme d'habitude, les nouvelles fonctions doivent être activées manuellement à l'aide de certains drapeaux (flags), donc il ne faut pas s'attendre à les voir apparaître de sitôt.


REF.: https://www.commentcamarche.net/applis-sites/mail/30757-gmail-pourra-bientot-resumer-vos-mails-grace-a-l-ia-gemini/#utm_source=facebook&utm_medium=social

Google admet un problème majeur qui risque de mettre à mal son business model principal

 Google admet un problème majeur qui risque de mettre à mal son business model principal

Par: @KORBEN  —  6 AVRIL 2024


Ah la la, Google… Le géant du web se retrouve face à un sacré casse-tête avec l’arrivée de l’intelligence artificielle dans son moteur de recherche. Figurez-vous qu’ils envisagent de faire payer les utilisateurs pour accéder à cette fonctionnalité expérimentale ! Du jamais vu chez Google, qui a toujours tout misé sur la gratuité, mais voilà, l’IA coûte cher, très cher même. Et surtout, elle vient complètement bouleverser le modèle économique de Google, basé, comme vous le savez sur la publicité.



Parce que oui, Google Search, c’est une vraie machine à cash et les annonceurs payent pour que leurs pubs s’affichent dans les résultats de recherche et sur les sites web que vous visitez ensuite. Sauf que l’IA, elle, elle digère le contenu des pages web pour vous donner une réponse claire, nette et précise. Plus besoin de cliquer sur les liens, donc plus de pubs vues, et moins de revenus pour Google (et pour moi aussi du coup ^^, mais je m’en fous, j’ai mon Patreon !).


Ironique, non ?


En plus, générer une réponse avec l’IA consomme bien plus de ressources et d’énergie qu’une simple page de résultats. Bref, Google est face à un vrai dilemme : Comment rentabiliser son IA sans tuer sa poule aux œufs d’or ?


Mais ne vous inquiétez pas, ils vont bien trouver une solution. Peut-être en proposant aux marques de sponsoriser certaines requêtes, comme le fait Perplexity, ou alors en faisant payer uniquement les utilisateurs les plus gourmands. On verra bien… mais une chose est sûre, Google va devoir faire preuve de créativité et d’adaptation pour rester le roi de la recherche en ligne. Surtout que la concurrence est rude, avec Microsoft et son nouveau Bing dopé à l’IA, ou encore les petits nouveaux comme You.com.



C’est fou tout ce qui se passe en ce moment. Tout a déjà tellement changé depuis le 30 novembre 2022, date à laquelle on a tous découvert ChatGPT pour la première fois… Des géants vont tomber, d’autres sont peut-être déjà nés. Et puis, moi et mon petit site web d’artisan du web, et bien on verra bien comment je me ferais manger 


Source; https://korben.info/google-admet-probleme-majeur-ia-recherche.html?fbclid=IwAR3VPakjlI4oyq6aFN2B-B4C6DL-KaRFPWm7NN163Fh695PmxAWGR51GsL0_aem_AbWiGwtS12odna7ARa7BtoP1uybDM_Kx4fJr0vVrDaZEFADpzW6wmP3IYwHlu9STCTjnzbBU-648B9qqpvrAzPsa

Localiser mon appareil : Google déploie son réseau pour retrouver les Android égarés

 Localiser mon appareil : Google déploie son réseau pour retrouver les Android égarés


Maurine Briantais

09/04/24 18:01

Google déploie son nouveau réseau "Localiser mon appareil" pour aider les utilisateurs Android à retrouver leur smartphone et autres traqueurs Bluetooth sans Internet ni GPS. Un sérieux concurrent à l'AirTag ?


C'est une mésaventure qui n'arrive pas qu'aux autres. Perdre son mobile ou se le faire dérober prend immanquablement une dimension dramatique dès lors que l'appareil contient une bonne partie de notre vie. Photos personnelles, données bancaires, coordonnées diverses, messages… Personne ne souhaite que toutes ces informations tombent entre de mauvaises mains. Heureusement, il existe aujourd'hui des solutions simples pour le retrouver (voir notre fiche pratique). Apple en particulier dispose d'un réseau efficace qui permet de retrouver un iPhone perdu, même quand celui-ci est déconnecté. Pour cela, le système de localisation exploite la technologie Bluetooth. Pour faire simple, quand un iPhone est perdu, celui-ci émet un signal Bluetooth qui est capté par les autres iPhone, qui servent alors de relais. Grâce à ce système, la dernière localisation connue d'un appareil perdu peut être envoyée à son propriétaire, en passant par les appareils des autres. Le principe est également le même pour les AirTag.



Trois ans après Apple, Google déploie à son tour un réseau similaire à ce que propose Apple, s'appuyant sur le Bluetooth et alimenté par l'ensemble des smartphones Android du monde. Présentée lors de la Google I/O 2023, la fonction "Localiser mon appareil" (Find my device) est officiellement en cours de déploiement, comme l'annonce l'entreprise dans un billet de blog. Elle vise, comme son nom l'indique, à aider les utilisateurs à mieux localiser leurs appareils. Elle sera d'abord disponible aux États-Unis et au Canada, avant d'être déployée dans les autres pays.




Localiser mon appareil : un réseau Bluetooth avec des millions d'appareils

Google propose depuis un moment déjà une fonction "Localiser mon appareil" permettant de retrouver son appareil Android grâce à ses coordonnées GPS. Or, elle était fortement limitée, alors qu'Apple faisait beaucoup mieux avec son réseau d'AirTag. Aussi, en 2023, Google promettait de créer un réseau similaire. C'est désormais chose faite. Avec cette nouvelle version de "Localiser mon appareil", les utilisateurs peuvent retrouver un smartphone ou une tablette Android perdus en les faisant sonner ou en affichant leur position sur une carte dans l'application du même nom, et ce, même s'ils sont hors connexion. Notons que les Pixel 8 et 8 Pro ont le droit à une fonction unique, puisqu'ils peuvent être localisés sur le réseau même s'ils sont éteints ou que la batterie est déchargée — les smartphones des autres constructeurs devraient y avoir le droit par la suite.



En plus des appareils Android tournant sous Android 9 ou plus, ce nouveau réseau prendra également en charge divers traqueurs Bluetooth. Chipolo, Pebblebee, Motorola, Eufy et Jio ont d'ores et déjà annoncé des modèles compatibles. Certaines enceintes JBL ou casques audio sont également pris en charge. Vous trouverez la liste complète des appareils ici – d'autres seront annoncés par la suite. Notons qu'il est possible de partager un accessoire dans l'application avec d'autres utilisateurs, afin que tous ceux y ayant accès puissent le localiser.




Conscient que ce type de service suscite des inquiétudes en termes de vie privée, Google assure que son réseau "est sécurisé par défaut et privé par conception", avec les données de localisation et les rapports de données de localisation agrégées chiffrées de bout en bout. De plus, pour éviter les abus liés à l'utilisation de traqueurs Bluetooth – espionnage, cambriolage, harcèlement, etc. –, Google a travaillé en collaboration avec Apple afin de développer un standard pour localiser les balises indésirables depuis tous les smartphones (voir notre article). Désormais, une alerte avertira les utilisateurs lorsqu'un traqueur Bluetooth inconnu les suit. Le réseau limite également le nombre de fois où l'on peut obtenir l'emplacement exact d'une balise afin d'éviter un suivi continu trop précis.

REF.: https://www.commentcamarche.net/mobile/android/30735-localiser-mon-appareil-google-deploie-son-nouveau-reseau-pour-retrouver-les-appareils-android-egares/#utm_source=facebook&utm_medium=social

samedi 6 avril 2024

PlayAbility – Quand l’IA change l’expérience gaming pour les personnes handicapés

 

PlayAbility – Quand l’IA change l’expérience gaming pour les personnes handicapés

J’ai une pure pépite à vous présenter aujourd’hui ! C’est un truc de fou qui va révolutionner le monde du gaming pour les personnes en situation de handicap : playAbility !

C’est pas juste une énième manette adaptée, non non non, c’est carrément un logiciel développé par le streamer Squirelo (que je salue au passage) qui utilise l’intelligence artificielle pour convertir vos expressions faciales, mouvements de tête et même le joystick de votre fauteuil roulant en commandes de jeu. Si c’est pas dingue ça ! 🤯

Pour en profiter, c’est hyper simple. Vous téléchargez l’app, vous connectez votre webcam et zou, vous voilà prêts à créer votre manette virtuelle sur-mesure. Vous pouvez combiner vos appareils d’assistance, vos gamepads et vos mouvements faciaux pour obtenir la config’ parfaite. Et le kif ultime, c’est que playAbility est compatible avec un max de jeux, que ce soit des jeux de course, des FPS ou des jeux d’aventure.

Concrètement, ça donne quoi ? Bah vous pouvez par exemple bouger votre tête pour contrôler les sticks gauche et droit. Vous avez comme ça plus de 50 mouvements de visage différents à associer aux contrôles de votre choix. Et si vous avez un fauteuil roulant électrique, comme je le disais en intro, son joystick peut direct servir de stick directionnel dans le jeu !

C’est ouf quand on y pense.

L’objectif de playAbility, c’est clairement de favoriser l’inclusivité dans les jeux vidéo. On parle quand même de rendre le gaming accessible aux 20% de la population mondiale qui vit avec un handicap ! C’est par rien !

Autre bon point, vous pouvez utiliser votre Xbox ou votre PlayStation à distance grâce au remote play. Pas besoin de PC gaming surpuissant ! D’ailleurs, l’équipe bosse avec les principaux services de streaming de jeux pour permettre au plus grand nombre de s’y mettre sans se ruiner.

La version bêta privée n’est qu’un début et vous pouvez au choix, aider à financer le projet ou non. C’est vous qui voyez. Franchement, quand on voit des initiatives comme ça, on ne peut qu’applaudir. La technologie et notamment l’IA permettent de créer un véritable impact positif sur le quotidien des joueurs. Bravo Squirelo !

Bref, je vous invite à garder un œil sur playAbility, parce que je sens que ces p’tits gars vont aller loin. C’est le genre de projets qui donnent foi en l’avenir du jeu vidéo et prouvent que quand on a de la volonté, on peut renverser des montagnes. GG à eux et longue vie à playAbility !