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dimanche 12 juin 2011

Nouveau virus de la grippe: Le H1N1 + H3N2 ?


Nouveau virus de la grippe détecté chez un bébé


Un nouveau virus de la grippe pourrait avoir fait son apparition en Ontario après que des médecins eurent diagnostiqué une combinaison du virus H1N1 et d’une grippe saisonnière chez un bébé.
Le garçon de 16 mois avait été admis dans un hôpital de Toronto en janvier dernier pour des malaises à la poitrine et à l’estomac. L’analyse en laboratoire de sa salive avait permis de détecter une combinaison de deux virus, le H1N1 et le H3N2, qui a donné naissance à un nouveau virus de la grippe jamais vu auparavant, selon Jonathan Gubbay, un médecin microbiologiste de l’Agence ontarienne de protection et de promotion de la santé.
Aucune propagation de ce nouveau virus de la grippe n’a été rapportée depuis, et si jamais c’était le cas, le vaccin actuel suffirait à protéger.
«Il n’y a pas lieu de s’alarmer, mais ceci nous démontre l’importance de demeurer aux aguets afin de détecter rapidement ces phénomènes», a dit le Dr Gubbay.


mardi 15 juin 2010

Le bilan du H1N1 est de 18 156 morts,c'est moins qu'une grippe saisonnière !


Alerte pandémique - Le bilan du H1N1 est de 18 156 morts
Le virus, qui a fait frémir la planète pendant plusieurs mois.
© AFP

GENÈVE - La grippe H1N1, déclarée première pandémie du 21ème siècle il y a un an jour pour jour, a provoqué la mort avérée de 18 156 personnes, soit considérablement moins qu'une grippe saisonnière, a annoncé vendredi l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Le virus, qui a fait frémir la planète pendant plusieurs mois après l'alerte pandémique lancée par l'OMS le 11 juin 2009, est désormais «globalement peu actif» dans le monde, a indiqué un porte-parole de l'agence onusienne à l'AFP, Gregory Hartl.

Selon une note de l'organisation, le virus évolue de manière «sporadique» dans les zones tempérées de l'hémisphère sud qui entre dans l'hiver austral alors qu'une «transmission active mais déclinante» est relevée dans les régions tropicales.

La «vigilance» reste toutefois de mise, en particulier pour les personnes à risque comme les femmes enceintes et les jeunes, a mis en garde M. Hartl car, a-t-il dit, «le H1N1 devrait très certainement rester le virus dominant l'hiver prochain».

Le porte-parole a d'ailleurs souligné que les données rapportées par l'OMS étaient «sans aucun doute sous-estimées».

«Il est difficile de donner des chiffres exacts, nous les aurons d'ici deux ans», quand le virus aura disparu, a-t-il ajouté estimant que les vraies données étaient «probablement plusieurs fois» supérieures à celles annoncées.

Il n'en reste pas moins que les grippes saisonnières font habituellement au niveau mondial 250 000 à 500 000 décès, selon l'OMS, soit largement plus que ces projections.


Les anticorps mutant de la grippe Espagnol de 1918 se sont reliés de façon plus solide que d'autres anticorps aux cellules des malades.Ce qui les rends plus efficaces!

Un fait intéressant ,quand les scientifiques ont testé les anticorps provenant des survivants(de ceux qui ont eut la grippe Espagnol de 1918) sur des souris infectées,ils l'ont fait dans un laboratoire de biosécurité des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) d'Atlanta ,en Géorgie.Test sur 32 personnes de 92 a 102 ans,toutes exposées au virus de la grippe espagnol de 1918.

L'idée a surgi a la suite de la diffusion d'un épisode de la série télévisée Medical Investigation ,explique le Dr Altschuler.Une ville était infectée par le virus de 1918 et des médecins traitaient les habitants avec du sang donné a contrecoeur par un vieux maître d'hôtel survivant de l'épidémie . C'est ce qui a conduit ce scientifique a rechercher des anticorps chez les gens âgés de plus de 90 ans.


Ce qu'ont n'en dit:un an après(26-10-2010)

Un an après le début de la vaccination massive, Marc Zaffran persiste et signe. Le médecin d'origine française estime que la vaccination massive était inutile et basée sur des craintes non fondées.

À LIRE ÉGALEMENT:

  • Il y a un an, c'était le chaos

  • Vous n'êtes pas protégés cette année

  • «J'ai toujours été très ferme là-dessus ; on n'avait pas besoin de vacciner tout le monde, même si c'était légitime de vacciner les gens plus fragiles», dit le chercheur invité du Centre de recherche en éthique de l'Université de Montréal.

    Il donne en exemple la Pologne, où l'on n'a donné aucun vaccin et où l'on n'a pas vu une hécatombe. Même chose en France, où la vaccination a été très peu populaire, notamment à cause de l'opposition très visible de certains médecins. «C'était prévisible. Dans les mois précédant la vaccination, il y avait eu la saison de grippe dans l'hémisphère sud. Il n'y a pas eu de catastrophe dans des pays comme la Nouvelle-Zélande, l'Australie et, même, le Brésil.

    Il reproche aux autorités de santé publique de la province d'avoir voulu culpabiliser ceux qui ne se faisaient pas vacciner. «Ce n'est pas normal de faire peur aux gens, de les faire culpabiliser s'ils ne se font pas fait vacciner, de leur dire qu'ils seront dangereux pour les autres personnes», déplore-t-il.

    Marc Zaffran va plus loin en disant qu'une épidémie comme la grippe espagnole est impossible dans les pays occidentaux modernes. «La fragilité des gens a diminué depuis 100 ans. Je pense personnellement que l'idée d'un virus mortel qui tuerait 40 millions de personnes est un fantasme qui ne repose sur aucune évidence scientifique», soutient celui qui n'a pas reçu de vaccin contre la grippe depuis au moins quinze ans.

    REF.: canoe, du 19 Août 2008,26 Dec 2010; Dr Eric Altschuler,de l'Université de médecine du New Jersey,

    vendredi 26 mars 2010

    H1N1: semblable à la grippe espagnole de 1918



    H1N1: semblable à la grippe espagnole de 1918

    Presse Canadienne (PC)
    25 mars 2010

    De telles découvertes aideront les scientifiques à mettre à jour plus efficacement les vaccins contre la grippe.
    © Archives



    De nouvelles recherches sur le virus pandémique H1N1 montrent qu'il ressemble davantage à celui de la grippe espagnole de 1918 qu'à ses cousins modernes.

    Cette découverte permet de comprendre en partie pourquoi les individus plus âgés semblaient avoir une certaine immunité par rapport au H1N1 pandémique et pourquoi des années d'exposition aux virus saisonniers n'ont pas pu protéger les plus jeunes de la nouvelle souche.

    Les deux nouvelles études ont comparé les structures de la principale protéine des virus et découvert que, vers 1940, les H1N1 avaient développé des revêtements sucrés à la surface de cette protéine qui n'étaient pas présents dans le virus de 1918 ni le virus pandémique.

    Cette différence s'explique par le fait que le H1N1 pandémique a évolué chez les porcs, empruntant ainsi un autre chemin que les virus humains.

    Les travaux réalisés par des chercheurs américains soulignent également que les anticorps contre la grippe espagnole de 1918 et le H1N1 pandémique protègent contre les deux virus mais ne peuvent rien contre les H1N1 saisonniers modernes.

    Ces résultats pourraient aider les scientifiques à anticiper l'évolution des virus et à mettre à jour plus efficacement les vaccins contre la grippe.


    REF.: