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mardi 26 juillet 2022

Qu’est-ce que la Caisse et Hydro font dans la crypto ?

 Qu’est-ce que la Caisse et Hydro font dans la crypto ?

 

Par:Vincent Brousseau-Pouliot La Presse

La Caisse de dépôt et placement du Québec ne s’est pas plantée en investissant environ 200 millions dans la banque de cryptomonnaie américaine Celsius.

Publié le 23 juillet

Elle s’est royalement plantée.

En octobre dernier, la Caisse est devenue actionnaire de Celsius, une banque qui offrait des prêts de cryptomonnaies et des intérêts jusqu’à 17 % sur les dépôts de cryptomonnaies. Or, le bitcoin a perdu 65 % de sa valeur et Celsius a manqué d’argent pour couvrir les retraits des investisseurs. En juillet, l’entreprise s’est protégée de ses créanciers. Elle leur doit 1,9 milliard US, mais n’a que 167 millions US.

Bref, on ne reverra pas notre argent.

La Caisse a mal évalué son risque dans ce domaine peu ou pas réglementé, une bulle spéculative où l’objectif est de contourner le système monétaire traditionnel. Elle n’a pas réfléchi à l’aspect éthique. Par surcroît, elle a misé sur le mauvais cheval, qui était déjà dans le collimateur des autorités des marchés financiers de certains États américains.

Aussi spectaculaire soit-elle, cette erreur doit être relativisée, placée dans son contexte.

La Caisse a fait cet investissement à partir de son portefeuille de 1,5 milliard de capital de risque. Les investisseurs de capital de risque sont comme les frappeurs de puissance au baseball : ils visent toujours le coup de circuit et sont inévitablement retirés au bâton plus souvent. L’important, c’est la moyenne au bâton.

Le portefeuille de capital de risque de la Caisse a généré un rendement entre 35 % et 40 % par an depuis cinq ans. Rendement total de la Caisse sur l’ensemble de ses actifs durant cette période : 8,9 % par an. Le capital de risque est donc très rentable pour la Caisse.

De plus, la Caisse déploie en capital de risque seulement 0,36 % de ses actifs (1,5 milliard sur 419,8 milliards). Ça permet d’accompagner nos entreprises en démarrage sans mettre à risque la retraite des Québécois.

Le bas de laine des Québécois aura un examen de conscience à faire avec Celsius (leçon numéro un : se tenir loin de la crypto), mais ça ne doit pas l’empêcher de continuer à investir en capital de risque.

La Caisse investit en capital de risque dans une vingtaine d’entreprises techno (aucune en crypto, à l’exception de Celsius), dont un peu plus de la moitié sont québécoises. Pour une catastrophe comme Celsius, il y a plusieurs grands succès technos québécois comme Lightspeed, Hopper et Nuvei. Il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain.

D’ailleurs, une autre institution québécoise devrait repenser ses relations avec l’industrie des cryptos : Hydro-Québec.

Si la tendance se maintient, la société d’État vendra bientôt 1 % de son électricité à perte à des mineurs de cryptomonnaies.

Faire de la cryptomonnaie est très énergivore. Il faut miner les informations sur des chaînes de blocs en utilisant des opérations mathématiques complexes. C’est le contraire d’un système financier basé sur des institutions financières fiables et réglementées.

La société d’État a un tarif (6 cents/kWh) similaire au tarif industriel pour une centaine de mineurs québécois de cryptomonnaies. Ils consomment 111 mégawatts, soit 0,3 % de la capacité totale du réseau. (Les cryptos qui n’ont pas été sélectionnées en appel d’offres paient un tarif dissuasif de 18 cents/kWh pour la consommation non autorisée de minage de crypto.)

Mais voilà, la Régie de l’énergie vient de forcer Hydro-Québec à offrir aux cryptos un autre 270 mégawatts au tarif de 6 ¢/kWh.

Pour les mineurs de bitcoin, c’est avantageux d’avoir accès à une électricité à faible coût.

Pour le Québec, on subventionne une industrie qui n’a pas de retombées économiques, a très peu d’utilité sociale, s’attaque à la souveraineté monétaire des pays, n’est pas réglementée, est utilisée par des organisations criminelles pour blanchir leur argent, et est très polluante.

Hydro-Québec doit retourner devant la Régie de l’énergie pour trouver une façon d’annuler la décision prise l’automne dernier. Sinon, elle vendra jusqu’à 1 % de son électricité à perte aux mineurs de cryptomonnaies (elle vend 6 ¢/kWh et toute capacité supplémentaire lui coûtera 10 ¢/kWh en 2025).

On peut difficilement bannir la cryptomonnaie.

Mais on n’est pas obligé de lui fournir de l’électricité au rabais. Ni de la financer avec notre bas de laine. 

 

REF.:  https://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/2022-07-23/qu-est-ce-que-la-caisse-et-hydro-font-dans-la-crypto.php

lundi 27 janvier 2020

23000 employés de Revenu Québec touchés par une fuite de données




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23000 employés de Revenu Québec touchés par une fuite de données

Publié le 07/08/2019


C’est au tour de Revenu Québec d’être aux prises avec une fuite majeure de données personnelles, en l’occurrence celles de ses propres employés, d’anciens employés et de personnes ayant eu des liens contractuels avec le bureau du fisc québécois.
La Sûreté du Québec a annoncé mercredi qu’une femme de 39 ans et un homme de 46 ans de Québec ont été appréhendés mercredi matin relativement à cette fuite de données.
La dame serait une employée de Revenu Québec soupçonnée d’être à l’origine de la fuite et l’homme serait son conjoint. Une perquisition dans une résidence de Québec était en cours mercredi matin en lien avec cette affaire.
Le président-directeur général de Revenu Québec, Carl Gauthier, a informé ses employés mercredi qu’un membre du personnel avait transféré hors des lieux de travail certains renseignements personnels de 23 000 personnes liées à l’agence gouvernementale.
La fuite majeure a cependant été découverte le 25 juillet dernier et signalée aussitôt à la Sûreté du Québec, qui a déclenché une enquête.
« On ne pouvait pas divulguer d’information concernant ce fait avant, compte tenu de l’enquête, mais les actions posées par la Sûreté du Québec (mercredi) nous ont permis d’informer nos employés de la situation », a expliqué la porte-parole de Revenu Québec, Geneviève Laurier.
L’employée en question a été relevée de ses fonctions dès le lendemain de la découverte de la fuite.
Revenu Québec précise que rien n’indique jusqu’ici que les données en question auraient été vendues à des tiers ou utilisées de façon malveillante.
Les renseignements sont ceux d’employés, d’ex-employés et du personnel d’entreprises ayant fait affaire avec Revenu Québec. Il s’agit, dans la quasi-totalité des cas, du nom et du numéro d’assurance sociale des personnes touchées. Dans un nombre très restreint de cas s’ajoutent la date de naissance ou le salaire.
Dans aucun cas, cependant, les informations bancaires des employés touchés n’ont fait l’objet d’une fuite. De même, les renseignements fiscaux des employés n’ont pas été touchés, pas plus que ceux des citoyens québécois : « Les citoyens n’ont aucune crainte à avoir : aucune donnée fiscale, que ce soit de nos employés ou des citoyens, n’a été compromise », assure Geneviève Laurier.
Revenu Québec emploie quelque 12 000 personnes et, bien que l’agence n’ait pas encore terminé le recensement complet des victimes, tout indique qu’elles sont probablement toutes touchées ou presque; c’est donc dire que le nombre d’anciens employés et de sous-traitants ou contractuels ayant fait affaire avec Revenu Québec qui ont aussi été victimes de la fuite se chiffre à environ 11 000 personnes.
Mme Laurier a précisé que toutes les personnes impliquées seront avisées : « Les gens qui sont concernés vont être contactés prochainement, tant les anciens employés que les employés actuels. On va communiquer directement par lettre. »
« On est à dresser la liste des employés et ex-employés touchés pour communiquer avec eux rapidement et les accompagner par la suite et, à la lumière des conclusions de l’enquête, on va prendre les mesures appropriées », a-t-elle expliqué.
Peu de détails entourant l’enquête sont disponibles pour l’instant. On sait cependant que l’employé visé avait légitimement accès à ces données dans l’exercice de ses fonctions et que les informations en question proviennent des bases de données administratives principalement liées aux ressources humaines de Revenu Québec.
Outre la Sûreté du Québec, d’autres instances gouvernementales ont été avisées, notamment la Commission d’accès à l’information.
Revenu Québec a également aménagé un forum pour consultation sur son site internet à revenuquebec.ca/renseignements-personnels.

REF.:

vendredi 4 mai 2018

Dragonfly 2.0 avait attaqué des sociétés énergétiques aux Etats-Unis, en Turquie et en Suisse



Dragonfly 2.0 Hackers ciblant le secteur de l'énergie, selon,Symantec!Symantec attire l'attention sur le fait qu'un groupe de hackers ayant attaqué en premier des sociétés d'énergie en 2014 est de retour, et cette fois il pourrait avoir des objectifs plus perturbateurs.

Dragonfly:
Symantec a averti le 6 septembre qu'il voyait la réapparition d'un groupe de hackers connu sous le nom de Dragonfly qui cible directement les entreprises du secteur de l'énergie et les infrastructures du système de contrôle industriel (ICS).Symantec a émis des avertissements sur les premières attaques de Dragonfly en juillet 2014, après quoi les attaques du groupe de hackers ont diminué. Le nouveau round d'attaques, baptisé Dragonfly 2.0 par Symantec, est en cours depuis décembre 2015, avec un nombre croissant d'attaques en 2017."Une grande partie de cette activité n'a pas été détectée par l'industrie de la sécurité et est très ciblée", a déclaré à eWEEK Jon DiMaggio, analyste principal des renseignements sur les menaces chez Symantec. "Une fois que nous avons identifié l'activité et commencé à regarder ce qui se passait, nous avons réalisé que c'était une opération majeure ciblant l'industrie de l'énergie."

Les attaques Dragonfly 2.0 impliquent plusieurs éléments, y compris des courriels de phishing conçus pour inciter les utilisateurs à ouvrir des pièces jointes, ainsi que de fausses mises à jour Flash qui finissent par installer des backdoors de chevaux de Troie.

"Le fait que l'attaquant puisse créer des logiciels malveillants qui ne sont pas détectés et a des opérations orientées vers des objectifs montre que l'adversaire a à la fois le financement et les capacités habituellement réservés aux attaquants des Etats-nations", a déclaré DiMaggio.Selon Symantec, Dragonfly 2.0 a attaqué des sociétés énergétiques aux Etats-Unis, en Turquie et en Suisse. On ne sait pas combien d'organisations ont été touchées, bien qu'à ce stade, les attaques n'aient pas directement mené à des pannes opérationnelles connues.«Nous travaillons avec les victimes pour identifier et atténuer les récentes attaques de
Dragonfly
, mais étant donné qu'elles sont de véritables victimes d'une cyberattaque majeure, nous ne pouvons pas fournir de détails à ce niveau», a déclaré M. DiMaggio. "Cependant, je dirai que nous n'avons pas vu d'impact majeur sur les opérations, et nous espérons que cette information publiée publiquement empêchera les systèmes ICS vitaux d'être endommagés ou altérés."

Les attaquants de Dragonfly 2.0 utilisent un processus en plusieurs étapes pour accéder aux réseaux ICS et aux compagnies d'énergie. Selon Symantec, Dragonfly s'appuie fortement sur des informations d'identification volées pour compromettre un réseau. Les attaques utilisent une technique d'attaque "trou d'eau" où des sites Web légitimes sont utilisés pour compromettre les visiteurs de la page et les inciter à se connecter et ensuite transmettre les informations d'identification à une infrastructure contrôlée par l'attaquant, a déclaré DiMaggio.En outre, Dragonfly utilise des courriels de spear-phishing principalement utilisés pour déposer des logiciels malveillants, qui ensuite capture et transmet les informations d'identification de l'utilisateur à une infrastructure de l'attaquant. DiMaggio a déclaré que les attaquants de Dragonfly 2.0 utilisent principalement l'outil Phishery disponible pour la campagne de phishing.«Une fois l'accès à distance établi, l'attaquant utilise des outils publics ou des outils d'administration dans l'environnement de la victime pour obtenir des informations d'identification post-compromettantes afin de renforcer leur influence et leur accès aux systèmes d'intérêt», explique DiMaggio.





 
Le principal candidat parmi la panoplie d'équipes de hackers russes est un groupe de cyberspies, plus connu sous le nom d'Energetic Bear, mais également connu sous des noms tels que DragonFly, Koala et Iron Liberty. D'abord repéré par la firme de sécurité Crowdstrike en 2014, le groupe a d'abord piraté sans discernement des centaines de cibles dans des dizaines de pays depuis 2010, en utilisant des attaques dites «watering hole» qui infectaient les sites Web et plantaient un cheval de Troie appelé Havex. ' Machines. Mais il est vite devenu clair que les pirates avaient un objectif plus spécifique: ils utilisaient également des courriels d'hameçonnage pour cibler les vendeurs de logiciels de contrôle industriel, faisant glisser Havex dans les téléchargements des clients. L'entreprise de sécurité FireEye a découvert en 2014 que le groupe avait violé au moins quatre de ces cibles de contrôle industriel, ce qui a permis aux hackers d'accéder à tout, des systèmes de réseaux électriques aux usines de fabrication.Selon Adam Meyers, vice-président du renseignement de Crowdstrike, le groupe semblait au moins en partie concentré sur une large surveillance de l'industrie pétrolière et gazière. Les cibles d'Energetic Bear incluaient tout, des producteurs de gaz aux entreprises qui transportaient du gaz liquide et du pétrole jusqu'aux sociétés de financement de l'énergie. Crowdstrike a également découvert que le code du groupe contenait des artefacts en langue russe et qu'il fonctionnait pendant les heures d'ouverture de Moscou. Tout cela suggère, selon Meyers, que le gouvernement russe pourrait avoir utilisé le groupe pour protéger sa propre industrie pétrochimique et mieux utiliser son pouvoir en tant que fournisseur de carburant. "Si vous menacez d'éteindre le gaz dans un pays, vous voulez savoir à quel point cette menace est grave et comment l'exploiter correctement", dit Meyers.





À ce stade, les attaques Dragonfly n'ont pas utilisé de logiciels malveillants destructifs qui auraient un impact sur les opérations d'un SCI. En juin 2017, des chercheurs en sécurité de Dragos et ESET ont détaillé les actions d'une attaque baptisée Industroyer qui a déclenché une panne de courant massive en Ukraine.Avec l'opération originale de Dragonfly 1.0, l'évaluation de Symantec est que l'intention des attaquants était d'obtenir l'accès à des systèmes basés sur l'énergie et sur le SCI, selon DiMaggio."Sur la base des opérations postales et du temps et des efforts consacrés à l'accès à un réseau ou à des systèmes spécifiques au cours de la récente campagne, il est au-dessus de ce qui a été vu dans Dragonfly 1.0". "Nous pensons qu'il est plausible, basé sur la quantité de temps d'attaque et l'intérêt pour des systèmes spécifiques, que le principal avantage d'y accéder serait de perturber les opérations."

REF.:

mercredi 18 avril 2018

Électricité: Robot solution ?



LineScout – Un robot polyvalent pour lʼinspection des lignes aériennes

Le LineScout est une plateforme robotique conçue pour lʼinspection et la maintenance des lignes de transport sous tension. Capable de franchir la plupart des obstacles sur son chemin, le LineScout est un outil de choix pour obtenir une information détaillée de qualité, essentielle pour assurer la fiabilité du réseau sans compromettre lʼexploitation. Les capteurs dʼévaluation non destructives quʼil transporte permettent le diagnostic de lʼétat des conducteurs, et ce, en minimisant lʼéchantillonnage. Il vous fournit une information de qualité, détaillée, essentielle à la prise de décision.
Outre lʼinspection, le LineScout peut accomplir certaines tâches de maintenance en toute sécurité, comme la réparation de brins brisés sur les conducteurs et les câbles de garde.


LineROVer – Un robot compact pour lʼinspection des lignes aériennes

Léger et compact, le LineROVer a été mis au point pour le déglaçage des câbles de garde et des conducteurs aériens. Ce robot télécommandé a depuis trouvé de nombreuses applications pour lʼinspection et la maintenance des lignes aériennes de transport et de distribution, sur lesquelles il peut intervenir même quand elles sont sous tension.
Simple dʼutilisation et dʼinstallation, le LineROVer sʼavère un outil de choix pour une vaste gamme dʼinterventions dans des endroits difficiles dʼaccès.



LineCore – Un détecteur de corrosion pour les conducteurs en aluminium-acier

Le détecteur LineCore vous renseigne sur lʼétat de la protection galvanique des conducteurs de lignes de transport et de distribution. Déployable sur un réseau sous tension, il mesure avec précision lʼépaisseur de la couche de zinc dʼune portée complète. Vous pouvez ainsi déceler les anomalies causées par la corrosion avec un minimum dʼéchantillonnage.
Cʼest lʼoutil de choix pour obtenir une information détaillée sur lʼétat des conducteurs en aluminium-acier (ou ACSR pour Aluminum Conductor Steel Reinforced).
Les données fournies par le détecteur LineCore permettent de calculer le niveau de dégradation du conducteur et contribuent à lʼévaluation de la fin de sa durée de vie utile.



DRONES - Révolution dans le marché de l’inspection et de la maintenance de lignes de transport

Développer des drones ultraperformants et spécialisés pour la réalisation de tâches dʼinspection et de maintenance des infrastructures de lʼindustrie électrique


REF.:

mercredi 30 juillet 2014

Internet : Hydro Haute Vitesse ?



L’avènement du Web a tout bouleversé : les utilisateurs eux-mêmes alimentent le flux d’information en ajoutant les leurs et le réseau n’est plus seulement vertical (des centrales vers les utilisateurs), mais aussi horizontal (d’utilisateur à utilisateur).

CPL: le haut débit via le réseau électrique:

 L'Internet par la prise électrique, CPL (Courant Porteur en Ligne), commence à faire son apparition, notamment en France. Cette technique permet de réaliser un réseau LAN en utilisant le réseau électrique d'un logement ou d'une entreprise.

Donc,hydro pourrait avec l'arrivé de ses compteurs nouvelle génération ,déja prévu(dans les plans secret d'Hydro) a un implantation de l'internet par CPL ! 

 

Et déja dans les anciens compteurs a roulette ,certains fonctionnaient avec un modem relier a la ligne Bell de votre maison,donc la lecture rapide et instantané de Hydro , se fesait déja !Alors pourquoi pas un modem plus puissant en WiFi ou en CPL, du nouveau compteur nouvelle génération ?

Le CPL : C'est ,.................... 

Toutes les enquêtes le montrent, nous sommes de plus en plus nombreux à posséder plusieurs ordinateurs à la maison. Avec l'explosion du câble et de l'ADSL, on dispose par ailleurs de connexions à haut-débit dont il serait dommage de ne pas profiter complètement, notamment en les partageant entre tous les ordinateurs du foyer, par exemple via un réseau local (LAN). En même temps, le besoin de partager des ressources se fait de plus en plus évident: imprimante, fichiers, backup, etc.
Pour mettre en oeuvre un tel réseau, il existe plusieurs types de solutions:
  • les réseaux cablés. Mais qui dit câbles, dit, le plus souvent des travaux à réaliser. Ces travaux peuvent parfois se heurter à des contraintes architecturales ou à des problèmes liés à un contrat de bail;
  • les réseaux sans fil WiFi. Cette technique, très pratique lorsqu'elle fonctionne bien, pose néanmoins certains problèmes de transmission à travers des parois très épaisses (murs ou hourdis) ou de sécurisation (votre connexion peut être captée... par les voisins). Enfin, beaucoup hésitent encore à l'idée de voir leur domicile traversé par des ondes en permanence!
  • les réseaux CPL.
La technique CPL est bien connue et déjà utilisée pour controler les compteurs électriques bi/tri horaires par exemple. Aujourd'hui, elle permet également de connecter à Internet (via un modem câble ou ADSL) et en réseau local plusieurs ordinateurs, tout simplement par le réseau électrique, sans se heurter au problème des câbles traînant sur le sol ou accrochés aux murs. Par sa nature même, le réseau électrique d'une habitation couvre toutes les pièces et donne ainsi l'opportunité d'offrir un accès Internet de la cave au grenier et de la terrasse au garage!
En ce qui concerne les vitesses de transmission, la technologie CPL offre un débit moyen de 14 Mbps, c'est-à-dire:
  • un peu plus rapide que le WiFi 802.11b, qui fonctionne à 11 Mbps,
  • moins rapide que le WiFi 802.11g (54 Mbps),
  • 5 à 10 fois mois rapide que les réseaux LAN cablés.
Il faut toutefois tenir compte d'une limitation de distance: 200 mètres!

Donc compétitif au ADSL et Cable internet,mais moins rapide évidemment,ce qui pourrait favoriser les gens avec juste le désir de voir le web au ralenti ,faire quelque email et un peu de facebook . Donc ,pas pour les gamers !
Si Hydro fonce avec ça, on pourra avoir 4 services,soit plugger notre voiture électrique(Bell,télus,videotron ont pas ça!),le téléphone résidentiel par internet,l'internet, le cellulaire avec entente avec Bell ? qui saient, aussi , la Télé ? non , la bande passante serait pas assez performante , lol ! Mais dans combien de temps,..........même pas René Lévesque le savait pas !)



 Mais les compteurs nouvelle gen, sont ......:

COMMENT LES DONNÉES DE CONSOMMATION SONT-ELLES TRANSMISES ?

Le compteur a un rôle actif : il enregistre la consommation d’énergie du client et la transmet à un autre compteur, qui la transmet à son tour à un autre compteur, et ainsi de suite, jusqu’à ce que la donnée arrive au routeur.
Le routeur achemine les données à un autre routeur ou directement au collecteur.
Le collecteur fait transiter les données cryptées vers le frontal d’acquisition. Par la suite, les données sont acheminées vers le système de gestion des données de mesurage. Ce grand entrepôt de données fait le lien avec le système de facturation d’Hydro-Québec qui sert à émettre les factures de nos clients.
Dans le cas d'un compteur non communicant, celui-ci exige une relève manuelle, de visu, et ne contient pas de carte de communication. Conséquemment, il ne transmet pas les données de consommation par radiofréquences.Dans le cas d'un compteur non communicant exigeant une relève manuelle, un X précèdera le numéro de série à cet endroit. Ce type de compteur ne contient pas de carte de communication et ne transmet pas les données de consommation par radiofréquences.



Hydro-Québec est-elle à l’abri d’une défaillance des systèmes informatiques ou de télécommunications ? Mes données de consommation risquent-elles d’être perdues ? 

Les équipements des systèmes informatiques et de télécommunications sont robustes et fiables. Néanmoins, Hydro-Québec a intégré différentes mesures ou systèmes de contingence à l'infrastructure de mesurage avancée afin de palier rapidement si une défaillance survenait.

Ainsi, les compteurs ont des fonctionnalités de sauvegarde automatique qui permettent de conserver les données de consommation, le temps qu’Hydro-Québec remédie à toute défaillance. Ces données pourront alors être transmises une fois la situation rétablie.

De plus, grâce au type de réseau qu’a choisi Hydro-Québec, les données de consommation empruntent des trajets différents selon la disponibilité des équipements de télécommunication.

La nouvelle infrastructure de mesurage avancée offrira d’autres avantages, dont :
• la détection de pannes et le rétablissement du service plus rapide ;
• la possibilité pour le client de suivre sa consommation en ligne et d’en faire une gestion judicieuse.
Cette nouvelle infrastructure évolutive permet de mieux répondre aux besoins des clients, aujourd’hui et demain. En faisant appel à ces compteurs de nouvelle génération, devenus la norme dans l’industrie, Hydro-Québec s’inscrit dans une tendance mondiale dans le domaine et fait appel à une technologie qui a fait ses preuves ailleurs dans le monde.


 


Martin Maier pourrait écrire des romans de science-fiction, tellement les idées qui traversent son esprit appartiennent à un univers futuriste. Ingénieur et professeur au Centre Énergie Matériaux Télécommunications de l’INRS, sa vision des réseaux optiques pourrait bien changer la façon dont on communique et distribue l’information, mais aussi l’énergie.Imaginez maintenant un Québec où le réseau électrique ressemble à celui du Web : chaque utilisateur produira un peu d’électricité (par le solaire, l’éolien ou les piles à combustible) et l’injectera dans le réseau. En contrepartie, nous aurons des voitures électriques rechargeables qui, une fois stationnées et branchées sur le réseau, deviendront des parties de ce réseau et serviront à autre chose : leur électricité pourra être utilisée pour recharger un autre appareil qui en a un besoin plus pressant…

« Tout cela nécessitera un réseau intelligent, souligne Martin Maier. On l’appelle déjà la Smart Grid, la grille intelligente. Le couplage entre le réseau électrique et Internet sera très intime, et il permettra de tout analyser en continu. Le système prendra l’énergie où il y en a trop pour l’acheminer là où il y a une demande. Cet équilibre constant fera diminuer les pics et les creux de demande en électricité. »

Dans un monde où les voitures seront majoritairement  électriques, les magasins à grande surface, pour attirer la clientèle, offriront des espaces de stationnement avec bornes de recharge. En garant sa voiture dans ces espaces, la recharge s’amorcera d’elle-même, et comme le réseau électrique et Internet seront intimement liés, la voiture pourra être reconnue et un message du genre jaillira de ses hautparleurs : « Bienvenue M. Maier. À votre dernière visite, vous avez acheté tel produit. Vous serez peut-être intéressé d’apprendre que cet article est présentement en solde… »

Bien sûr, une telle vision de l'avenir ouvre la porte à de possibles dérapages dans les sphères de la vie privée. En effet, ces nouvelles technologies de l’information apporteront avec elles leurs lots de questionnements éthiques, et il faudra réfléchir aux limites qu’on voudra s’imposer et à la façon de les faire respecter. Martin Maier, toujours un peu plus loin dans le futur, y réfléchit déjà… ♦


REF.:

lundi 19 septembre 2011

Votre modem HV interfère avec votre compteur d'Hydro-Québec

Montréal - Coincée entre Bell et Hydro
Louise Rondeau a dépensé des milliers de dollars depuis décembre dernier pour résoudre son problème de ligne téléphonique avec Bell. 
© Héloïse Archambault
Oui,c'est répertorié et les modems HV ou en quelque sorte votre accès HV peut couper momentanément,quand Hydro-Québec utilise son mode de lecture nocturne de compteur par téléphone! C'est ce qui fait que beaucoup d'usagers sont aller vers la câble videotron !Oui,une autre histoire d'horreur!




Aux prises avec un problème de ligne téléphonique, une Montréalaise a dû se battre contre Bell Canada durant six mois et dépenser des milliers de dollars, pour finalement se faire dire que c'est son compteur électrique qui était la source de ses ennuis.

VOTRE OPINION:
Avez-vous déjà vécu ce genre de problème avec votre ligne téléphonique?
«C'est incroyable, déplore Louise Rondeau, désespérée. Je pourrais écrire un livre avec tout ce qui m'est arrivé. C'était le chaos.»
Depuis décembre der nier, la femme qui demeure au même en-droit depuis 20 ans doit composer avec un soudain problème de ligne téléphonique.
«Les gens disaient qu'ils m'appelaient et que je ne répondais pas. Mais, j'étais là, et ça ne sonnait pas ! raconte celle qui gère une compagnie depuis sa résidence. Je man-quais tous mes rendez-vous et je perdais des clients sans le savoir. Ça empoisonnait ma vie.»
Pire avec le temps
En mars dernier, la cliente reçoit la visite d'un premier technicien de Bell Canada, qui ne décèle aucune anomalie.
Pourtant, les problèmes s'aggravent. En plus de sa ligne téléphonique, voilà que son ordinateur ne fonctionne plus.
«J'ai vérifié toutes les lignes, j'ai acheté un nouvel ordinateur, j'ai changé mes téléphones, j'ai tout fait, énumère-t-elle. J'étais au désespoir.»
Au total, six techniciens sont venus à son domicile en quatre mois. «Ils étaient tous plus incompétents les uns que les autres, souligne Louise Rondeau. Une téléphoniste m'a même dit que j'avais un problème dans la tête tellement ils ne savaient plus quoi faire.»
Problème de rouille
Cette dernière raconte aussi que Bell Canada la menaçait de lui faire payer 90 $ l'heure pour une visite résidentielle.
Puis, en juillet dernier, le technicien qui se présente à son domicile décide d'aller faire un tour dans la cave de la maison. Il constate que le compteur électrique est branché à la boîte téléphonique, et que la rouille accumulée sur le fil cause de l'interférence.
«Je ne savais même pas qu'Hydro-Québec utilisait ma ligne de téléphone pour lire mon compteur», souffle la dame.
Compteurs qui «fonctionnent»
Selon le porte-parole d'Hydro-Québec, Patrice Lavoie, 30 000 compteurs de ce type, qui calculent à distance, ont été installés dans la région de Montréal, dans des endroits difficilement accessibles pour les releveurs de compteur.
«On n'utilise plus cette technologie aujourd'hui, mais ça fonctionne bien, assure-t-il. On n'a pas d'autre cas défectueux documenté.»
Trois ans sans facture
Pourtant, Louise Rondeau a déjà eu des problèmes avec son compteur. Entre 2007 et 2009, la femme dit n'avoir reçu aucune facture d'électricité. Puis, Hydro-Québec lui a envoyé un avis de coupure de courant, à moins qu'elle ne débourse 3 300 $ pour factures non payées.
«Ces deux compagnies-là contrôlent tout le système, et nous ne sommes que des pions qu'ils manipulent, dénonce-t-elle. C'est sûr que d'autres personnes ont eu le même problème que moi. On est tellement impuissants devant eux. C'est scandaleux.»
Au moment de publier, Bell Canada n'avait toujours pas rappelé le Journal.
À partir de janvier 2012, Hydro-Québec procédera à l'installation de 3,8 millions de compteurs de «nouvelle génération», qui permettent la lecture à distance de la consommation énergétique des abonnés.


REF.: