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mercredi 10 avril 2013

Paradis fiscaux: "Ze Liste" ......de plus de 450 Canadiens, dont 46 Montréalais


Paradis fiscaux

Québec réclame la liste des noms............

Québec emboîte le pas au gouvernement de Stephen Harper et réclame aussi la liste de noms des Québécois qui auraient placé de l’argent dans les paradis fiscaux.
«Je peux vous dire que j’ai demandé à ce que Revenu Québec, qui travaille avec d’autres administrations à travers le monde et avec l’Agence du revenu du Canada, puisse avoir accès à la liste de noms», a lancé Pauline Marois en Chambre.
La première ministre a spécifié que son gouvernement utiliserait «tous les moyens légaux pour être capable d’obtenir cette information».
Mme Marois souligne «l’exigence que l’État s’assure que les citoyens agissent en toute légalité et que les sommes qui lui sont dues lui reviennent».
La fuite de données confidentielles a été remise au Consortium international des journalistes d’enquête. Plus de 450 Canadiens, dont 46 Québécois habitant majoritairement dans la région de Montréal, se retrouvent sur cette liste.
Au Canada, c’est Radio-Canada qui a mis la main sur cette liste et qui pourrait faire l’objet d’une poursuite.

La grande évasion ??????????Tony Merchant????????

 ???????????????

Chaque année, le Canada perd des milliards de dollars(7 milliards/année $?$) en impôts non-déclarés sur des avoirs à l'étranger. Pourquoi ceux qui contournent les lois ont-ils peu de chances d'être épinglés?
Enquête dévoile les secrets d'un de nos concitoyens qui cache sa fortune dans les paradis fiscaux.

L’ex-maire de Laval Gilles Vaillancourt ,.............l'UPAC recherche plus de 15 Millions $ dans des paradis fiscaux !
Des millions $ à trouver
Les Canadiens investissent quelque 160 milliards $ dans des paradis fiscaux à l'étranger, selon une estimation de 2011. Posséder un compte bancaire à l'étranger n'est pas illégal, tant et aussi longtemps qu'on le déclare.
Les paradis fiscaux sont sous surveillance internationale ces dernières années. Plus tôt ce mois-ci, les pays du G8 se sont engagés à un échange automatique d'informations pour combattre le fléau de l'évasion fiscale lors de leur sommet en Irlande du Nord.

Il y a eut aussi Philippe Couillard ,le Politichien du Parti Libéreule,a L'Ïle de Jersey de 1992 a 2000 !


Radio-Canada n'est aucunement responsable du contenu des sites externes





















C’est la thèse explosive que défend l’auteur Alain Deneault dans un livre à paraître mardi, Paradis fiscaux: la filière canadienne, dont notre Bureau d’enquête a obtenu copie en primeur.
Selon l’auteur, chargé de cours au département de science politique de l’Université de Montréal, les banques canadiennes tout particulièrement sont loin d’être innocentes dans la place grandissante que prend l’offshore dans l’économie canadienne.
Dans plusieurs îles minuscules des Antilles, elles sont les principales places d’affaires, et il est très douteux qu’elles servent seulement à recueillir lesdépôts des petits épargnants, affirme l’auteur.
«On s’aperçoit que le Canada joue un rôle important dans le développement de la finance dans les Caraïbes», explique-t-il.

« C'est en 1837,qu'une banque canadienne, la Halifax Banking Company, que la Colonial Bank de Londres [devenue Barclays] demande d’être l’intendante du secteur financier dans les Caraïbes »,dit-il. « Donc, ce sont d’emblée des Canadiens qui, dès cette époque, vont assumer toute l’organisation financière de cette région, au moment où les banques américaines n’ont pas le droit de créer des filières à l’extérieur des États-Unis. »
  Ce qui fait en sorte qu’à la naissance des paradis fiscaux des Caraïbes, il y a une soixantaine d’années, « les banques canadiennes sont déjà en place là-bas ». Car au fil du temps, elles se sont installées dans les Caraïbes les unes après les autres : la Banque Scotia (Jamaïque, 1889), la Banque Royale (Bahamas, 1909), la CIBC (Jamaïque, 1920), etc.


Des personnalités politiques de premier plan, comme l’ancien premier ministre Paul Martin et le ministre des Finances Jim Flaherty, sont aussi complices de cette réalité et l’encouragent discrètement, selon lui.
SOUS LA LOUPE
Alain Deneault s’était déjà intéressé à l’offshore dans un premier livre (Paradis fiscaux et souveraineté criminelle), mais il a choisi cette fois de scruter plus en détail le rôle du Canada dans cette architecture financière de plus en plus incontournable.
Le Québec n’échappe pas non plus à la vague, lui qui subventionne lesbureaux montréalais d’un des cabinets d’avocats les plus en vue aux ÎlesCaïmans, Maples and Calder.
CANADA STEAMSHIP LINES
Selon l’auteur, la décision du premier ministre Paul Martin d’enregistrer sa compagnie, Canada Steamship Lines, à la Barbade en 1995 a sonné le coup d’envoi d’une véritable course au offshore pour les riches contribuables et lesentreprises canadiennes.
«À partir de cette date, l’augmentation des placements canadiens à la Barbade sera de l’ordre de 3600 % en quelques années, passant de 628 millions en 1988 à 23,3 milliards en 2001», écrit-il.
Alain Deneault souligne qu’il est absolument impossible que tout cet argent ait servi à réaliser de véritables investissements.
«La Barbade a reçu en 2006 des investissements directs canadiens de l’ordre de 89 millions par kilomètre carré ou de 136 653 $ par habitant. C’est insensé. À l’évidence, certains investissements ne servent pas à acheter des usines.»
Environ 25 % des investissements étrangers du Canada sont aujourd’hui réalisés dans des paradis fiscaux.
Selon l’auteur, le gouvernement conservateur en place à Ottawa n’a fait qu’accentuer le phénomène en légalisant des pratiques qui étaient autrefois considérées comme illégales.
«Il est devenu clair que la politique fédérale canadienne consiste à lutter contre la fraude fiscale en la légalisant.»
Tout le monde attend la légalisation des Banques Offshore,mais avec une succursale au Québec !$! 
Msieur Harpeur ?
,.........................de rien !
Paradis fiscaux : le Canada ferme t-il les yeux? Le Canada a joué et continue de jouer un rôle de premier plan dans le développement des paradis fiscaux dans les Caraïbes et ailleurs.
Le rôle du Canada dans la finance offshore, selon Alain Deneault
​Îles Caïmans: Un cabinet d’avocats canadien, Maples and Calder, a rédigé une législation très favorable aux hedge funds et au secret bancaire.
​Bahamas: La Banque Scotia fournit le conseiller de la législation et la Banque Royale a compté un ministre comme administrateur.
​Barbade: Accord conclu sur la protection des investissements étrangers. Possibilité d’enregistrer des actifs à la Barbade en payant très peu d’impôt et de les rapatrier au Canada sans impôt.
​Jamaïque: Un ex-gouverneur de la Banque du Canada signe un rapport prônant des exemptions fiscales pour les entreprises étrangères.
​Îles Turques-et-Caïques: Lobbying pour l’intégration au sein du Canada. Nombreux liens avec la finance canadienne. Présence d’un grand fonds d’investissement canadien impliqué dans une fraude pyramidale.
​Bermudes: La Bourse de Toronto est devenue en 2011 l’un des principaux actionnaires de la Bourse des Bermudes. 12 G$ d’investissements canadiens en 2012.
​Panama: Traité de libre-échange signé avec le Canada en 2010 pouvant avantager des blanchisseurs de fonds d’Amérique latine.
«Le ministre fédéral du Revenu Jean-Pierre Blackburn a dû quitter son ministère en janvier 2010, peu après s’être intéressé de très près aux affaires de la Banque Royale du Canada au Liechtenstein. L’institution financière aurait aidé  106 particuliers fortunés du Canada à y inscrire quelque 100 millions de dollars.»
​« Les cibles que se donnent le ministère (du Revenu à Québec) trahissent sa mentalité de pense-petit. (...) Les recouvrements escomptés proviennent essentiellement de la catégorie des fraudeurs convenus, c’est-à-dire l’industrie de la construction, le secteur de la restauration et le commerce du tabac.»
​«Au moment de révélations mondiales sur les paradis fiscaux, le ministre canadien des Finances (Jim Flaherty) accourt vers les Bermudes.»??? ;-)


- Un prétendu gisement d'or en Russie, plusieurs entreprises aux Îles Vierges et au Delaware, des transactions à Monaco et Gibraltar et une maison en banlieue de Montréal; voici le récit d'une mésaventure boursière qui illustre les méandres du système de régulation financière et les risques pour les investisseurs.Les compagnies Flarefort, Strathcon et Uppercreek, que dirigeait le Québécois, auraient été créées uniquement pour liquider le plus rapidement possible des millions d'actions d'Aurus. Cette compagnie, enregistrée au Delaware, dit détenir des droits sur un important gisement d'or en Russie.

Normand Terroux est présenté comme l’employé d’Henri Massé, l’ex-patron de la FTQ et du Fonds de solidarité des travailleurs, dans un jugement daté de 2004.
Son nom apparaît aussi dans la base de données du Consortium international des journalistes d’enquête. Selon ces informations coulées que notre Bureau d’enquête a pu consulter, Terroux a été administrateur ou actionnaire d’au moins vingt compagnies aux îles Vierges britanniques, entre 2005 et 2009.
Certaines d’entre elles auraient servi à faire circuler de l’argent sale, selon des documents provenant des autorités réglementaires américaines.
À la même époque, Terroux a travaillé pour l’International (Conseil provincial des métiers de la construction) et la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ).




​Un ex-avocat de la FTQ  et de l’International cachait de l’argent aux Iles Vierges

Normand Terroux aurait fait virer à Gibraltar et à Monaco plus de 2 millions $ US issus d’une arnaque aux États-Unis.

Terroux a aussi agi en 2012 comme représentant d’une société du nom d’Alpha Capital Finance, située à Laval. La société donne la même adresse que celle donnée par Gerald Parkin, un homme d’affaires poursuivi par l’Autorité des marchés financiers (AMF) dans le cadre du dossier Carrefour.Un mystérieux homme d’origine russe, Viatcheslav Makarov, qui demeure à Westmount, est le fondé de pouvoir de cette société. Il a aussi été président de Nord Oil, une société à actions cotées en cents qui donne son adresse à Montréal, mais qui aurait soi-disant été engagée dans l’exploration pétrolière au Kazakhstan au milieu des années 2000.
 Gerald Parkin:






​Un ex-avocat de la FTQ  et de l’International cachait de l’argent aux Iles Vierges





Les intouchables

Des multimillionnaires canadiens cachent leurs fortunes grâce au puissant cabinet comptable KPMG.
La famille Cooper de victoria ,en colombie-britannique, a investi par KPMG de l'argent a l'île de Man, dans la société OGRAL.
La société SOJECCI créé en 2000 ou siège au C.A. un Canadien , Frederick William Benn, un administrateur du groupe videotron ltée,c'est aussi ls société d'André Chagnon ,le fondateur de Videotron .Ça lui a coûté 100,000$ seulement a KPMG pour injecter des millions dans ce paradis fiscale de l'île de Man.
SOJECCI HOLDING et SOJECCI INVESTMENTS,fut créé aussi en 2000 a la Barbade. En 2001 la société GASQUE INVESTMENTS,est relier au neveu de Ted Rogers de Rogers Mobile(celui qui acheta Videotron),dont David Robinson en est le vice-président de la banque Rogers.
En 2004 ,la société SNOW ,par Omar Lortie et André Durand (De Blainville).
La société BURIM,de Jim Burt qui a une confiserie Nutty Club Factory du Manitoba.
La société SKH ,lier au Ontarien Vic de Zen,qui est dans l'immobilier et le plastique.La société CALFAR43,de Richard Garneau de la papetière Résolu.Et c'est grâce a l'amnistie négocier par KPMG avec le gouvernement qui empêche de dévoiler tout les autres multimillionnaires Canadiens du Paradis fiscale de l'Île de Man.Et que c'est le même groupe KPMG qui avait accepté de payer 456 millions de dollars aux USA,dans une affaire d'évasion fiscale facilitée à ses clients entre 1996 et 2002.
Ce règlement amiable évite ainsi à KPMG le même sort subi par le cabinet Arthur Andersen, condamné au démantèlement à l'issue d'une enquête en 2002 contre son implication dans le scandale comptable du courtier en énergie Enron.A ce moment environ 11 milliards de revenus dissimulés auraient dû être imposés et auraient dû générer 2,5 milliards d'impôts, selon les chiffres avancés par l'accusation.KPMG a pour sa part indiqué s'être séparé de toutes les personnes impliquées dans cette affaire, soit neuf anciens dirigeants du cabinet. Ces derniers doivent être traduits devant la justice, un tribunal fédéral à Manhattan(tout le monde espère qu'après ça,ils s'en n'iront pas a la solde de la mafia)!

L'ex-Premier Ministre Brian Mulroney(a adminstré des milliards au Bermude): Le service britanique de la répression des fraudes majeures avait lancé une enquête en 2004 sur le contrat  Al Yamamah et un des entremetteurs du contrat était le milliardaire Wafic Said (qui avait reçu la citoyenneté canadienne facilement pour payer moins d'impôt au Canada)qui lui avait recruté Brian Mulroney pour gérer sa fortune.Et Mulroney y était de 2004 a 2012,sur le conseil d'administratrion ( 100,000$/année) de Said Holding ,et dont les argents sont placé dans des paradis fiscaux comme les Bermudes avec plus d'un milliard de dollard .

 On sait très bien que philippe couillard est devenu un non résident fiscal et qu'il avait un compte à l'île de man,dans un paradis fiscal ,donc il a fait le voeu avant de devenir premier ministre, de quitter définitivement québec et de ne pas revenir .comme premier ministre .

Et comme ministre des finances on se trouve a avoir qui ,monsieur Carlos J. Leitão, ,qui fait partie du système bancaire et le système bancaire on sait y a  travailler à RBC et à la laurentienne ce sont eux qui structurent les paradis fiscaux que se soit comme ministre des finances ,donc je parlais de l'escroquerie légalisé.

Je vais faire une petite salutations aussi à,........... monsieur charles sirois qui est un des fondateurs de la CAQ, salutations monsieur sirois qui a siéger comme administrateur à la banque cibc et qui s'est venté en assemblée d'actionnaires d'utiliser des paradis fiscaux pour payer le moins d'impôt possible au canada et au québec alors on l'applaudît .

Et je voudrais applaudir le chef aussi de,........ la caq françois legault qui a été un des fondateurs d' air transat et qui lui aussi se vanter d'avoir dans le fond ,une filiales dans les paradis fiscaux à la barbade ,....bravo.Je vais aussi félicité , monsieur François legault de ses choix ok, d'aller chercher dans le fond un banquier de la banque nationale ,la banque nationale si ma mémoire est bonne, c'est pas la banque qui a reçu la plus grosse sanction de l'AMF pour avoir utiliser les paradis fiscaux ,bravo bravo bravo !

-Se­lon la pour­suite, la Banque Royale au­rait four­ni à Guy Wil­den­stein un trust aux Ba­ha­mas qui lui au­rait per­mis d’élu­der un de­mi-mil­liard d’eu­ros en im­pôt à payer à l’État fran­çais lors d’une suc­ces­sion au tour­nant des an­nées 2000.
 
Les caisses de retraites y sont bien cachées !

-La Caisse de dépot et de placement du Québec y détient des actifs d'environ 23 milliards $ dans des paradis fiscaux!(Paradise Papers a l'appui)

-L'Office d'investissement de régime de pensions du Canada
-Le Régime de retraite des enseignants de l'Ontario.
-L'Office d'investissement des régimes de pensions du secteur publique.
-Le British Colombia Investment Management Corp.
-Le régime de retraite des employés municipaux de l'Ontario.
-L'Alberta Investment Management Corp.

Au cours des dernières années,le gouvernement Canadien,n'a récupèré que 9,4% des 3 milliards d'impôts esquivés annuellement au Canada par les particuliers et les sociétés qui ont recours aux paradis fiscaux.Car les gouvernements des pays industrialisés ,permettent a leurs grandes caisses de retraite d'y poursuive leurs activités financières.

Plusieurs révélations sont dans le livre: La grande dérive par Jean-François Cloutier du journal de montréal.



Ici et la,un peu partout:
Aussi les footballeurs vedettes d'Europe,comme Cristiano Ronaldo,Lionel Messi qui se sont retrouvés dans le trouble avec les paradis fiscaux.A t'on aussi des Canadiens ?

Dans le domaine de la musique,le groupe les Rolling Stones,qui ne paient a peu près rien en impôts grâce a un montage financier qui implique les Pays-Bas,...........Ça va tu devenir de même icitte !

*Des Canadiens dans les Pandora Papers

Des centaines de comptes et sociétés appartenant à des Canadiens apparaissent dans la fuite, mais certains sautent davantage aux yeux que d’autres.

  • L’ancien champion de formule 1, Jacques Villeneuve, possédait des sociétés et des fiducies dans des paradis fiscaux avant même qu’il n’entame sa carrière en formule 1, révèlent les Pandora Papers. M. Villeneuve n’a pas répondu aux questions de Radio-Canada parce qu’il est présentement en litige avec Revenu Québec. Plus de détails seront dévoilés à l’émission Enquête, jeudi à 21 h sur ICI Télé.
  • Le patineur artistique Elvis Stojko a transféré des actifs canadiens valant jusqu’à 6,5 M$ dans une fiducie caribéenne en 2007, alors qu’il vivait au Mexique. Trois fois champion du monde, sept fois champion national et double médaillé d'argent aux Jeux olympiques, M. Stojko a eu de l’aide de Patinage Canada, un organisme financé par l’État, pour transférer ces fonds. Elvis Stojko a répondu à CBC que son avocat s’est occupé de ses finances et qu’il n’avait aucun réel intérêt ou implication dans le processus. Quand mon avocat de longue date a conseillé que je mette en place une fiducie, j’ai eu confiance qu’il agirait dans mes meilleurs intérêts et conformément à la loi.
  • Le cybercriminel allégué Alexandre Cazes a pu utiliser des sociétés-écrans pour acheter des maisons de luxe, dont une maison de 7,6 M$ en Thaïlande. Le Trifluvien de 25 ans avait été arrêté en Thaïlande en 2017 puis accusé par la justice américaine d’être le gestionnaire d’AlphaBay, le plus important marché illégal de l’histoire du web caché. Il avait été retrouvé mort une semaine plus tard en prison thaïlandaise de suicide apparent. Plus de détails seront dévoilés à l’émission Décrypteurs, samedi à 11 h 30 sur ICI RDI.
  • Le millionnaire québécois Firoz Patel purge présentement une peine d’emprisonnement de trois ans aux États-Unis après avoir plaidé coupable d'accusations de complot, de blanchiment d’argent et d’exploitation de services financiers sur Internet sans permis. Le Montréalais et son frère ont fait fortune sur le web grâce aux plateformes Payza et AlertPay, qui ont traité plus de 250 M$ de paiements issus d’activités criminelles (Nouvelle fenêtre). Les Pandora Papers révèlent que Firoz Patel s’est envolé aux Émirats arabes unis pour faire l’acquisition d’une société extraterritoriale alors que les deux frères faisaient l'objet d'une enquête. Depuis la prison, il a déclaré au Toronto Star que celle-ci poursuivait des fins légitimes, pour mener des affaires en Asie, et qu’elle n’avait rien à voir avec les services financiers qu’il offrait sur Internet.
  • L’ancien avocat britanno-colombien Fred Sharp était le Canadien le plus souvent cité comme intermédiaire pour des sociétés qui faisaient affaire avec le géant panaméen de la constitution de compagnies Mossack Fonseca, la firme au cœur de la fuite des Panama Papers en 2016. M. Sharp et plusieurs de ses associés ont intenté des dizaines de poursuites contre l’Agence du revenu du Canada (ARC) après que celle-ci eut entamé des audits à leur sujet, qui n’ont toujours pas porté leurs fruits. Lui et quelques-uns de ses clients ont été accusés de fraude en valeurs mobilières par le FBI (Nouvelle fenêtre), en août. Le nom de M. Sharp apparaît en moindre mesure dans les Pandora Papers, qui montrent que lui et sa firme Corporate House se sont chargés de tâches administratives de sociétés extraterritoriales. Fred Sharp n’a pas donné suite aux demandes d’entrevue de CBC.


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