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dimanche 8 juillet 2018

Psychopathe a temps partiel ?

Explorons les racines de la cruauté humaine !
Le test exécuté est un IRM ,qui démontre en montrant aux sujets ,des images très perturbantes,des scènes de violence.On a voulu voir la différence lorsqu'il s'agissait d'images neutres.On s'est concentré sur les variations du flux sanguin dans différentes parties de votre cerveau.On voit des colorations rouge ,indiquant une activité accrue,le bleu une activité inférieure a la normale.

Quand on observe la région du cerveau en rapport avec l'empathie,cette zone juste ici,on voit qu,elle est active lorsque vous observez les images neutres(qui défile lors du test a l'IRM).
Tout ça est positif.
On a expliqué a un sujet ,son résultat ci-dessous:

Vous faites preuve d'empathie.Il répond:"Je suis quelqu'un de gentil ?"
-Pas si vite !
-Lorsqu'il s'agit d'images horribles,le processus empathique cesse.Lorsque vous êtes dans cet état,votre cerveau ne fonctionne plus comme celui d'une personne normale,mais un peu comme celui d'un psychopathe temporaire,si on peut dire.
-"Je suis psychotique ?"
-J'ai des tendances psychotiques ?
Le bleu ici de notre test,indique les zones du cerveau qui sont inactives(zones d'empathie=frontales et a la base du cerveau pour le jugement) chez les psychopathes.




Mais chez-eux,ces zones sont inactives la quasi-totalité du temps.Chez vous,c'est uniquement lorsqu'on vous a montré ces images terribles.Vous faîtes parti des 1/6 des gens ayant ce problême,c'est encore plus faible que durant le temps du nazisme qui concernait 1/3 du monde qui avait ce problême !

Une personne normale ne réagit pas comme ça,elle aurait plus d'empathie.

Temporairement,lorsque vous regardez ces images vous fonctionnez comme un psychopathe.
-"La neuroscience vient donc m'apprendre que j'étais un psychopathe a temps partiel."
-Mais ce n'est pas tout !
-"Et mon ADN alors ? "
-Nous avons analysé votre sang et observé certains de vos gènes,ceux en relation avec l'empathie,les relations aux autres,mais aussi ceux liés a d'éventuelles tendances agressives ou violentes. Vous avez de très bons gènes en matière de liens affectifs.
Le genre de gènes qu'on aimerait retrouver chez un mari,une épouse,ou un père. Vos gènes vous prédisposent a savoir céer des liens forts au sein d'un groupe,mais aussi a vous montrer hostile a tout membre extérieure au groupe .

 Un autre test est de donner des électrochocs a quelqu'un qui donne la mauvaise réponse a un questionnaire ,les responsables vous disent que vous devez continuer les tests malgré votre désaccord,...a la fin on vous explique que c'était un test pour voir votre empathie face a celui qui faisait semblant d'être électrocuté !

  On peut se demander si c'est bien ou pas.(zéro empathie ou un grain de bon sens et de jugement ?)

En analysant vos résultats,je me suis dit: Il est comme Don Corleone(le parrain de la mafia),un Docteur Turcotte,etc...Donald Trump ? qui a zéro empathie: celui qui a interdie aux mexicains de venir migrer aux USA et empêchants les enfants de voir leurs mères !
Sinon,trop d'empathie ça serait : La dame qui a laissée passer les canards sur l'autoroute 30,provoquant un accident mortel ,..Emma Czornobaj, cette femme qui avait provoqué un accident mortel en juin 2010 en arrêtant sa voiture pour sauver des canards, a d'écoper d'une peine de 90 jours de prison, à purger les fins de semaine, et d'une interdiction de conduire pour 10 ans.!

Le Parrain c'est quelqu'un pour qui la famille compte plus que tout ,mais qu'on n'aimerait pas compter parmi ses ennemis.Vous avez tout d'un dictateur a l'ancienne comme Alexandre le Grand,prêt a tout pour protéger les siens et se débarrasser des envahisseurs.

-"Même si je suis un psychopathe,je suis un bon psychopathe"(Comme on dit je peut petter ma coche !!!)
-Oui,un tyran ultra efficace.
-"Cette information est un peu perturbante et inquiétante,mais je dois m'accepter tel que je suis biologiquement.Je me considère différent,donc,en un sens,ces résultats sont une sorte de soulagement.Ils viennent prouver scientifiquement que je ne me fais pas d'idées, et que mon cerveau et mon imagination fonctionnent bien différent de la plupart des gens.
Merci beaucoup.Je suis content ! "

Conclusion:

Il suffit qu'une personne se dresse contre l'autorité pour que les choses changent.Nous vivons dans une société moralement fragile.Les décisions de chacun ont des conséquences sur les autres et le monde entier .
C'est ce qui fait de nous des êtres aussi fascinants,qu'on soit a la place de celui qui torture ou de celui qui est torturé,on ne sait jamais !
 La proportion de gens qui on se diagnostique est d'environ 77% !!!

Le réalisateur Éli Roth,du film d'horreur Hostel,mena cette série d'expériences en compagnie d'experts en psychiatrie afin d'explorer les racines de la cruauté humaine.

REF.:

jeudi 23 octobre 2014

21 ième siècle: Le siècle des troubles de santé mentale

L’Organisation mondiale de la santé prédit qu’en 2020, les troubles de santé mentale seront la deuxième cause de maladie et d’incapacité, après les maladies cardiovasculaires.


L’Organisation mondiale de la santé prédit qu’en 2020, les troubles de santé mentale seront la deuxième cause de maladie et d’incapacité, après les maladies cardiovasculaires.

Anxiété, stress, dépression et épuisement professionnel sont devenus des maux fréquents au 21e siècle. Si bien que l’Organisation mondiale de la santé prédit qu’en 2020, les troubles de santé mentale seront la deuxième cause de maladie et d’incapacité, après les maladies cardiovasculaires.
À l’instar des problèmes de santé physique, les maladies mentales ne font pas de discrimination et peuvent frapper tout le monde. La dépression est une véritable maladie qui affecte l’humeur, les pensées et les comportements.
La dépression et l’anxiété font partie des motifs les plus fréquents de consultations médicales. Selon l’OMS, les problèmes de santé mentale seraient en cause dans 35 % à 45 % des journées d’absentéisme dans les pays développés.
« Le mode de vie d’aujourd’hui est plus stressant. Il y a plusieurs facteurs qui, lorsqu’ils s’accumulent, peuvent causer la dépression. Il y en a sans doute plus qu’avant, ou c’est parce qu’on les décèle plus souvent. Ça peut aussi être dû à un manque de spiritualité et à la recherche d’un sens à la vie. À une certaine époque, il n’y avait pas ces questions-là. Les gens étaient guidés par la religion », explique Lorraine Nadeau, psychologue
« Ce n’est pas facile de définir d’où vient la dépression, d’autant plus qu’elle se manifeste sous diverses formes, poursuit Mme Nadeau. Mais il y a des facteurs de risque personnels. »
Les antécédents familiaux peuvent conduire à une certaine fragilité de la part du patient, explique la psychologue. « La dépression affecte le fonctionnement du cerveau. On n’arrive pas à penser, à trouver du plaisir dans une activité. On ne s’intéresse à rien. Tout est lourd et noir. Le risque ultime chez les personnes souffrant de dépression, ce sont les pensées suicidaires. »


Les préjugés restent importants, selon la professionnelle, concernant les personnes souffrant de troubles de santé mentale.
« On pense que c’est quelqu’un qui s’écoute trop ou qui n’est pas capable de se donner un coup de pied au derrière. Les gens ne comprennent pas parce que ça ne se voit pas. Quelqu’un qui a le bras coupé, ça se voit, mais pas quelqu’un qui souffre de dépression. On croit que la personne y est pour quelque chose dans sa maladie, alors qu’elle a besoin d’un coup de pouce comme la médication », mentionne Mme Nadeau.
C’est pourquoi il ne faut pas tarder à consulter. Le médecin est d’ailleurs souvent la première référence médicale. « Les gens consultent pour des symptômes physiques, comme des maux d’estomac ou de la difficulté à dormir. Au départ, les gens ne veulent pas entendre parler qu’ils sont déprimés, mais c’est un continuum de symptômes. C’est un milieu complexe dans lequel il est important de saisir les nuances », confie la psychologue.
Il n’existe aucune façon de se prémunir totalement contre la dépression, mais faire de l’activité physique et éviter l’alcool sont une façon de diminuer les risques. « Les saines habitudes de vie permettent de diminuer la tension. Physiquement, un corps en santé peut se protéger davantage contre la dépression et l’épuisement, mais il faut voir à ne pas en faire trop non plus », soutient Mme Nadeau.
De plus en plus d'antidépresseurs prescrits, l'épuisement professionnel au banc des accusés
Les travailleurs d’aujourd’hui sont non seulement davantage sujets à souffrir d’épuisement professionnel, mais ils pourraient se voir prescrire des antidépresseurs, qu’ils le veuillent ou non, pour recevoir leurs prestations d’assurance.
Contrairement à la dépression, qui affecte les capacités du cerveau dans toutes les sphères de la vie, l’épuisement professionnel (ou « burn-out ») a directement un lien avec le travail, explique Lorraine Nadeau, psychologue. Des études sont actuellement en cours au Centre d’études sur le stress humain pour tenter de déceler des marqueurs biologiques caractéristiques à l’épuisement professionnel.
« Comme humain, nous avons certaines capacités à gérer le stress. Mais je crois qu’il y a plus de gens épuisés qu’il y a 20 ans. Il y a une grande compétitivité dans les entreprises et même au sein de différents services. On parle constamment de performance et d’efficacité», ajoute Mme Nadeau.
L’an dernier, au Québec, un nombre record de 14,2 millions d’ordonnances d’antidépresseurs ont été délivrées en pharmacie.
« Dans les cas d’épuisement professionnel, il n’est pas rare que les assureurs exigent la prise d’une médication », affirme Renée Ouimet, directrice générale de l’Association canadienne pour la santé mentale, division du Québec.
Milieux toxiques
Autant le travail peut être stimulant et susciter un sentiment d’appartenance, autant certains milieux de travail génèrent un stress permanent, signale Mme Ouimet.
« Dans certains milieux, on voit des taux d’absentéisme tellement importants qu’il est évident que l’organisation est en cause », a-t-elle ajouté.
« L’épuisement professionnel peut être lié au mode de gestion, aux exigences de performance, au manque de reconnaissance », précise Mme Ouimet.
Le manque de reconnaissance au travail multiplie par quatre le risque de vivre une détresse psychologique élevée.
La précarité de certains emplois ou le faible soutien de la part de l’entourage, notamment chez les jeunes travailleurs en début de carrière, peuvent favoriser l’épuisement professionnel.
Tout va vite
« La perte de sens et l’opposition des valeurs sont très difficiles à vivre. Par ailleurs, on vit dans une société où tout va rapidement et où il faut être productif tout le temps », fait valoir Mme Ouimet.
« Avec le développement technologique, on est appelé à faire vite, parce que la technologie permet d’aller vite », complète Mme Nadeau, qui ajoute que les gens qui accordent une trop grande importance au travail et négligent les autres aspects de leur vie pourraient être à risque.
C’est l’addition de ces différents éléments, selon la psychologue, qui feront en sorte que le travailleur souffrira d’épuisement professionnel.
« On entend parfois que ce sont des faibles qui en souffrent. Mais quand tous ces facteurs sont additionnés, on se rend compte que ce n’est pas parce qu’ils sont faibles qu’ils souffrent d’épuisement professionnel », conclut Mme Nadeau.


La santé mentale, c'est la capacité de l'individu, du groupe et de l'environnement d'interagir les uns avec les autres d'une manière qui suscite un bien-être subjectif, le développement optimal et l'utilisation des capacités mentales (cognitives, affectives et relationnelles), l'atteinte des buts individuels et collectifs justes et la réalisation et la préservation de conditions d'égalité fondamentale.
Dans cette définition, la santé mentale passe dans la sphère de la relation entre l'individu, le groupe et l'environnement. La santé mentale n'est plus perçue comme un caractère individuel, de la même manière que la bonne condition physique ; elle est plutôt perçue comme une ressource consistant en énergie, forces et compétences de l'individu interagissant effectivement avec celles du groupe et avec les possibilités et les influences présentes dans l'environnement.

Cette conceptualisation amène à certaines conclusions concernant les facteurs qui peuvent soit renforcer soit affaiblir la santé mentale. Les éléments qui rendent difficile pour l'individu, le groupe et l'environnement d'interagir efficacement et à juste titre (par exemple, la pauvreté, les préjugés, la discrimination, le préjudice, la marginalité ou une gestion médiocre des ressources ou le manque d'accès aux ressources) sont une menace et un obstacle à la santé mentale.

 Les chiffres de Statistique Canada permettent mieux de mesurer le problème. Ils indiquent que quatre travailleurs sur dix ont connu un épisode de détresse psychologique au travail entre 1994 et 2001. La même proportion de Canadiens et de Québécois se disent d'ailleurs assez ou extrêmement stressés dans la vie.

Autre méthode de calcul: 7,5 millions d'ordonnances d'antidépresseurs ont été délivrées au Québec en 2005, soit deux millions de plus qu'en 2001. Ce sont tous là des indicateurs qu'il y a des choses qui ne tournent pas rond dans nos milieux de travail, pensent MM. Lamontagne et Brun.




Crise en cellule

Les prisons ne sont pas des hôpitaux. Pourtant, de nombreuses personnes atteintes de maladies mentales se retrouvent derrière les barreaux avec des besoins criants en soins de santé.

Enquête vous révèle cette semaine les nombreuses lacunes qui persistent dans les services offerts aux personnes malades, incarcérées dans le réseau correctionnel québécois.

Les tristes histoires de Juan, Richard et Christopher nous rappellent la nécessité de mieux outiller les centres de détention dans ce domaine, un constat maintes fois souligné par le bureau du Protecteur du citoyen du Québec.
Malgré les nombreux rappels à l'ordre, les changements tardent à venir. 

Maladie mentale: du réconfort sur les médias sociaux

De plus en plus de personnes souffrant de maladies mentales partagent leurs expériences et demandent conseil sur les médias sociaux, selon une nouvelle étude. «Ce qui nous a le plus surpris, c'est de découvrir que les patients souffrant de maladies mentales profondes s'ouvraient sur les médias sociaux au sujet de leur condition, notamment YouTube», a dit le chercheur John Naslund du Dartmouth College, au New Hampshire, sur le site internet de l'institution.
«Nous avons constaté que ces patients ne semblaient pas préoccupés de parler de leurs expériences personnelles, car ils voulaient ardemment aider les autres qui souffrent des mêmes maux», a ajouté John Naslund.
Les chercheurs ont analysé 3044 commentaires de personnes affirmant souffrir de schizophrénie et de bipolarité. Ils ont observé que ces personnes étaient plus enclines à développer des amitiés sur les médias sociaux et à utiliser le web pour obtenir de l'information médicale que celles qui ne souffrent pas de ces maladies.
«Ce phénomène pourrait s'expliquer par le fait que les médiaux sociaux sont perçus comme non menaçants et favorisant les rencontres entre individus semblables dans la sécurité de leur propre maison», peut-on lire dans l'étude publiée dans le Journal scientifique PLOS ONE.

*Quoi, il y aurait-tu juste au Parlement qu'il y en aurait pas ?

Les cartésiens vont tous mourrir d'anxiété aigus !


jeudi 12 septembre 2013

Pinel, les patients souffrant de troubles mentaux

Un FILM SUR L’INSTITUT PHILIPPE-PINEL
AUX GRANDS REPORTAGES, SUR RDI, LE 5 SEPTEMBRE.
 
Le film sur l’Institut Philippe-Pinel de Montréal, simplement intitulé « Pinel », une production d’Hélène Magny et de Pierre Mignault (réalisée en 2012) sera diffusé sur les ondes de RDI, le jeudi 5 septembre 2013, à 20 h, dans le cadre de l’émissionLes Grands Reportages
 
Il y a les mad et les bad; ceux qui se disent fou ou qui jousent le rôle d'un mauvais,pour cacher leur maladie mentale.
Il faut que malgré qu'ils souffrent et qu'ils s'invente un monde imaginaire pour fuire la réalité ,ils arrivent a pouvoir développer leur autonomie en faisant des choix pour reprendre confiance en eux !

 Tel qu’on le présente dans le film, pour être admis à Pinelles patients souffrant de troublesmentaux, doivent présenter ou avoir présenté de la violence (contre eux-mêmes ou contre autrui), judiciarisée ou non. Pour être libérés de l’hôpital, ils doivent passer à travers un long processus de rétablissement. Le traitement, souvent complexe, amènera le patient vers la compréhension de son agir violent, et l’acceptation de sa maladie. Il sera ainsi en bonne voie de réinsertion sociale. Chaque être humain chemine à son propre rythme, ce qui mène à l’élaboration d’un plan de soins individualisé. 
 
Le film « Pinel » présente la vie à l’Institut à travers le quotidien de patients, de psychiatres et d’autres membres des équipes spécialisées. Il a déjà été présenté dans différents colloques et concours, et le sera bientôt au grand public, sur RDI. Une occasion de mieux comprendre la réalité d’un hôpital à mission unique, offrant des soins adaptés à une clientèle spécifique.
 
 
À propos de l’Institut Philippe-Pinel de Montréal
 
Créé en 1970, l’Institut Philippe-Pinel de Montréal est un hôpital universitaire affilié à l’Université de Montréal offrant des services de 3e ligne en psychiatrie légale. Sa mission, en quatre volets, est de traiter et d’évaluer des patients présentant un risque élevé de comportements violents, d’enseigner, de faire de la recherche fondamentale et clinique et de travailler à prévenir la violence, et ce, dans un souci constant de rigueur et d’amélioration, où la sécurité de tous constitue une priorité.