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samedi 6 avril 2024

PlayAbility – Quand l’IA change l’expérience gaming pour les personnes handicapés

 

PlayAbility – Quand l’IA change l’expérience gaming pour les personnes handicapés

J’ai une pure pépite à vous présenter aujourd’hui ! C’est un truc de fou qui va révolutionner le monde du gaming pour les personnes en situation de handicap : playAbility !

C’est pas juste une énième manette adaptée, non non non, c’est carrément un logiciel développé par le streamer Squirelo (que je salue au passage) qui utilise l’intelligence artificielle pour convertir vos expressions faciales, mouvements de tête et même le joystick de votre fauteuil roulant en commandes de jeu. Si c’est pas dingue ça ! 🤯

Pour en profiter, c’est hyper simple. Vous téléchargez l’app, vous connectez votre webcam et zou, vous voilà prêts à créer votre manette virtuelle sur-mesure. Vous pouvez combiner vos appareils d’assistance, vos gamepads et vos mouvements faciaux pour obtenir la config’ parfaite. Et le kif ultime, c’est que playAbility est compatible avec un max de jeux, que ce soit des jeux de course, des FPS ou des jeux d’aventure.

Concrètement, ça donne quoi ? Bah vous pouvez par exemple bouger votre tête pour contrôler les sticks gauche et droit. Vous avez comme ça plus de 50 mouvements de visage différents à associer aux contrôles de votre choix. Et si vous avez un fauteuil roulant électrique, comme je le disais en intro, son joystick peut direct servir de stick directionnel dans le jeu !

C’est ouf quand on y pense.

L’objectif de playAbility, c’est clairement de favoriser l’inclusivité dans les jeux vidéo. On parle quand même de rendre le gaming accessible aux 20% de la population mondiale qui vit avec un handicap ! C’est par rien !

Autre bon point, vous pouvez utiliser votre Xbox ou votre PlayStation à distance grâce au remote play. Pas besoin de PC gaming surpuissant ! D’ailleurs, l’équipe bosse avec les principaux services de streaming de jeux pour permettre au plus grand nombre de s’y mettre sans se ruiner.

La version bêta privée n’est qu’un début et vous pouvez au choix, aider à financer le projet ou non. C’est vous qui voyez. Franchement, quand on voit des initiatives comme ça, on ne peut qu’applaudir. La technologie et notamment l’IA permettent de créer un véritable impact positif sur le quotidien des joueurs. Bravo Squirelo !

Bref, je vous invite à garder un œil sur playAbility, parce que je sens que ces p’tits gars vont aller loin. C’est le genre de projets qui donnent foi en l’avenir du jeu vidéo et prouvent que quand on a de la volonté, on peut renverser des montagnes. GG à eux et longue vie à playAbility !


vendredi 6 octobre 2023

Naviguez dans un océan de rétro-computing avec ce site qui propose + de 51,3 To de logiciels vintage !

 

Naviguez dans un océan de rétro-computing avec ce site qui propose + de 51,3 To de logiciels vintage !

@KORBEN  —  6 OCTOBRE 2023


Voici un site expérimental absolument génial qui va vous permettre de naviguer et rechercher des programmes anciens, des jeux rétro, et des magazines vintage dispo sur archive.org. Imaginez pouvoir retrouver les pépites de votre jeunesse et les jeux et applications qui vous ont fait rêver à l’époque des ordinateurs 8-bits. Et bien, c’est désormais possible !


Le site en question, c’est discmaster.textfiles.com, et il recense pas moins de 599 521 811 fichiers totalisant 51,3 To de données. Autant dire que vous avez de quoi faire ! Ce qui est vraiment cool, c’est que ce site est compatible avec les navigateurs modernes mais également vintage, ce qui signifie que vous pourrez l’utiliser aussi bien sur votre ordinateur actuel que sur votre vieille machine de guerre.



Parmi les genres proposés, vous trouverez des applications, des drivers, des jeux et du contenu éducatif ou NSFW. Il y en a vraiment pour tous les goûts et tous les âges. Que vous soyez un nostalgique de l’informatique des années 80 ou un passionné de rétro-gaming, vous allez vous régaler.


Le site propose des ISO de CD-ROM, des contenus de disquettes mais également des miroirs d’anciens serveurs FTP aujourd’hui disparus.


Pour vous donner une idée, voici quelques exemples de ce que vous pourrez trouver sur ce site : des jeux d’arcade cultes comme Pac-Man ou Space Invaders, des logiciels de traitement de texte comme WordStar, ou encore des programmes éducatifs pour apprendre à coder en BASIC. Bref, c’est un véritable trésor pour les amateurs d’informatique rétro.



En vous rendant sur le site, vous pourrez effectuer des recherches par mots-clés, par catégories ou encore par date de sortie, ce qui facilitera grandement vos explorations. Bref, foncez sur discmaster.textfiles.com et laissez-vous emporter par la nostalgie. Et n’oubliez pas de partager vos trouvailles avec vos amis et votre famille, que ce soit pour leur faire découvrir comment c’était à votre époque ou leur faire retrouver les sensations d’avant.


REF.: https://korben.info/naviguez-recherchez-fichiers-vintage-ordinateurs-retro-gaming-discmaster.html

jeudi 1 juin 2023

Google Play Games : les jeux Android débarquent sur PC en France

 

 

Google Play Games : les jeux Android débarquent sur PC en France

 

Google Play Games, ce logiciel permettant de faire tourner des titres Android sur PC, est enfin disponible dans l'Hexagone, et avec de nouveaux jeux chaque mois. Un concurrent de taille pour le système Android de Windows 11 !

Ça y est, Google Play Games, ce launcher – ou lanceur, en français – qui permet aux joueurs de profiter des meilleurs titres mobiles sur leur ordinateur personnel – est disponible en France ! Car malgré son échec cuisant avec Stadia, son service de cloud gaming, le géant du numérique persiste à essayer de s'imposer comme un acteur majeur du secteur du jeu vidéo. Pour cela, l'entreprise mise sur une idée à laquelle il croit fermement puisque, selon un sondage qu'il a mené en partenariat avec IPSOS, de nombreuses personnes seraient fortement intéressées par l'arrivée des jeux mobiles sur ordinateur. En effet, elles seraient  71 % aux États-Unis, 60 % au Japon et plus de 85 % au Brésil et en Indonésie à être prêtes à acheter un jeu mobile pour y jouer sur leur PC.


Télécharger Google Play Games pour PC (bêta)

Annoncé en décembre 2021, le service a été lancé  en janvier 2022 dans une version bêta sur un marché réduit comprenant l'Australie, la Corée du Sud, Taïwan, la Thaïlande et Hong-Kong. Depuis le 2 novembre, Google Play Games – rebaptisé Google Play Jeux dans les pays francophones… – est disponible aux États-Unis, mais aussi au Canada, au Mexique, au Brésil, en Indonésie, aux Philippines, en Malaisie et à Singapour. La firme de Mountain View continue son déploiement et a rendu, le 24 mai, son nouveau service accessible en bêta en Nouvelle-Zélande et dans 40 pays européens, dont la France, l'Espagne, les Pays-Bas, l'Irlande et le Royaume-Uni. Pour en profiter, il suffit de se rendre sur le site et de cliquer sur le bouton vert "Télécharger la version bêta". "Nous sommes ravis d'étendre notre plateforme à davantage de marchés pour que les joueurs puissent profiter de leurs jeux préférés sur Google Play", déclarait Arjun Dayal, directeur de Google Play Games, dans un billet de blog en novembre 2022. "Alors que nous nous dirigeons vers une version complète, nous continuerons à ajouter de nouvelles fonctions et à évaluer les commentaires des développeurs et des joueurs".

 

Google Play Games : pas besoin d'un PC surpuissant

En pratique, Google Play Games est un logiciel pour Windows permettant de jouer à certains jeux mobiles Android – mais pas tous – et donc de bénéficier d'un plus grand confort et d'un meilleur gameplay. Contrairement à Stadia ou au Cloud Gaming de Microsoft, les jeux ne fonctionnent pas grâce à des serveurs distants : ils sont installés directement sur le PC et utilisent les ressources de ce dernier. Google a misé sur la carte de l'accessibilité et propose donc un logiciel et des jeux qui n'ont pas besoin d'une machine de guerre pour fonctionner. Il faut au minimum un PC avec un processeur (CPU) à quatre cœurs physiques (Intel ou AMD, peu importe), 8 Go de mémoire vive (Ram), 10 Go de stockage libre (SSD), un circuit graphique (GPU) Intel UHD Graphics 630, le tout sous Windows 10 ou Windows 11. Bien évidemment, une machine plus puissante sera encore plus à l'aise, mais un ordinateur de cinq ans peut suffire pour en profiter. 

Reste à voir le rendu de l'image, car les jeux n'ont pas tous été conçus pour les écrans de grande taille. Google Play Games prend en charge la souris, le clavier, mais aussi les manettes afin de rendre le gameplay plus confortable. Notons que l'interface ne ressemble pas à celle du Google Play Store, mais se rapproche plus de Steam, GOG Galaxy et Epic Games Store. Une volonté clairement affichée de se rapprocher de ces plateformes de jeux PC.

Google Play Games : un catalogue de jeux encore timide

Petit bémol cependant : tous les titres Android ne sont pas compatibles. Pour l'instant, il y a un peu plus de 100 jeux validés par le service, dont Just Dance Now, WWE SuperCard et Cookie Run: Kingdom. Google continue d'ajouter de nouveaux jeux chaque mois, dont Garena Free Fire, Ludo King et MapleStory. Pour éviter que les joueurs potentiels ne se tournent tout simplement vers un émulateur Android, le géant d'Internet mise sur la synchronisation des données via le compte Google de l'utilisateur,  qui permet de reprendre une partie lancée depuis un appareil mobile sur un PC, et vice-versa. De plus, il avait annoncé sur YouTube un partenariat avec Intel afin de faciliter la tâche des développeurs qui voudraient faire partie du programme, ce qui lui permettrait d'enrichir plus rapidement son catalogue. Ces derniers vont avoir le droit à un nouvel émulateur afin d'effectuer plus facilement les opérations de débogage et d'optimisations. Ceux-ci auront également la possibilité de traduire leurs jeux en plus de huit langues en quelques seulement minutes via Machine Translation.

Autre avantage : les joueurs peuvent gagner des Google Play Points de la même manière que sur mobile afin de les dépenser pour obtenir des éléments intégrés aux applications ou aux jeux, gagner des bons de réduction pour acheter des éléments intégrés ou encore obtenir du crédit Google Play. En mars, l'entreprise avait également mis à disposition des développeurs un émulateur afin qu'ils puissent déboguer facilement leurs jeux.

 

Pour le moment, Google Play Games s'annonce comme une bonus sympathique et gratuit, mais qui risque bien d'être insuffisant pour permettre à Google de s'imposer dans le monde du jeu vidéo. Sans compter qu'il vient – légèrement – concurrence le système Android de Windows 11, qui permet lui de faire tourner presque toutes les applications  Android sur un PC (voir notre article), mais qui se montre en pratique nettement plus gourmand, exigeant ainsi un PC bien plus musclé.

 

REF.:  https://www.commentcamarche.net/image-son/jeu-video/26959-google-play-games/

jeudi 15 juillet 2021

Les cartes-cadeaux ne peuvent être utilisées que dans le pays dans lequel elles ont été achetées”erreur: sa sent la Marde ;-)

 

 

 Les cartes-cadeaux ne peuvent être utilisées que dans le pays dans lequel elles ont été achetées”erreur: sa sent la Marde ;-)

 

Google au courant du Play Store”Impossible de terminer votre transaction, les cartes-cadeaux ne peuvent être utilisées que dans le pays dans lequel elles ont été achetées”erreur

Published by IT Info on

Le Google Play Store est la principale source d’applications pour de nombreux utilisateurs d’Android car il vient avant installé sur tous les appareils Android. (Eh bien, sauf Huawei évidemment.)

Par conséquent, de nombreux développeurs d’applications ont recours aux solutions de paiement intégrées à Google pour monétiser leurs applications. Ceci, car il est plus transparent pour l’utilisateur et offre aux développeurs une étape de moins à se soucier.

jouer la carte-cadeau

Les cartes-cadeaux Google Play offrent aux utilisateurs un moyen de payer pour des applications et des jeux sur le Google Play Store au lieu d’avoir à associer leurs cartes de crédit à Google Pay.

Cependant, il semble y avoir un problème avec ces cartes-cadeaux, du moins selon les utilisateurs sur les forums de la communauté. Les rapports indiquent maintenant que certains utilisateurs de Google Play ne peuvent pas effectuer la transaction par carte-cadeau.

Chaque fois que j’essaie d’acheter des diamants dans le jeu, j’obtiens cette erreur Google Play : impossible de terminer votre transaction, la carte-cadeau ne peut être utilisée que dans le pays où elle a été achetée. Consultez les conditions d’utilisation des cartes-cadeaux.
Source

Les utilisateurs concernés signalent qu’en essayant d’utiliser les cartes-cadeaux, Google Play génère une erreur, informant les utilisateurs que les cartes ne peuvent être utilisées que dans les régions où elles ont été achetées.

Ceci, selon ces utilisateurs concernés, est même après avoir effectué les mêmes transactions auparavant dans la même région avec des cartes achetées dans la même région, ce qui rend ce problème encore plus bizarre.

J’ai le même problème à chaque fois que j’essaie de faire un achat dans le jeu. Ce que je faisais depuis plus d’un an sur ce compte sans incident.
Source

Ce problème a été porté à l’attention de Google et, en réponse, un expert produit a été noté informant les utilisateurs concernés que le problème a été transmis aux équipes concernées de Google.

passes à google

En effet, Ahmed, il y a eu beaucoup de rapports similaires au cours de la dernière journée. Merci d’avoir partagé votre expérience avec le problème, j’ai transmis vos rapports à Google. Si j’ai des informations ou des mises à jour, je vous le ferai savoir ici.
Source

Avec cela, il s’agit d’attendre de voir ce qu’il adviendra du problème alors que Google continue de l’étudier. Nous continuerons à surveiller cela et à mettre à jour au fur et à mesure que nous obtiendrons plus d’informations.

 

 

Et si la réponse était: Pour enregistrer votre compte de facturation par l'opérateur en tant qu'option de paiement, Google Payments a besoin de votre numéro de téléphone mobile, ainsi que du nom et de l'adresse de facturation, y compris le code postal, du compte de facturation par l'opérateur associé à ce numéro !

REMARQUE : Nous avons ces histoires Google et bien d’autres dans notre section Google dédiée.

PiunikaWeb a commencé comme un site Web purement d’investigation sur le journalisme technologique, axé principalement sur les nouvelles « de dernière minute » ou « exclusives ». En un rien de temps, nos histoires ont été reprises par Forbes, Foxnews, Gizmodo, TechCrunch, Engadget, The Verge, Macrumors et bien d’autres. Tu veux en savoir plus sur nous? Tête ici.

 

Google n'a rien a voir la dedans,................... sinon faut contacter la cie du jeux comme mettons  http://www.superbox.kr du jeux fruit magic lolol

jeudi 11 mars 2021

Super Mario 64 : un easter egg de l’original Donkey Kong se cache dans l’intro du jeu

 

 

Super Mario 64 : un easter egg de l’original Donkey Kong se cache dans l’intro du jeu

Super Mario 64 nous réserve encore des surprises près de 25 ans après sa sortie sur la Nintendo 64. Un compositeur japonais a découvert la mélodie de l’original Donkey Kong dans l’intro du jeu. Le plus incroyable est que personne ne s’en était aperçu.

Le jeu Super Mario 64 est sorti depuis déjà presque 25 ans, mais les fans continuent de faire des découvertes. Il a récemment été porté sur la Dreamcast de Sega avec un premier speedrun de 41 minutes et il a officiellement débarqué sur la Nintendo Switch avec Super Mario 3D All-Stars. Sorti en septembre 2020, ce titre est une compilation des trois jeux de Super Mario en 3D, à savoir Super Mario 64, Super Mario Sunshine et Super Mario Galaxy.


Grâce à la popularité de la Nintendo Switch dont les ventes viennent de dépasser celles de la 3DS en seulement quatre ans, de nouveaux joueurs ont l’occasion de redécouvrir ou même de découvrir Super Mario 64. Le compositeur japonais HOUJIROU fait partie de ces fans et il a fait une découverte incroyable.

Super Mario 64 rend hommage à Donkey Kong

Comme vous pouvez le constater dans la vidéo de HOUJIROU partagée sur Twitter, l’introduction de Super Mario 64 cache un easter egg de l’original Donkey Kong sorti en 1981 sur les machines d’arcade. D’ailleurs, le recordman Billy Mitchell a retrouvé ses records sur Pac-Man et Donkey Kong l’année dernière. Les preuves de triche ont été jugées insuffisantes par le Guinness des Records, ce qui n’a pas manqué d’outrager la communauté.

Après s’être rendu compte que la musique de l’intro de Super Mario 64 contenait les notes principales de la mélodie de Donkey Kong, le compositeur japonais HOUJIROU s’est servi d’un logiciel de création musicale appelé GarageBand. En accélérant les notes de Super Mario 64, la ressemblance avec Donkey Kong est frappante.

Plusieurs internautes ont été surpris de n’avoir jamais fait le rapprochement entre les deux jeux. Ce n’est sûrement pas une coïncidence. Nintendo voulait probablement rendre en quelque sorte un hommage au jeu qui est à l’origine de Mario. Donkey Kong est toujours considéré à l’heure actuelle comme étant l’un des jeux les plus iconiques de Nintendo.

Source. : Screen Rant

lundi 21 décembre 2020

Flightgear – Le flight simulator libre pour les nerds qui veulent vraiment apprendre à piloter

 

 

Flightgear – Le flight simulator libre pour les nerds qui veulent vraiment apprendre à piloter

Si vous faites partie des 3 ou 4 personnes en France à respecter le confinement, bonne nouvelle, voici de quoi vous occuper en attendant de pouvoir à nouveau partir en vacances.

Il s’agit d’un simulateur de vol baptisé FlightGear qui est sous licence libre et qui fonctionne sous Mac, Linux ou Windows. Développé par des bénévoles, Flightgear propose un environnement qui vous permettra au choix d’apprendre réellement le pilotage, mais également de passer des moments de plaisir en parcourant le monde.

Oui car c’est un vrai simulateur donc c’est hyper complexe à prendre en main et franchement, je n’y comprends rien, mais si vous aimez vous prendre la tête sur un manuel de pilotage, vous serez aux anges.


La communauté derrière FlightGear est hyper nerd sur le sujet des simulateurs de vols et trouve que les simulateurs commerciaux pour PC sont clairement chers ou mal fichus. C’est pourquoi cet outil réalisé par des passionnés est un outil chacun peut contribuer avec ses idées et ses améliorations et offrir tout cela gracieusement à la communauté.

Cette simulation rassemble plus de 20 000 aéroports, des conditions de lumière et de météos réalistes, un relief du terrain basé sur de vrais relevés satellites, sans oublier les modèles d’avions déjà présents (un Wright Flyer de 1903, Boeing 747, un Airbus A320, quelques avions militaires et des avions de tourisme. Évidemment, vous pouvez créer / importe votre propre avion si vous le souhaitez.

Niveau qualité des graphismes, on est loin de la dernière version de Flight Simulator, mais la bonne nouvelle c’est que ça peut fonctionner sur une machine normale, sans avoir à investir dans une bête de course. Évidemment, tout est paramétrable et je vous invite à regarder cette vidéo pour enrichir ou alléger les graphismes et profiter du jeu au mieux.

Ah et cerise sur le gâteau, c’est multijoueurs !

REF.: À télécharger ici.

jeudi 10 décembre 2020

PS5 vs. Xbox Series X : quelle console est la plus performante en vrai ?

 

 

PS5 vs. Xbox Series X : quelle console est la plus performante en vrai ?

La PS5 et la Xbox Series X ont été testées par Digital Foundry sur différents jeux, et les résultats sont parfois surprenants.

Les PS5 et Xbox Series X sont en concurrence directe, les comparaisons sont donc inévitables. Bien que relativement proches au niveau hardware, les deux consoles comportent des différences notables. La Xbox possède notamment une carte graphique plus puissante, et la PS5, un SSD plus rapide. Le média américain The Verge regroupé un certain nombre de tests de Digital Foundry pour savoir quelle console se débrouille le mieux en ce début de génération. Et les résultats sont surprenants.


The Verge a analysé les tests de Digitial Foundry, et a fini par conclure que la PS5 est devant la Xbox Series X dans la plupart des cas. Étonnant, quand on sait que la puissance brute de la PS5 est de 10.28 téraflops, contre 12 téraflops pour la Xbox Series X. Sur le papier, la Xbox Series X semble être le plus puissant des deux systèmes en termes de chiffres bruts. C’est d’ailleurs le fer de lance marketing de Microsoft, dont le principal argument était « la console la plus puissante du monde », avant de devenir « la Xbox la plus rapide et la plus puissante jamais conçue ».

Au final, il semble que la Xbox Series X possède la plupart du temps un léger avantage en mode graphismes, mais tombe souvent loin derrière la PS5 en mode performances. Si les observateurs s’attendaient à des performances relativement similaires, avec un probable léger avantage pour la Xbox, personne ne s’attendait à voir la PS5 supérieure dans la majorité des cas. La supériorité théorique de la Xbox inquiétait d’ailleurs certains joueurs, à juste titre.

Devil May Cry 5 : Leger avantage Xbox sur le ray-tracing, large avance pour la PS5 sur le mode performances

Il semble que bien que la Xbox fasse mieux que la PS5 au niveau du ray-tracing et de la 4K sur Devil May Cry 5. En revanche, le mode performance de la PlayStation fonctionne mieux que celui de la Xbox, avec un écart gigantesque de 40fps sur certaines séquences. « Les creux me semblent vraiment étranges, et cela suggère une sorte de limitation de l’API du côté de la Xbox, dont la carte graphique semble être limitée par quelque chose », suggère Richard Leadbetter, rédacteur en chef de Digital Foundry.

Assassin’s Creed Valhalla : La PS5 tourne comme une horloge, problèmes de fluidité pour la Xbox Series X

Etrangement, les tests sur Assassin’s Creed Valhalla, qui a pourtant un partenariat marketing avec Xbox, vont dans la même direction. La PlayStation 5 l’emporte encore une fois sur la Xbox Series X. La version Xbox rencontre notamment des problèmes de déchirures d’écran, et de chutes en dessous de 60fps. Du côté de la PS5, aucun problème majeur n’est à déplorer, le jeu tourant de façon fluide. Malgré le partenariat liant Ubisoft et Microsoft sur ce titre, l’avantage revient donc une nouvelle fois à la PS5.

Call Of Duty : Black Ops Cold War : Le ray-tracing 4k nettement à l’avantage de la Xbox, la PS5 encore devant en mode performances

Le nouveau jeu d’Activision vise les 120fps en mode performances, et propose du ray-tracing en 4k sur le mode privilégiant la qualité. Sur ce dernier, Digital Foundry constate encore une fois un avantage pour la Xbox Series X. La PS5, elle, connaît des chutes à 40fps, alors que la Xbox tient sans problème les 60fps. Cependant, dès que l’on passe en mode performances, la PS5 est encore une fois devant.

Dirt 5 : Victoire totale pour la PlayStation 5

Sur Dirt 5, cette fois, c’est bien la PS5 qui prend l’avantage dans les deux modes disponibles. Dans le mode priorisant les graphismes, la console de Sony est au-dessus de la Xbox, proposant de meilleures textures et une qualité d’images plus élevée. Sur le mode performances, les deux consoles atteignent 120fps, mais le niveau de détails est largement supérieur sur PS5. Cependant, il est important de noter que Codemasters, le studio derrière Dirt 5, a reconnu que la version Xbox rencontrait des problèmes et qu’une mise à jour allait corriger cela très bientôt.

Xbox Series X : Un environnement technologique qui compliquerait l’optimisation ?

Ces comparaisons montrent que malgré la puissance brute supérieure de la Xbox Series X, qui se ressent sur les modes privilégiant les graphismes, la console de Microsoft n’est pas pour autant victorieuse du match des systèmes next-gen. D’après les tests de Digital Foundry, la PS5 a l’avantage dans certains cas en mode graphismes, et dans tous les cas en mode performances. Notons tout de même que cela provient peut-être de bugs et de problèmes d’optimisation sur les versions Xbox. Cependant, le journaliste de The Verge affirme avoir discuté avec certains développeurs, qui lui auraient confié leurs difficultés avec la Xbox Series X. « J’ai parlé à des développeurs (qui souhaitent rester anonymes) de l’environnement de développement Xbox Series X et il est clair que les choses sont un peu compliquées. » déclare-t-il. Pourtant, Microsoft avait prétendu que le développement serait plus facile sur la Xbox Series X que sur la PS5.

PS5 : Les kits de développement ont été mis à disposition bien avant ceux de la Xbox Series X

Une autre donnée à prendre en compte est le temps que les développeurs ont eu pour développer et optimiser chaque version de leurs jeux. Les kits de développement de la PS5 ont été mis à disposition des développeurs longtemps avant ceux de la Xbox Series X. Microsoft a pris du retard sur sa mise à jour, ce qui a donné moins de temps aux développeurs pour optimiser leur travail. On peut considérer qu’une fois adaptés aux nouveaux kits de Xbox, l’optimisation devrait s’améliorer. Malgré cela, le journaliste de The Verge précise de nouveau : « J’entends constamment dire que les outils de Sony sont supérieurs ». Une affirmation qui avait déjà été faite par un ingénieur de Crytek il y a quelques mois. Ce dernier mettait notamment en avant l’architecture de la PS5, et louait sa surcouche logicielle et le confort qu’elle propose aux développeurs.

Au final, ces différences de performances peuvent avoir de nombreuses explications. Elles sont pour la plupart très probablement liées à des problèmes d’optimisation, pour toutes les raisons citées précédemment, et peut être encore bien d’autres. Le match entre les deux consoles continuera pendant encore bien des années, et si les problèmes rencontrés sont dus à ce retard sur les kits de développement, nul doute que les prochains jeux rééquilibreront les choses, et continueront d’alimenter les débats passionnés entre les fans.

 

En revanche, la PS5 abandonne la sortie optique qui trônait encore sur la PS4. Pour le son, il faut obligatoirement en passer par le HDMI. Un détail qui peut demander de changer son système son s’il n’est pas compatible HDMI. Dommage pour ceux qui possèdent des systèmes audio haut de gamme. Reste la sortie optique du TV s’il en possède une. Néanmoins, il existe des solutions tierces proposant des convertisseurs HDMI vers optique. Les moins onéreux coûtent environ 20 €, comme celui de Prozor.

Une dernière connectique se cache sous le capot de la console. Il s’agit du slot d’extension PCIe 4.0 M.2. Il permet d’étendre le stockage de la PS5. Si Sony communique sur 825 Go, la PS5 ne propose en réalité que 667,2 Go utilisables. Précisément, une autre partie est réservée au système et grossie ou maigrie en fonction du contenu installé sur la console. Dénommé « Autre », elle est « réservé au bon fonctionnement des jeux et des applications », dixit la console. Au final, on peut à la louche installer entre 5 et 10 jeux AAA, par exemple. Autant dire qu’on peut vite arriver à saturation. En sortant quelques tournevis, on peut accéder sous la coque à un emplacement permettant d’ajouter un SSD au format MVNE. Attention, cette option n’est pas encore disponible. Sony devrait l’activer prochainement. En attendant, il est conseillé de ne pas jeter son dévolu sur un SSD. Sony communiquera les modèles compatibles lors du déploiement de sa mise à jour.

Une connectique complète, mais limitée à l’avant avec un USB-C et un seul USB-A – Crédits : Edouard le Ricque / Tom’s Guide

Source. : The Verge

vendredi 27 novembre 2020

Piratage de consoles : Un Français à la tête de la Team Xecuter poursuivi aux États-Unis

 

 

Piratage de consoles : Un Français à la tête de la Team Xecuter poursuivi aux États-Unis

Trois personnes ont été arrêtées et mises en examen pour avoir vendu du matériel permettant le piratage de Nintendo Switch, 3DS, PlayStation Mini, NES Classic, etc. L’un de ces 3 membres, un français est considéré comme l’un des leaders de la Team Xecuter.


La Team Xecuter est bien connue de la scène underground console. Très active depuis les premières Xbox et PlayStation, l’équipe a mis sur le marché un très grand nombre de puces permettant de lever les dispositifs antipiratage des consoles. C’est toutefois leur travail sur la Nintendo Switch qui les amène aujourd’hui devant les tribunaux.

11 chefs d’inculpation contre les 3 hommes arrêtés

Tout a commencé en mai dernier, quand Nintendo a déposé 2 plaintes contre la Team Xecuter pour leur SX Pro, une clef USB-C se connectant à la Nintendo Switch permettant de lever toutes les restrictions de la console. Le but des plaintes était initialement d’empêcher la vente du produit. Celui-ci autorise en effet le fonctionnement des homebrews et jeux piratés sur les 20 millions de Switch vendues avant juin 2018, et la sortie de la seconde révision de la console corrigeant le bug matériel du processeur Nvidia Tegra.

Les plaintes s’attaquent aussi au SX Core et SX Lite, des puces à souder dans la nouvelle Switch et la Switch Lite. Nintendo demande 2500 dollars de dommages et intérêts par appareil vendu par la Team Xecuter. L’enquête menée par le FBI a conduit à l’arrestation de 3 de ses membres. Max Louarn, un Français de 48 ans résidant à Avignon et Gary Bowser, un Canadien de 51 ans résidant en République Dominicaine sont considérés comme les leaders de l’équipe. Le dernier membre est Yuanning Chen, un Chinois de 35 ans résidant à Shenzhen.

Une demande d’extradition à l’encontre de Max Louarn a été déposée par la Justice américaine pour qu’un procès se tienne à Seattle. Gary Bowser a déjà été extradé et a été entendu devant une cour du New Jersey. Ils risquent de 5 à 20 ans pour chacun des 11 chefs d’inculpation pour lesquels ils sont poursuivis. La date du procès n’a pas encore été fixée.

Source : Département américain de la Justice

mercredi 15 avril 2020

PS5 : tout ce qu’il faut savoir sur la DualSense, la nouvelle manette de Sony



PS5 : tout ce qu’il faut savoir sur la DualSense, la nouvelle manette de Sony

Ne l’appelez plus Dualshock 5, mais DualSense. Sony vient de dévoiler la manette de sa PS5 ainsi que son nom. Ce nouveau périphérique ressemble à un croisement entre une DualShock 4 et une manette de Xbox One, mais c’est bien par ses fonctions qu’elle se différencie.
La DualSense intégrera une multitude de nouvelles fonctionnalités, incluant un retour haptique, des gâchettes améliorées, un micro intégré et un bouton mystérieux nommé « Create ».
Sony a dévoilé la manette de la PS5 dans une publication postée sur son blog. Hideaki Nishino, vice-président en charge du produit au niveau monde chez Sony Computer Entertainment, y explique ce qui distingue la DualSense des manettes des autres consoles Sony.
« Nous voulons que les joueurs ressentent la DualSense comme une extension d’eux-mêmes lorsqu’ils jouent, jusqu’à oublier qu’elle est dans leurs mains. »
Hideaki Nishino, vice-président en charge du produit chez SCE

A quoi ressemble le design de la manette PS5 ?

Tout d’abord, il y a le design qui ressemble plus à celui d’une manette de Xbox ou du Controller Pro de la Switch qu’aux lignes de la DualShock 4 de la PS4. La DualSense possède de larges poignées, ce qui augure une bonne prise en main. Son plateau semble allongé également, la distance entre la croix directionnelle et les boutons de tranche paraissant plus longue. Comme la DualShock 4, la DualSense arbore un pavé tactile en son centre haut, pile au-dessus des deux sticks analogiques.
Ceux-ci ne bougent pas non plus et demeurent parallèles. Marque de fabrique des manettes Sony, on adhère ou pas. Une construction décalée, comme les manettes Xbox, est à notre sens plus ergonomique. Cependant, Hideaki Nishino affirme être passé par de nombreux prototypes avant d’arriver à ce résultat. « La DualSense a été testée par un panel de gamers avec différentes tailles de main, afin d’atteindre le meilleur confort de prise en main et une bonne ergonomie. Nous voulons que les joueurs ressentent la DualSense comme une extension d’eux-mêmes lorsqu’ils jouent, jusqu’à oublier qu’elle est dans leurs mains. »
Image 4 : PS5 : tout ce qu'il faut savoir sur la DualSense, la nouvelle manette de Sony
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Mais outre ses formes nouvelles pour Sony, ce qui frappe en premier c’est sa finition. Habituellement, les DualShock sont sobrement noires pour le lancement d’une nouvelle PlayStation. Ici, Sony a fait le choix de la proposer en bi-ton, noir et blanc. Hideaki Nishino ne détaille pas ce point, précisant simplement que « nous avons pris une autre direction cette fois-ci ».

La DualSense inaugure un bouton « Create »

Concernant la disposition des boutons, c’est à peu près la même chose que sur une DualShock 4. On s’aperçoit uniquement que le bouton « Share » a disparu, remplacé par le fameux bouton « Create » à gauche du touchpad. Sony explique qu’il le détaillera plus par la suite. Étant donné que la PS5 aura au moins autant d’options de partage de photos et vidéos que la PS4, on imagine que ce bouton Create aura le même usage que l’ancien Share, voire même plus.

Vibrations élaborées et gâchettes adaptatives

Plus intéressant encore, le retour haptique de la manette. Sur la DualShock 4, vous pouvez ressentir les vibrations en fonction des actions réalisées en jeu. Une fonctionnalité éculée dont on dispose depuis la DualShock 2 de la PS2. Sur ce point, Nintendo a innové avec les Joy-Cons de la Switch, lesquels renferment des moteurs qui peuvent vibrer de plein de manières différentes avec précision. Ces vibrations HD, c’est ce vers quoi on tend avec la DualSense si l’on comprend bien Sony. Hideaki Nishino promet en ce sens « une variété de sensations puissantes… telle que la granularité du terrain lorsque l’on conduit une voiture sur une route boueuse. »
Les gâchettes L2 et R2 ont aussi été retravaillées et sont qualifiées de « gâchettes adaptatives ». Elles seront en mesure d’ajuster la tension en fonction de l’action réalisée dans un jeu, comme encocher une flèche sur un arc. Plus on tendra l’arc dans le jeu et plus la course de la gâchette se durcira.
La note de Sony s’achève par une citation du patron de Sony Interactive Entertainment, maison-mère de PlayStation. Jim Ryan rappelle que le lancement de la PS5 est toujours prévu pour la fin de l’année. Il affirme également que le design de la PS5 sera dévoilé « dans les prochains mois ».
En ce sens, il balaie d’un revers de la main les allégations de surchauffe de la PS5 qui obligerait Sony à revoir le design de sa console à quelques mois de sa sortie. Un problème évoqué récemment par des développeurs relayés par Daniel Rubino de Windows Central. Mark Cerny, responsable du développement de la console, a aussi pris la parole suite à cet épisode afin de clarifier la situation et expliquer que la console ne surchauffait pas et que la température extérieure n’altèrerait pas les performances en jouant sur les fréquence variable de ses CPU et GPU.

Source. : SCE

samedi 11 avril 2020

Google lance la version gratuite de Stadia et vous offre deux mois de jeux vidéo

Google lance la version gratuite de Stadia et vous offre deux mois de jeux vidéo

Le service de cloud gaming de Google s'ouvre à tous les internautes français confinés avec un joli cadeau : deux mois de Stadia Pro offerts pour toute inscription au service. De quoi bien s’occuper durant le confinement, puisque neuf jeux vidéo, dont d’excellents titres, sont accessibles gratuitement.

dimanche 15 mars 2020

PS5 : 8k, ray tracing, rétrocompatibilité, Gamestop confirme les specs de la console

PS5 : 8k, ray tracing, rétrocompatibilité, Gamestop confirme les specs de la console







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Gamestop confirme par erreur certaines caractéristiques de la PlayStation 5 et tease sa nouvelle manette, le DualShock 5. La console next-gen de Sony sera bien équipée d’un lecteur Blu-Ray et prendra en charge les écrans 8k ainsi que le ray tracing. Elle sera également compatible avec les jeux PS4 et le PSVR.
L’épidémie de Covid-19 tombe au plus mauvais moment pour le secteur du jeu vidéo. Alors que la sortie des consoles next-gen se rapproche, les principaux acteurs annulent leur participation aux salons les plus importants. La GDC 2020 se privera notamment de Microsoft, de Sony et d’Electronic Arts. La firme de Redmond parvient néanmoins à occuper la scène médiatique en distillant quelques informations sur sa console. Sony reste dans l’ombre, et si on se doute des caractéristiques de la PlayStation 5, elles restent à prouver. Gamestop vient justement de donner un peu de visibilité à Sony en confirmant certaines d’entre elles.
PlayStation 5 Concept – Steel Drake
Gamestop a mis en ligne une nouvelle page dédiée à la PlayStation 5, et dévoilé une partie de ses caractéristiques. On ignore s’il s’agit d’une erreur ou si le site s’est fait tirer les oreilles par Sony, mais elle n’est restée en ligne que quelques heures avant d’être retirée. La console supporte les écrans TV 8k et sera doté d’un lecteur Blu-Ray, probablement compatible 4K Ultra HD. Elle prend donc en charge les contenus digitaux stockés sur son disque SSD, mais aussi ceux sur support physique. Le site confirme également la présence d’un CPU AMD Zen 2 personnalisé à 8 cœurs et 16 threads, mais rien à propos de son GPU si ce n’est le support du ray tracing et de l’audio 3D. Enfin, la PS5 sera compatible avec les jeux PS4, y compris les titres PSVR.

PS5 : Gamestop tease la nouvelle manette Dualshock 5

Le site donne quelques éléments concernant la manette de la PlayStation 5 qui viennent confirmer ce qu’on supposait. Le DualShock 5 sera bien équipé de moteurs haptiques et de gâchettes à résistance dynamique. Le joueur pourra ainsi ressentir « la différence de surface lorsqu’une voiture roule sur du gravier ou de la boue grâce à la réponse haptique », et les gâchettes « donnent aux développeurs la liberté de déterminer le degré de résistance ». La présence d’un système de recharge sans fil sur le DualShock 5 n’est pas à exclure, mais Gamespot ne le mentionne pas. La PlayStation 5 doit sortir en fin d’année à un tarif supposé d’environ 450 euros.

Source : TweakTown

REF.:

samedi 22 février 2020

Google Stadia, GeForce Now, Shadow, xCloud, PS Now : quelle est la meilleure offre de cloud gaming ?

Google Stadia, GeForce Now, Shadow, xCloud, PS Now : quelle est la meilleure offre de cloud gaming ?




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C'est quoi le Cloud Gaming ? Quelle est le meilleur service parmis Google Stadia, Nvidia Geforce Now, xCloud de Xbox et PlayStation Now ? Réponse dans notre grand comparatif !

Cela fait maintenant de nombreux mois que le terme Cloud Gaming revient régulièrement dans l’actualité. Cette nouvelle approche de la façon dont on joue aux jeux vidéo risque bien de révolutionner le marché dans un avenir très proche. Mais en quoi consiste vraiment le Cloud Gaming ? Comment fonctionne-t-il ? Quels sont les différents services proposés et leurs différences ? C’est ce que nous allons aborder dans ce dossier complet.

Comment fonctionne le Cloud Gaming ?

En quelques mots, le Cloud Gaming permet de jouer à des jeux vidéo sur différents supports sans que ceux-ci soient à l’origine du traitement graphique. La puissance de calcul est déportée dans des serveurs hébergés à distance qui font tourner les jeux, qui transmettent l’image aux joueurs. Pour profiter d’un tel service, il suffit donc en principe d’un accès à une connexion internet et un écran sur lequel jouer : un ordinateur, une box, un téléviseur connecté, un smartphone ou une tablette par exemple.
Avec le cloud gaming, le jeu vidéo tourne sur un serveur distant. L’utilisateur a d’une connexion à Internet et d’un écran.
En suivant ce principe, on peut donc jouer aux jeux les plus gourmands et les plus sophistiqués avec des appareils peu puissants ou bon marché, puisque c’est le serveur qui s’occupe de tout. Cette transformation du jeu vidéo se rapproche de ce qui s’est fait dans la vidéo avec des services comme Netflix, ou dans la musique avec Spotify. Ici, la technologie est un peu plus complexe toutefois, car il faut limiter au maximum la latence entre le serveur et le joueur, puisque les jeux sont par nature interactifs contrairement aux autres médias.

Les services de Cloud Gaming déjà disponibles

Nvidia GeForce Now

Nvidia a lancé son service GeForce Now en février 2020 après de nombreux mois en beta. GeForce Now donne accès à une sélection de jeux compatibles venant des boutiques de jeux Steam, Uplay ou Battle.net. L’avantage est donc de ne pas forcer les joueurs à racheter des jeux qu’ils possèdent déjà sur ces boutiques. Reste que si l’on ne possède pas les jeux, il faut les acheter, l’abonnement payant ne comprend pas un accès à un catalogue de jeu.
Certains jeux sont dits « optimisés » par Nvidia. Comprenez qu’ils sont déjà disponibles sur les serveurs de Nvidia, ce qui épargne l’utilisateur d’un temps de téléchargement et d’installation. GeForce Now est pour l’instant capable d’afficher au maximum du 1080 p à 60 images par seconde, si votre connexion le permet bien évidemment.

Nvidia propose deux niveaux de service. Le premier est totalement gratuit est comprend un accès à des sessions de une heure de jeu. Cette accès demande aussi de patienter dans une file d’attente pour accéder aux serveurs de jeux et a surtout été pensé pour permettre à un maximum de joueur de tester le service sans dépenser un sous.
Le second niveau est un abonnement payant, à 5,49 euros par mois, qui permet de passer les file d’attente, donne l’accès à un affichage RTX (avec le ray tracing) et étend la durée des sessions à 6 heures.
Le service est disponible dès maintenant sur les PC sous Windows et Mac OS, les smartphones et tablettes sous Android, et la box Nvidia Shield. GeForce Now sera étendu à terme sur d’autres services. Nvidia promet un accès sur les Chromebook et Linux en 2020 par la version web (WebRTC) du service.
  • Débit minimum recommandé : 15 Mbit/s pour un affichage 720p60 et 25 Mb/s pour du 1080p60
  • Appareils compatibles : Nvidia Shield, Android, Windows, MacOS
  • Abonnement : gratuit ou 5,49 euros par mois
  • Jeux : connexion aux comptes Steam, Uplay et Battle.net

Sony PlayStation Now

Le PlayStation Now de Sony propose un accès illimité à un catalogue de jeux PS2, PS3 et PS4 dans le Cloud contre un abonnement mensuel. Le service est accessible uniquement depuis une PS4 ou un PC sous Windows. Au total, c’est plus de 600 jeux qui sont disponibles en streaming avec une image limitée en définition au 720p. Notez qu’il est possible de télécharger les jeux PS4 du catalogue sur une PS4 pour y jouer, même hors-ligne, et en définition native.

Le catalogue de jeux est assez vaste, et permet de jouer à des licences cultes de la PS2 ou de la PS3 (comme Red Dead Redemption). Chaque mois, l’entreprise ajoute de nouveaux jeux pour les utilisateurs du service. Avec la possibilité de jouer en streaming, il est très facile de passer d’un jeu à l’autre sans aucun temps de chargement.
Outre l’impossibilité d’accéder au service depuis n’importe quels écran, téléviseur connecté et smartphone en premier lieu, on regrette un catalogue de jeux un peu chiche en titre récent, notamment les grandes exclusivités de la PS4 qui tarde à arriver. Face à la concurrence, le géant a toutefois décidé de proposer chaque mois des jeux forts de son catalogue comme God Of War, GTA V ou encore Persona 5. Attention, ces titres sont disponibles de façon temporaire, trois mois en général, dans le catalogue.
L’abonnement coûte 9,99 euros par mois, ou 59,99 euros à l’année. Le service propose une période d’essai gratuite de sept jours, pratique pour vérifier que tout fonctionne correctement sur sa connexion. Aussi, l’accès au mode multijoueur des jeux présents sur le PlayStation Now ne nécessite pas un abonnement supplémentaire au PlayStation Plus.
  • Débit minimum recommandé : 40 Mbit/s
  • Appareils compatibles : PS4, PC sous Windows
  • Abonnement : 9,99 euros par mois, 59,99 euros à l’année
  • Jeux : accès illimité à plus de 700 jeux PlayStation, dont 300 jeux PlaytStation 4

Google Stadia

Google Stadia est un service de cloud gaming de nouvelle génération, qui marque pleinement l’entrée du géant dans l’industrie du jeu vidéo. Il s’agit ni plus ni moins d’une console de jeu dématérialisée, avec puissance annoncée de 10,7 téraflops (contre 6 téraflops pour Xbox One X). Le service est accessible sur TV, à l’aide d’un ChromeCast Ultra et d’une manette Stadia, ou sur PC avec Google Chrome, et sur les smartphones Pixel avec l’application officielle.
Pour aller plus loin
Tout savoir sur Google Stadia
À l’heure actuelle, la seule façon d’accéder au service et d’acheter un kit Google Stadia Premiere Edition à 129 euros comprenant une manette, un Chromecast Ultra et 3 mois d’abonnement à Stadia Pro. Cet abonnement, facturé à 9,99 euros par mois, offre une qualité d’affichage en 4 K UHD, des jeu offerts régulièrement et des réductions sur les jeux du catalogue. En 2020, Google prévoit un accès gratuit à son service qui limitera la qualité d’affichage à du Full HD 1080p.
Attention, Google Stadia n’est pas le « Netflix du jeu vidéo » : l’abonnement ne couvre que l’accès au service, et il faut ensuite acheter des jeux sur le catalogue de Stadia, avec des prix classiques de jeux sur console.
Google recommande une vitesse de téléchargement d’au moins 10 Mbit/s et propose un test sur son site pour vérifier si une connexion internet est suffisante pour jouer dans de bonnes conditions.
À terme, si Google tient ses nombreuses promesses, Google Stadia devrait aller plus loin et être compatible avec la plupart des appareils sous Android ou iOS, et les différentes manettes de jeu déjà proposé sur le marché. Le service devrait également être intégré à YouTube.
  • Débit minimum recommandé : 10 Mbps
  • Appareils compatibles : Chromecast Ultra, Chrome (Windows, Mac, Linux), Android (Google Pixel uniquement)
  • Abonnements : gratuit pour du Full HD (en 2020) ou 9,99 euros par mois pour de la 4 K
  • Jeux : achat à l’unité sur le catalogue de Google

Les services que l’on attend prochainement

Microsoft Xbox : Project xCloud

Microsoft travaille aussi sur sa solution de Cloud Gaming connu pour le moment sous le nom Project xCloud. Le service est disponible en bêta dans quelques pays dans le monde. Microsoft promet d’étendre cette bêta à l’Europe de l’Ouest en 2020. Le lancement commercial est également attendue pour 2020.

Dans sa preview, xCloud est uniquement accessible sur Android avec une manette Bluetooth Xbox One, mais Microsoft promet à terme de proposer son service sur « tous les écrans », avec notamment une version pour Windows 10 prévue en 2020. La bêta privée et gratuite offre un accès à plus de 50 jeux Xbox. À son lancement, le service permettra d’accéder à ses jeux achetés sur le Xbox Store, ou dans l’abonnement Xbox Game Pass, créant ainsi un véritable « Netflix du jeu vidéo ». On ne connait pas encore le prix du service.
Pour aller plus loin
Notre premier essai sur xCloud
Pour créer ce service, Microsoft a intégré des Xbox One S à ses serveurs, ce qui permet d’adapter facilement les jeux compatibles avec la console. Avec la sortie de la Xbox Series X, xCloud devrait basculer sur la nouvelle génération de console à terme.
  • Disponibilité : en bêta dans quelques pays
  • Débit minimum recommandé : 10 Mbit/s
  • Appareils compatibles : smartphones sous Android
  • Abonnements : non communiqué
  • Jeux : 50 jeux en preview, jeux du Xbox Game Pass au lancement

Electronic Arts

Electronic Arts lui aussi souhaite se lancer dans la course. L’éditeur de jeux vidéo a annoncé à l’E3 2018 travailler sur son propre service de Cloud Gaming. En octobre 2018, on en apprenait un peu plus sur ce service, par le biais d’une publication sur Medium du CTO d’EA, Ken Moss. Le service de Cloud Gaming se nomme Project Atlas, et le moins que l’on puisse dire est que les contours de ce produit restent flous. Ce service devrait mêler Frostbite (moteur graphique conçu par DICE pour EA), des serveurs dans le Cloud et de l’intelligence artificielle. Un projet prometteur donc, mais dont on sait très peu de choses, à commencer par la date de commercialisation.

Avec son service Origin Access Premier disponible sur PC, Electronic Arts propose déjà un abonnement dédié aux jeux vidéo. Il donne l’accès à un catalogue des meilleurs titres de l’éditeur, et quelques autres acteurs du jeu vidéo, mais surtout un accès aux nouveaux jeux d’EA, avec quelques jours d’avance sur leur sortie commerciale.

Mais qu’attendent-ils ?

Vous l’aurez compris, le Cloud Gaming est en train de métamorphoser le marché du jeu vidéo. Les principaux acteurs des technologies du numérique proposent ou développent leurs services. Certaines marques restent cependant très discrètes sur le sujet.

Steam

Avec sa boutique de jeux dématérialisés Steam, Valve est devenu le leader de la distribution de jeu sur PC. Le géant doit désormais faire face à une concurrence toujours plus féroce, notamment avec le Epic Game Store poussé par le succès de Fortnite. Pour rester compétitif à l’avenir, Valve préparerait une offre de cloud gaming pour Steam avec l’accord de ses partenaires.

Amazon

Amazon semble disposer de tous les éléments pour se lancer dans le Cloud Gaming. La firme est l’un des leader du Cloud Computing professionnel via sa branche AWS. En plus d’être un site marchand, Amazon est déjà bien présent dans les domaines des services numériques, avec Amazon Music ou Prime Video.

Amazon a également déjà un pied dans l’industrie du jeu vidéo, puisque la firme possède Twitch, célèbre plateforme de diffusion de parties de jeux vidéo. Stratégiquement, Amazon pourrait donc associer son poids dans le cloud computing et les services, tout en tirant parti de la popularité de Twitch, pour se lancer dans le cloud gaming. Cette idée semble en tout cas faire son chemin chez le géant.

Apple

Apple va-t-il aller jusqu’au Cloud Gaming dans sa course aux services ? La firme de Cupertino diversifie ses sources de revenus, en particulier dans le domaine des services. Après un lancement d’Apple Music réussi, et ouvert à Android, la marque à la pomme s’est tournée vers la presse, avec Apple News+, et la vidéo avec Apple TV+. Du côté du jeu vidéo, la firme se contente pour le moment de l’abonnement Apple Arcade réservé à son écosystème d’appareils.

Nintendo

Nintendo fait rarement comme ses concurrents Microsoft et Sony. À la place, la marque japonaise suit son propre chemin, et cela lui réussit au vu du succès commercial qu’est la Switch. Nintendo se lancera-t-il dans le Cloud Gaming ? On ne sait pas. La Nintendo Switch pourra-t-elle être une plateforme sur laquelle on profite du Cloud Gaming en France ? C’est ce que laissent entendre des fuites, laissant présager une compatibilité du projet xCloud de Microsoft sur la Nintendo Switch.
Notez que certains acteurs n’ont pas attendu l’aval du constructeur. Au Japon, des jeux comme Resident Evil 7 ou Phantasy Star Online 2 sont disponibles sur la console et passent par le cloud pour fonctionner. C’est l’entreprise Ubitus qui se charge de ces versions, qui sont exclusivement destinées au marché asiatique pour le moment.

Le cas de Shadow, par Blade : du cloud computing

Shadow est un service de Cloud Computing, ce qui est un peu plus large que le cloud gaming. Vous n’accédez pas à un simple catalogue de jeu, mais à un PC de gamer virtuel sous Windows 10, contre un abonnement mensuel. Cet ordinateur peut être accédé depuis la plupart des appareils : PC, Mac, Android ou encore iOS. Shadow propose aussi sa propre box d’accès avec la Shadow Ghost.
Shadow propose une interface simplifiée sur Android pour accéder à ses jeux
Une fois Windows 10 configuré, Shadow se comporte comme un PC, il faut donc acheter par soi-même les jeux, mais cela veut aussi dire que l’on peut facilement avoir accès à ses différents comptes existants : Battle.net, Steam, Origin, UPlay ou encore Xbox Game Pass. C’est à vous de gérer cet ordinateur, d’installer les jeux de votre choix dans la limite du stockage disponible et de mettre à jour les pilotes Nvidia.
Shadow propose trois abonnements, de 14,99 euros à 49,99 euros par mois, selon la configuration souhaitée, et avec une ristourne éventuelle si vous vous engagez. Si la première est simplement équipée d’un équivalent d’une GTX 1080, la configuration « Infinite » propose ni plus ni moins qu’un équivalent d’une Titan RTX de Nvidia, capable de faire tourner les jeux en 4 K UHD.
Ulrich Rozier, fondateur d’Humanoid, le groupe qui édite Frandroid, est actionnaire minoritaire de Blade (l’entreprise derrière Shadow).

Le futur du jeu vidéo, mais qui a encore quelques défauts

Présenté comme cela, le Cloud Gaming a tout pour être le futur du jeu vidéo. Que ce soit sur un smartphone, une tablette ou un ordinateur (même un Mac), il devient techniquement possible de jouer à ses jeux préférés de n’importe où, et depuis n’importe quoi.
Plus besoin non plus d’acheter la toute dernière console de jeu, carte graphique ou d’équiper son ordinateur de plus de mémoire vive : un abonnement à un service de Cloud Gaming offre un accès à une machine puissante dont on n’a pas besoin de s’occuper. Mais surtout, c’est très simple : pas besoin de télécharger les derniers pilotes ni d’optimiser les paramètres d’affichage. Jouer à un jeu devient aussi simple que regarder une série sur Netflix.
Pourtant, le Cloud Gaming n’est pas encore la solution parfaite qui remplacera ordinateurs et consoles de salon. La technologie en est à ses balbutiements et il faut pour le moment, une très bonne connexion, très stable. Les configurations à privilégier sont donc la fibre ou un très bon VDSL, avec une connexion locale en Ethernet plutôt qu’en Wi-Fi. Quand bien même la connexion est excellente, il est impossible d’éviter un certain temps de latence lorsque l’on utilise un service de Cloud Gaming. Même s’il est minime et presque imperceptible pour certains, elle reste trop importante pour les puristes qui privilégieront encore l’achat d’une machine de jeu. Le mieux est encore de tester pour savoir où l’on se situe.

Les promesses de la 5G

Certains défauts qu’une technologie d’avenir pourrait bien faire disparaître : la 5G. S’il y a bien un créneau sur lequel cette nouvelle génération du réseau mobile est attendue, c’est la latence. La 5G pourrait offrir un temps de réponse de l’ordre de 1 milliseconde, contre 10 actuellement. À ce titre, un responsable de Microsoft associait la 3G au développement du streaming de musique, et la 4G LTE au streaming vidéo, en expliquant que la 5G aurait le même rôle pour le jeu vidéo.
Une réactivité accrue, qui devrait permettre à plus de personnes de profiter d’un service de Cloud Gaming de meilleure qualité.