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mardi 30 janvier 2018

Comment en finir avec son pharmacien



La plus grande erreur en pharmacie est le mauvais comptage de pilule.
Alors voici la manière d'éviter cette erreur.Car plusieurs personnes âgées en légère perte d'autonomie ne compteront jamais leurs pilules!





La méthode 3X + 1 :(c'est la règle du 3,du trio quoi ,du 333 !)

Voici ce que ça prend: Beaucoup d'honnêteté,de passion de son travail et de con centration,il faut aimer les gens plus que vos pilules ou votre paye!
Évidemment il est défendu de compter sa fin de semaine de golf en Floride ;-)

Woké,............ça prend une serviette de ratine noire,une fouchette,une pince a cil(lorsque vous allez Prendre contact avec votre pharmachienne),une feuille 8 1/2 X 11 plastifiée,un bon éclairage,un crayon et un papier(c'est la, que tu écrira ce qui manque de ta bouteille de pilule de 30 pilules).On ne compte pas les suppo,car tu les garde pour ton pharma-sien,il sait ou se les mettre :-/


Donc,allume les lumières,étend la nappe sur tes genoux(elle sert a voir les pilules qui peuvent tomber de la table de comptage),ensuite tu déverse la bouteille de 30 pilules ;-) Ahhhhhhhhhhhhhh!!!! HihIhi !,sur la feuille de plastique et avec la fourchette, tu te prépare a compter lol (système décimal 0 a 9 et non binaire 0 a 1)!

La règle 3X + 1 est infaillible ton cerveau devient une machine,car on nomme pas les chiffres on compte 1 pour la première pilule en la regardant pour voir sa couileur,la forme,texture etc et ensuite tu prend 3 fois des groupes de 3 pilules (ce qui fait 3 X 3 =9 + le 1 du départ = 10 ),que tu fait 3 fois(c'est la que tu dit a haute voix 3,3,3,tu viens de compter 9 pilules plus la première,ça fait 10),car c'est toujours 30 pilules sur la bouteille(si c'est des médicaments journalier).Ensuite tu remet les pilules comptées avec la feuille plastifiée que tu plie en deux pour faire un entonnoir et déverser les pilules dans la bouteille.

Et la pince a cil,c'est pour aller chercher la maudite pilule dans la dosette qui veut pas sortir ,car il y a eut mélange dans le comptage ou une pilule différente s'y trouve.T'as donne au chat du voisin.............Nonnnnnnnnnnn, a ton Femmachien lol !

La pointe de l'iceberg:

Un pharmacien mis à l'amende pour s'être trompé de médicament.......

Erreur dans une ordonnance,......................Pharmacien mis à l’amende:

L’Ordre des pharmaciens du Québec tient par ailleurs à mettre en garde les apothicaires d’expérience et les patients eux-mêmes. «On veut éliminer les automatismes chez ceux qui pratiquent depuis de nombreuses années et on demande également aux gens d’être vigilants et de ne pas se gêner pour poser des questions à leur pharmacien», conclut Manon Lambert.....

3500 $ pour avoir causé un décès,............Une pharmacienne qui n’a pas remis le bon médicament à une dame de 89 ans reçoit une amende légère !



REF.:lesconnnaissancessontlaPointcome

mercredi 29 octobre 2014

Révélation sur le Thymus et le cancer




C'est le Thymus  qui entraine les lymphocyteT des os,pour en garder 2 % environ qui vous servirons a lutter contre les infections ou les cellules cancéreuses.

-C'est a 40 ans que votre production de lymphocyte T est rendu a 40% et seulement a 10% pour vos 90 ans.C'est donc dire que le Thymus fonctionne pour un âge idéal d'un Homme en santé de 40 ans,comme il y a belle lurette.Maintenant ont vie beaucoup plus vieux que ça !

 C'est ce que le Docteur Claude Perreault et son équipe ,nous dit:
Dr Claude Perreault est chercheur principal et un des membres fondateurs de l'Institut de recherche en immunologie et en cancérologie (IRIC). Outre ses activités de recherche et de formation à l'IRIC, il est clinicien à l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont, où il a créé le laboratoire d'histocompatibilité et fondé l'unité de greffe de moelle osseuse.

Claude Perreault et son équipe orientent leurs initiatives de recherche sur trois questions : quels sont les mécanismes responsables du développement de lymphocytes T, quelle est la définition moléculaire du soi immunitaire et comment peut-on manipuler le système immunitaire pour guérir le cancer? Le but ultime du Dr Perreault est d'apporter des solutions à deux problèmes urgents : le cancer et le vieillissement du système immunitaire.

Titulaire d'une chaire de recherche du Canada en immunobiologie et membre de l'Académie canadienne des sciences de la santé, le Dr Perreault a reçu la bourse commémorative Murray Margarit en 2009 (Société de leucémie et de lymphome du Canada) et le prix Léo-Pariseau (ACFAS) en 2011.Leader en recherche et dans la mise en oeuvre de nouveaux traitements contre le cancer, le Dr Perreault concentre ses efforts en transplantation de moelle osseuse et en immunothérapie du cancer. Ses travaux on mené à des avancées importantes dans la compréhension de la réaction du greffon contre l'hôte (GVHD), dans le traitement de la leucémie et dans le développement d'un vaccin contre le cancer.


Claude Perreault et son équipe étudient les cellules qui régissent le fonctionnement du système immunitaire, que l’on appelle les « lymphocytes T » afin de comprendre et d’améliorer le fonctionnement du système immunitaire.
Plus spécifiquement ils tentent de découvrir
i) pourquoi le thymus est le seul organe capable de supporter le développement des lymphocytes T, ii) comment les lymphocytes apprennent, dans le thymus, à distinguer le soi du non-soi, et finalement iii) comment les lymphocytes T peuvent reconnaître des cellules cancéreuses et comment on peut augmenter l’activité anti-tumorale des lymphocytes T.
Les recherches visent à créer un vaccin contre le cancer et prévenir le vieillissement du système immunitaire.
Nous vous invitons à visionner le reportage au sujet des recherches du Dr Claude Perreault et son équipe sur le thymus diffusé à l’émission Découverte. Cliquez ici.
L’attrition rapide et irréversible des cellules épithéliales thymiques est très intrigante étant donné que d’autres épithélia (peau, tube digestif) affichent un énorme potentiel d’auto-renouvellement. Nous cherchons donc à comprendre la biologie des cellules épithéliales thymiques progénitrices/souches et à élaborer des stratégies visant à rajeunir le thymus.


Sur le cancer…

On rapporte que le cancer est la première cause de mortalité au Canada, cette maladie étant même responsable de près du tiers de tous les décès. De surcroît, près de 40 % des femmes et 45 % des hommes en seront atteints au cours de leur vie !
  « C’est un fait que plus d’hommes sont frappés par le cancer que de femmes, confirme le docteur Claude Perreault, l’un des cofondateurs de l’IRIC et hématologue à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont. Pourquoi ? On ne le sait pas encore. En fait, on a deux hypothèses. »
  La première considère les mauvaises habitudes de vie des hommes, qui fument davantage et s’alimentent moins bien que les femmes. La seconde met de l’avant l’avantage immunitaire dont jouissent les femmes.
  « On sait que le système immunitaire a comme fonction d’éliminer les cellules défectueuses et on sait aussi que celui des femmes est plus puissant que celui des hommes, explique le Dr Perreault. On pourrait penser qu’à cause de cet avantage, les femmes élimineraient mieux les cellules cancéreuses. Mais, à vrai dire, on ne sait pas encore laquelle des deux hypothèses est la bonne. Probablement qu’y a-t-il un peu de vrai dans les deux ! »


… et sur son origine

L’oncologue rapporte en effet qu’environ 15 % des cancers ont une origine environnementale ou infectieuse. C’est le cas entre autres des cancers du poumon et de la peau, qui sont fréquemment liés à l’exposition au tabac et au soleil. Il y a aussi les cancers du col de l’utérus et du foie, souvent liés à des infections (papillomavirus humain et hépatites B et C). « Mais pour tout le reste des cancers, il n’y a pas vraiment de cause… sinon la malchance », déclare le spécialiste.
  De fait, la très grande majorité des cancers provient de mutations qui se produisent lors de la multiplication de nos cellules. « Chaque jour, on fabrique cent milliards de cellules, et chacune d’elles comporte 3 milliards de lettres dans son code génétique, explique Claude Perreault. Alors, il arrive qu’il se glisse des erreurs de copiage. L’insertion d’une mauvaise lettre s’appelle une mutation, et celle-ci survient par malchance, simplement parce que, à un moment donné, notre appareil de copie fait une petite erreur. »
  C’est dire que, dans la grande majorité des cas de cancer, c’est tout bonnement une question de malchance, insiste l’hématologue. Et plus on vieillit, plus les erreurs s‘accumulent, et plus les risques de développer un cancer s’accroissent.





 Source.:

dimanche 18 novembre 2012

Jamais mesurer avec une cueillière a soupe ,.....pourquoi ?

Si votre docteur ou pharmacien vous dit ,prenez 2 cueillièrés a table,mettez vous a rire et dite lui que vous ne voulez pas la moitié de la dose de votre sirop pour la toux et que vous voulez sortir vivant de votre grippe!
Car une cueillière a table que vous posséder dans votre cuisine est surement une cueillière du standard "15 ml" ,mais la moitié.
Faîtes le test !
 
 



La cuiller à table aussi dite « de table », « à bouche », « à soupe » ;est un ustensile de table destiné à porter à la bouche des aliments liquides ou peu consistants.


Dans les pays anglo-saxons, la mesure correspondant à la cuillère à soupe est désignée par « tablespoon » ou « tablespoonful » :
  • La tablespoon impériale ne fut jamais standardisée et peut valoir :
    • Au Royaume-Uni, 58 d’once liquide impériale, soit environ 17,76 ml ;
    • Au Canada, la moitié d’une once liquide impériale, soit environ 14,21 ml ;
  • En Australie elle vaut de nos jours 20 ml.
  • La tablespoon US valait jadis la moitié d’une once liquide US, soit environ 14,77 ml, aujourd’hui officiellement 15 ml.

 La voici :








Soup Spoon.jpg


Ou celle-ci,qui sert a mesurer vos recettes!


c'est la TBS ou TBSP, tablespoon, cueillière a table pour faire des recettes de cuisine !Elle a 15 ml aussi , et non 7,5 ml !



La cueillère a table,c'est évidemment celle que vous n'avez pas dans votre coutellerie,le plus souvant c'est l'autre celle qui est moins profonde !
C'est la dernière a droite ! Cette cueillière a table contient 7,5 ml soit la moitié d'une cueillière a table normale !
 

 Les sortes de cueillières:



 et si vous êtes mélanger avec la cueillière a soupe (soup spoon),faîte attention,car il y en a des bien plus grosses LOL !
Comme celle-ci:






Note:
La cueillière a thé ,elle a 5 ml.

Dans le système des mesures anglo-saxonnes, l’usage d’autres systèmes d’unités conduit à admettre des contenances différentes :
  • la cuillère à thé canadienne vaut 16 d’once liquide impériale, soit 4,735 ml ;
  • la cuillère à thé impériale ou drachme (Imperial teaspoon), vaut 18 d’once liquide impériale, soit 3,551 ml ;
  • la cuillère à thé américaine (U.S. teaspoon) vaut 16 d’once liquide US, soit 4,929 ml.

REF.:


dimanche 14 octobre 2012

Les hémorroïdes: rien de pire que se gratter

Les hémorroïdes  au sens premier, sont les veines présentes au niveau des muqueuses de l'anus et de la partie basse du rectum. Dans l'usage courant, les hémorroïdes désignent principalement la dilatation variqueuse et l'inflammation de ces veines, alors appelées veines hémorroïdaires.Les hémorroïdes sont une dilatation des veines de la zone anale (anus et rectum) et du tissu les entourant, un phénomène semblable aux varices qui peuvent apparaître sur les jambes.

Causes

  • Les antécédents familiaux ne sont pas toujours une cause suffisante pour expliquer l'apparition d'hémorroïdes, cependant ils pourraient permettre de détecter un terrain favorable aux crises.
  • Une alimentation fréquemment riche en piment, par exemple.
  • La manipulation fréquente de charges lourdes qui induisent une pression excessive dans la cavité abdominale (les métiers physiques sont concernés, comme les déménageurs par exemple).
  • Le travail dans des conditions assises est un facteur important, qu'il s'agisse d'un travail dans un véhicule (chauffeur de camion, taxi, bus…) ou derrière un bureau sur de longues durées, ne favorisant pas la circulation dans les jambes.
  • Une constipation chronique est facteur important. Les mauvaises habitudes alimentaires et le stress en sont les principales causes et ces points doivent être corrigés si l'on souhaite éviter la ré-apparition des symptômes.
  • Certaines molécules peuvent être en cause, tels des laxatifs s’ils sont utilisés sur une longue période, ou certains opiacés (médicaments ou non).
  • L'accouchement et la grossesse.
  • Les activités s'accompagnant d'un blocage respiratoire, responsable d'une hyperpression abdominale maintenue. L'une des erreurs communes étant celle de « forcer » en retenant son souffle lors d'une constipation.

Traitement curatif

En général, les hémorroïdes se soignent efficacement à l’aide de traitements symptomatiques simples qui atténuent la douleur et réduisent l’inflammation. Enfin, une attention particulière doit être accordée à l’hygiène de la région anale, sans toutefois tomber dans l’excès, le savon pouvant aussi être une cause d’irritation. Toutes ces mesures permettent de résoudre la crise puis d'en prévenir d'autres dans plus de la moitié des cas.


Donc, rien de pire que se les gratter avec vos mains non hygiéniques,mettez du savon mes amis,et un peu de crème a main peu suffire.Vos hémorroïdes piquantes disparaîtront et votre séjour a l'hôpital sera éviter.Vous ne ferez plus parti des 30% qui en souffre.

REF.:

dimanche 30 septembre 2012

Les « oubliés » de notre soctiété


Les « oubliés » de notre soctiété

La population n’est pas assez conscientisée à la détresse des enfants, croit le Dr Julien






REF.:


mercredi 14 mars 2012

Santé: Commander son fauteuil roulant avec sa langue


Georgia Institute of Technology - Commander son fauteuil roulant avec sa langue
L'appareil, installé dans la bouche du patient, permet de contrôler la chaise roulante motorisée. 
© Courtoisie Maysam Ghovanloo

ATLANTA, Géorgie – Des chercheurs américains ont développé un système qui permet à une personne handicapée de contrôler et de conduire son fauteuil roulant motorisé avec de simples mouvements de la langue.  Le prototype a été développé par des chercheurs du Georgia Institute of Technology. Il consiste en un système de commande intrabuccal placé à l'intérieur du palais et muni. Un petit aimant est fixé sur la langue à l'aide d'un perçage.  En déplaçant sa langue sur le système de commande qui se trouve dans son palais, le patient envoie des signaux aux capteurs. Ces signaux seront ensuite transmis à un logiciel installé sur un iPod, qui interprétera les commandes et les transposera en mouvements du fauteuil motorisé.  Un microcircuit est intégré dans le système intrabuccal et est recouvert d'un matériau isolant, résistant à l'eau. «Le dispositif est conçu à partir des empreintes dentaires du patient et il est moulé pour s'adapter parfaitement à son palais. Il n'y a donc aucune perturbation possible» , a expliqué Maysam Ghovanloo, chercheur au Georgia Institute of Technology.  Des tests seront réalisés auprès de patients paralysés à cause de graves blessures à la moelle épinière.  Cette découverte a été présentée dans le cadre de l'International Solid-State Circuits Conference à San Francisco.

REF.:

mardi 13 mars 2012

Le stress chronique endommage l’ADN

Le stress chronique endommage l’ADN

Il est important de savoir gérer son stress, car selon des chercheurs, la présence soutenue d’adrénaline, comme c’est le cas chez les gens qui sont constamment stressés, provoque une augmentation importante des dommages dans la structure de l’ADN.
Le stress chronique peut avoir plusieurs conséquences négatives sur la santé et empoisonner l’existence. Une étude récente indique qu’un stress soutenu sur de longues périodes endommage notre ADN et peut ainsi favoriser le développement du cancer. Apprendre à mieux gérer le stress constitue donc une excellente résolution pour la nouvelle année !
Stress : essentiel à court terme…
Le stress est un phénomène absolument essentiel à la survie : la détection d’un danger par nos organes sensoriels (odeur de fumée, vision d’un personnage menaçant, bruit de coup de feu) déclenche une alerte maximale du cerveau qui va amorcer une série de processus extrêmement complexes appelés « réaction de combat-fuite ».
En activant les glandes surrénales, le cerveau commande la libération dans le sang d’hormones d’action comme l’adrénaline de façon à augmenter le rythme respiratoire, les pulsations cardiaques, l’acheminement d’oxygène aux tissus ainsi que le niveau d’éveil et d’attention.
Ce que l’on appelle communément l’instinct de survie est donc essentiellement une réaction de stress, une réponse biologiquement programmée qui vise à mobiliser nos ressources de façon à pouvoir combattre ou encore fuir rapidement un danger potentiellement mortel.
... Mais néfaste à long terme
Le stress est généralement de courte durée, car les nombreux effets physiologiques qui lui sont associés sont extrêmes et peuvent causer des effets négatifs sur l’organisme à plus long terme.
D’ailleurs, lorsqu’il perdure et devient chronique, le stress est reconnu pour favoriser le développement de plusieurs désordres, incluant (entre autres) des troubles gastro-intestinaux comme les ulcères de l’estomac, certaines maladies cardiovasculaires, un affaiblissement du système immunitaire qui favorise les infections, la dépression et des troubles du sommeil.
Sans compter que le stress chronique est souvent associé à de mauvaises habitudes de vie comme le tabagisme ou la consommation excessive d’alcool, deux facteurs qui augmentent considérablement le risque de maladies cardiovasculaires et de cancer.
Stress génétique
Des chercheurs américains viennent de démontrer que le stress prolongé peut également mener à des anomalies dans les chromosomes (1). Ils ont observé que la présence soutenue d’adrénaline, comme c’est le cas chez les personnes qui sont constamment stressées, provoque une augmentation importante des dommages dans la structure de l’ADN.
Cet effet nocif de l’adrénaline est dû à la surstimulation d’une cascade responsable de la dégradation de la protéine p53, un des principaux gardiens de l’intégrité du matériel génétique. Cet effet néfaste du stress sur l’ADN est même observé au niveau des spermatozoïdes, suggérant que le stress chronique vécu par les hommes pourrait provoquer des anomalies transmissibles à leurs enfants.
Le stress chronique n’est donc pas seulement nocif pour le fonctionnement normal de nos organes, mais provoque également des altérations à l’ADN qui pourraient favoriser le développement de plusieurs maladies, incluant le cancer.
Gestion du stress
Même si nous vivons dans une société axée sur la performance où abondent les conditions stressantes, il existe plusieurs façons de faire face à ce problème.
La plus simple est sans doute d’apprendre à focaliser sur les problèmes que nous pouvons résoudre et minimiser ceux qui échappent à notre contrôle : on sait depuis longtemps que l’action est un puissant « anti-stress » tandis que l’incapacité d’agir est frustrante et stressante.
Par exemple, au lieu de stresser parce que vous êtes pris dans un bouchon de circulation (un problème que vous ne pouvez résoudre), profitez de ce contretemps pour réfléchir aux actions concrètes que vous allez prendre pour régler certains problèmes que vous rencontrez au travail ou à la maison.
Une grande variété d’approches complémentaires peut aussi être mises en application pour réduire le niveau de stress selon vos intérêts personnels : l’exercice physique régulier, des techniques de relaxation (yoga, méditation), apprendre à jouer d’un instrument de musique, adopter un animal domestique, marcher en forêt…
Apprendre à gérer le stress n’est pas seulement essentiel pour la santé mentale ; il s’agit d’un paramètre capital pour la santé physique, au même titre que l’arrêt du tabagisme, une bonne alimentation et le contrôle du poids corporel.

REF.: 
(1) Hara MR et al. A stress response pathway
regulates DNA damage through 2-adrenoreceptors and -arrestin-1. Nature 2011 ; 477 : 349-353. 

vendredi 3 février 2012

Hôpital général juif Robot chirurgical: une première utilisation au Canada

Hôpital général juif - Robot chirurgical: une première utilisation au Canada
Vue sur l'Hôpital général Juif de Montréal, en 2010. 
© ERIC BOLTE/ 24HEURES-MTL/AGENCE QMI

MONTRÉAL - L'Hôpital général juif (HGJ) est devenu le premier hôpital au Canada à réaliser une opération chirurgicale assistée par ordinateur très complexe, l'ablation d'une tumeur au pancréas appelée procédure de Whipple, qui réduit le temps de convalescence chez les patients.
Au cours de cette intervention, on retire la tumeur pancréatique en utilisant le robot afin d'y accéder par une série de petites ponctions. Grâce à ce procédé, il n'est plus nécessaire de pratiquer de grandes incisions dans la paroi abdominale.
«Le robot da Vinci permet de réaliser des interventions chirurgicales d'une extrême complexité qui sauvent des vies chez les patients atteints du cancer», indique Hartley Stern, directeur général de l'HGJ.
L'avantage des interventions chirurgicales assistées par ordinateur réside dans l'extrême précision et la meilleure qualité des résultats. Durant l'intervention, le Dr Tsafrir Vanounou, chirurgien de la Division de chirurgie générale de l'HGJ, disposait d'une vision tridimensionnelle du champ opératoire grâce à un écran numérique spécial.
Le système chirurgical da Vinci réduit considérablement l'inconfort et le temps de rétablissement du patient, de même que la durée de l'hospitalisation. En outre, il y a moins de risques de complications et les cicatrices externes sont réduites.
«Avec le système chirurgical da Vinci, l'HGJ est extrêmement fier d'offrir des traitements de pointe, tout en repoussant les limites de la chirurgie oncologique pour offrir aux patients atteints du cancer les traitements chirurgicaux les plus avancés sur le marché», soutient le Dr Vanounou.


REF.:

jeudi 18 août 2011

Trouver son médecin sur Internet


Exaspéré par la lenteur du système de santé, un jeune médecin lavallois vient de lancer un site internet pour aider la population à se trouver un médecin de famille et à éviter les longues heures d’attente dans les urgences.
Le site elodoc.com a été entièrement conçu par Hanna Nicolas, un jeune docteur qui a quitté les bancs de l’école de médecine il y a à peine deux ans.
Découragé par les faiblesses du réseau de la santé, ce « crack » de l’informatique a décidé de prendre le taureau par les cornes pour « offrir enfin un service de qualité aux patients».
Diagnostics en ligne, consultations personnalisées avec des médecins, détails des listes d’attente dans les urgences des hôpitaux ainsi que pour certaines chirurgies, le site elodoc.com vise surtout à désengorger les hôpitaux du Québec.
« À l’urgence de ma clinique, on voit défiler près de 300 patients par jour et plus de 50 % d’entre eux n’auraient pas eu besoin de se présenter à l’urgence s’ils avaient eu accès à de l’information de qualité », déplore M. Nicolas. Mon site permet au patient de faire le tri de ses symptômes pour voir s’il est nécessaire ou non pour lui de se présenter à l’hôpital. »
Un médecin à portée de main
Ce service, ouvert à tous les Québécois et entièrement gratuit, comprend également une section où il est possible de poser des questions directement à un médecin.
Actuellement, une vingtaine de docteurs, une nutritionniste et même un dentiste ont accepté de participer bénévolement au projet.
« Les réponses seront four nies en moins de 24 heures », promet Hanna Nicolas.
Ce dernier croit que d’autres médecins s’ajouteront bientôt à la liste des volontaires, puisque la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec a donné son aval au site internet.
« D’ici quelques mois, nous pourrons donc jumeler les patients qui se cherchent un médecin de famille avec un docteur de leur région », dit M. Nicolas.
Plus rapide que Québec
Le jeune omnipraticien affirme ne pas être intéressé à développer son portail avec le ministère de la Santé du Québec.
« C’est trop long et trop compliqué de travailler avec les fonctionnaires, dit-il en riant. Cela prendrait dix ans au gouvernement pour accomplir ce que j’ai fait en deux ans. »
« Ce n’est qu’une petite contribution pour régler les nombreux problèmes que nous avons dans notre système de santé. Mais il faut bien commencer quelque part si on veut enfin aller de l’avant. »

Les services offerts par elodoc.com
Une encyclopédie médicale: les symptômes de plus de 150 maladies sont décrits dans des articles et des vidéos.
Consultation: une vingtaine de spécialistes de la santé répondent aux questions de la population par courriel.
Temps d’attente: les temps d’attente dans les urgences des hôpitaux du Québec ainsi que pour certaines chirurgies sont détaillés en temps réel.
Source: Elodoc.com

vendredi 29 avril 2011

Québec se dote d’un registre des erreurs médicales

Santé - Québec se dote d’un registre des erreurs médicales
Le ministre, Yves Bolduc. 
© Agence QMI / Sébastien St-Jean

MONTRÉAL - Attendu depuis plus de dix ans, le Registre national des incidents et accidents, qui rendra publiques notamment les erreurs médicales de tous les établissements de santé, sera finalement opérationnel dès le 1er mai.
EN VIDÉO:Québec se dote d'un registre
Grâce à ce nouvel outil, les erreurs de traitements, de médicaments ou encore des erreurs au dossier des patients seront donc colligées tout en assurant la confidentialité des patients.
Le registre permettra, selon le ministre de la Santé, Yves Bolduc, d’ «établir des règles générales pour assurer une meilleure gestion des risques» en évitant de reproduire des erreurs fréquentes.
Québec promet donc de rendre disponibles ses données deux fois par année, en décembre et juin.
En 2009, le ministère de la Santé avait obligé tous les établissements de santé à tenir leur propre registre en vertu de la loi 113, adoptée en 2002.
Le ministre Yves Bolduc indique que 74 % d’entre eux ont commencé à transmettre leurs données pour le registre national.
Attente
Afin de justifier l’attente avant de mettre en place ce registre, M. Bolduc affirme que les établissements de santé étaient «hésitants à rendre l’information disponible».
«On ne veut pas chercher les coupables. Si on entretient une culture du blâme, les gens ne veulent plus déclarer», poursuit-il.
Le ministre a tenu à préciser, par ailleurs, que le registre n’offrira pas de garantie pour obliger davantage les établissements à déclarer les incidents et accidents survenus auprès de leurs patients.
Le ministre s’est montré rassurant au sujet des décès survenus dans des établissements de santé, en disant qu’il s’agit «d’une minorité de ce qu’on retrouve dans les accidents» et que «90 % des décès sont dus aux méthodes de travail».
Québec est la première province à tenir un tel registre.

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mardi 12 avril 2011

Le modèle des coopératives de santé ne fait pas l’unanimité,.......pourtant............

Coopératives de santé - Un financement contesté
 
Coopératives de santé


Un financement contesté

Le modèle des coopératives de santé ne fait pas l’unanimité.
Selon ce que rapporte le quotidien Le Devoir lundi, c’est le financement de certaines coopératives par des municipalités qui est contesté, un problème que le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) n’a pas encore résolu.
En 2009, des citoyens de Yamaska ont déposé une plainte au ministère des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire (MAMROT). Leur municipalité s’était engagée à verser une subvention annuelle de 18 000 $ à la Coopérative de solidarité santé Shooner-Jauvin, située à Pierreville, et ce, pour une période de cinq ans.
Les citoyens arguaient que le financement des soins de santé relève de la compétence des provinces et qu’une municipalité n’a pas le droit de subventionner une entreprise au Québec.
Toujours d’après Le Devoir, le conseil municipal de Yamaska a donné raison aux contestataires et a décidé de ne pas allouer de subventions en 2010 et 2011.
L’arrêt de la participation financière de Yamaska a toutefois placé la coopérative de santé de Pierreville, dont le budget est serré, dans l’embarras. Sa directrice générale, Françoise Lacasse, questionne d’ailleurs l’aspect légal auquel se réfère la municipalité. «Tout est légal de fond en comble. Notre avocate nous affirme que les municipalités peuvent avancer des fonds pour servir leur population dans un établissement de santé», affirme-t-elle.
Le problème réside en partie dans le flou juridique qui encadre cette pratique, le ministère de la Santé, la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) et le MAMROT n’ayant toujours pas statué sur la légalité des subventions allouées par des municipalités aux coopératives de santé.
Selon Le Devoir, les cas de trois autres coopératives seraient étudiés par la RAMQ.

REF.: