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lundi 27 janvier 2020

Les futurs visages de la toile

Les futurs visages de la toile

REF.: Guillaume Renouard (La Rédaction)
JDN



web 2.0, future, web, splinternet, Blockchain, sécurité,


À l'heure où les termes splinternet, décentralisation et régulation reviennent de plus en plus dans l'actualité, à quoi ressemblera le web de demain ?
Arpanet, premier réseau à utiliser le protocole TCP/IP, souffle cette année ses 50 bougies. Il est le grand frère de l'Internet tel que nous le connaissons aujourd'hui, qui s'installe en 1990, lorsque l'industrie des télécommunications décide d'employer la technologie Arpanet pour construire un réseau mondial. La face du net a bien changé depuis, des sites Internet rudimentaires des années 1990 à l'essor du Web 2.0 à travers les blogs et les réseaux sociaux, jusqu'à l'avènement du mobile et des objets connectés.
Si l'Internet a connu de prodigieuses avancées techniques, sa philosophie a, elle aussi, évolué au fil du temps. Le web utopique et humaniste des débuts demeure vivant à travers de nombreuses initiatives, mais l'Internet est désormais aussi, tel Janus, le dieu à deux visages, un outil au service du contrôle et de la surveillance de masse. Nous nous trouvons, en outre, à une époque charnière, où les décisions qui seront prises transformeront le web de demain.

Vers l'ubiquité du net ?

"Sauf catastrophe civilisationnelle majeure, je pense que l'Internet va devenir omniprésent. Capteurs et objets connectés vont en permanence récolter des données, qui se déplaceront sous forme de flux à travers les réseaux", prophétise Mitchell Baker, présidente de la Mozilla Foundation et de la Mozilla Corporation. Selon elle, l'Internet de demain sera très différent de celui que nous connaissons aujourd'hui. L'informatique pourrait devenir invisible, souris, claviers et écrans cédant la place à des interfaces holographiques, rendues possibles par l'essor de la commande vocale et de la réalité virtuelle et augmentée. "Nous allons interagir avec l'informatique de manière beaucoup plus humaine, en usant d'interfaces qui nous sont naturelles, comme la voix, le mouvement ou le toucher. Notre rapport à la toile sera ainsi beaucoup moins abstrait."
Si la possibilité d'un Internet omniscient ouvre des perspectives excitantes, elle a aussi de quoi inquiéter. C'est du moins ce que montre une récente étude du Pew Research Center, pour laquelle 10 000 experts ont été interrogés sur l'avenir du net et des technologies numériques. Pour Lee Rainie, directeur de la recherche sur l'Internet et la technologie au Pew Research Center, "l'un des experts interrogés parle d'Internet-cerveau pour désigner l'Internet du futur, car la multiplication des capteurs et des flux de données permettra d'anticiper certains de nos besoins et comportements, voire de déduire certaines choses à partir de nos ondes cérébrales. Cela ouvre des possibilités formidables, mais pose aussi un défi conséquent aux standards que nous avons établis en matière de protection de la vie privée."

Un internet plus régulé ?

Il sera donc nécessaire d'établir de nouvelles règles pour l'Internet de demain. La collecte et le traitement des données utilisateurs posent déjà un certain nombre de problèmes, comme l'a récemment montré le scandale Cambridge Analytica. Avec l'explosion des capteurs et des flux de données, ceux-ci risquent de s'exacerber. C'est pourquoi l'étude du Pew Research Center souligne la nécessité d'encadrer plus étroitement les usages que l'on peut faire de ces données, et les algorithmes chargés d'extraire du sens de ces dernières. "De nombreux experts tirent la sonnette d'alarme quant au rôle de ces algorithmes. L'un de ceux que nous avons interrogés dirige une agence baptisée The FDA for algorithms. Peut-être aurons-nous besoin d'agences gouvernementales pour évaluer le rôle des algorithmes, de la même manière que l'on teste de nouveaux médicaments avant leur mise sur le marché", s'interroge Lee Rainie.
Mais selon Mitchell Baker, la mise en place de régulations, bien que nécessaire, est insuffisante. Selon elle, le danger principal pour les internautes vient du fait que les technologies de pointe, en tête desquelles l'intelligence artificielle, sont aujourd'hui concentrées entre les mains de quelques géants du net américains, dont les internautes continueront d'utiliser les produits tant qu'ils seront les meilleurs du marché. La responsabilité incombe donc aussi, selon elle, aux entrepreneurs du numérique de construire des services alternatifs, qui soient centrés sur l'intérêt des internautes. "C'est pourquoi nous avons très tôt mis en place un navigateur Internet sur lequel nous pouvons par exemple empêcher les traqueurs publicitaires de suivre l'utilisateur, car le navigateur a été conçu pour être à son service, et non à celui du site qu'il visite. Nous avons aussi déployé des options qui permettent à l'internaute de choisir différents niveaux de protections sur les réseaux sociaux, ou encore un outil qui l'avertit en cas de vol de données, un autre qui aide à gérer ses mots de passe… "

Un Internet au pluriel ?

D'autres initiatives visent à décentraliser des fonctionnalités clefs du web, afin de réduire le pouvoir des géants américains et de donner davantage d'espace aux concurrents. Comme celle de Dominic Williams, qui, à travers son entreprise Dfinity, affirme vouloir construire "l'ordinateur du futur". Le principe : un service de cloud computing basé sur la blockchain, offrant aux entreprises clientes une troisième voie entre le stockage des données sur site et l'usage d'une solution cloud fournie par Google, Amazon ou Microsoft.
"Notre protocole Internet combine les capacités informatiques des centres de données indépendants, qui se comptent par milliers, pour créer un réseau d'ordinateurs capable d'accueillir tous types de services et logiciels. De cette façon, données et fonctionnalités peuvent être hébergées partout, et pas seulement chez trois entreprises différentes", s'enthousiasme-t-il. Daniel Kalst, lui, travaille sur Consento, un projet qui s'appuie sur le pair-à-pair pour permettre aux utilisateurs de sécuriser le stockage de leurs données. Chaque internaute se voit remettre une clef cryptographique, qu'il partage avec un ou plusieurs amis proches, dont l'intervention sera ensuite nécessaire pour lui permettre de s'identifier et d'accéder à ses données.
Mais l'appel à davantage de régulations et à la décentralisation fait aussi planer le spectre du splinternet, un internet qui ne serait plus unifié, mais fragmenté entre différentes zones répondant à des règles très différentes, avec très peu de services communs et de flux de données entre les différents pôles. "Il me semble que l'Internet mondial, sur lequel nous avons tous accès à la même expérience, appartient déjà au passé", analyse Mitchell Baker. "La Chine a mis en place son propre Internet à coup de régulations draconiennes, la Russie entend faire de même… Il est donc très probable qu'à l'avenir, l'Internet se décline au pluriel."

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jeudi 3 avril 2014

Une nouvelle approche de recrutement 2.0 : Humanob

Application mobile: Humanob, une nouvelle approche de recrutement 2.0

Application mobile - Humanob, une nouvelle approche de recrutement 2.0
L’application permet à ses membres de rechercher, découvrir et vivre tous les emplois du monde grâce à des vidéos.  
© APP Store

MacQuébec - Une nouvelle application gratuite pour iPhone, iPod touch et iPad vient tout juste de faire son apparition sur l’App Store. Il s’agit d'Humanob.
Humanob est une communauté web dédiée à l’emploi. L’application permet à ses membres de rechercher, découvrir et vivre tous les emplois du monde grâce à des vidéos.
Il s’agit d’une nouvelle approche de recrutement 2.0. En effet, Humanob réinvente les processus de recrutement et de présélection en mettant en relation trois joueurs clés (organisations, institutions et chercheurs d’emplois actifs et passifs).
En cliquant sur Emplois, par exemple, vous retrouverez les emplois disponibles. En sélectionnant un poste, vous pouvez voir une vidéo d’ambiance qui explique en quoi ça consiste.
Dans l’onglet Trouver, il est possible sur une carte de voir les emplois disponibles près de chez nous. Bref, Humanob, une application à découvrir et à télécharger.

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lundi 5 décembre 2011

Web 2,o: Une économie basée sur le prêt communautaire

«Révolution de la propriété» - Des start-up offrent un nouveau modèle de consommation
 
© Shutterstock

SAN FRANCISCO - Parallèlement aux critiques du modèle capitaliste formulées par les manifestants des mouvements Occupy Wall Street, une nouvelle génération de jeunes pousses (start-up) s'emploie à promouvoir une économie fondée sur l'échange de services et les communautés formées en ligne.
Il s'agit de jeunes sociétés internet s'adressant à ceux qui préfèrent se prêter des voitures plutôt que de les posséder, séjourner dans une chambre familiale désertée plutôt que dans des hôtels ou lever des fonds auprès d'amis plutôt qu'auprès des banques.
«Nous sommes au coeur d'une révolution de la propriété», affirme Rachel Botsman, auteur du livre What's Mine is Yours («Ce qui est à moi est à toi») qui illustre le basculement vers un modèle de «consommation en collaboration».
«Nous ne voulons pas de DVD, nous voulons de la musique», ajoute Mme Botsman. «Nous ne voulons pas de voiture, nous voulons aller d'un point A à un point B. C'est l'avènement d'une génération qui a un rapport très différent à la propriété», affirme-t-elle.
De jeunes pousses comme Zimride, TaskRabbit ou Airbnb capitalisent sur cette tendance en fournissant des services permettant respectivement de partager des trajets en voiture, des tâches ménagères ou des chambres vides.
«La technologie a fini par arriver à imiter les comportements humains et à développer des liens de confiance», assure la fondatrice de TaskRabbit Leah Busque.
Dans le climat actuel, marqué par la défiance envers les grandes entreprises et les difficultés économiques qui poussent à rentabiliser tout ce qu'on a, un siège de voiture, un lit ou du temps libre, «ces sociétés fondées sur la collaboration sont en plein essor», ajoute-t-elle.
Airbnb a récemment été valorisé à un milliard de dollars, selon des médias. TaskRabbit a revendiqué la création de 2 000 emplois ces six derniers mois et 4 millions de dollars d'activité par mois.
L'idée de Zimride, qui a bénéficié d'un investissement de 250 000 dollars du réseau social Facebook en 2008, un an après son lancement, remonte à un voyage au Zimbabwe de son cofondateur Logan Green: il s'était alors aperçu que les gens faisaient des trajets ensemble dans des monospaces bien plus efficacement qu'avec les réseaux de transports en commun aux États-Unis.
Avec ses amis John Zimmer et Matt Van Horen, il a alors lancé un service combinant des aspects d'un réseau social en ligne avec ceux d'un service de covoiturage.
Aujourd'hui Zimride est présent dans 120 universités et entreprises aux États-Unis, et s'est lancé il y a quelques semaines sur quelques trajets longue distance en Californie pour relier San Francisco à Los Angeles ou Tahoe.
«Le sentiment de liberté et d'individualisme évolue», selon M. Zimmer. «Dans le temps, une voiture c'était la liberté. Mais notre génération ne s'identifie pas beaucoup à cette idée».
Selon lui, «Facebook et un téléphone portable sont des sources de liberté et d'identité, la voiture ne compte pas tellement».
À la base de ces services, des communautés en ligne permettent aux internautes de se construire des réputations et des historiques qui leur permettent d'accepter de partager un appartement, une voiture, voire de l'argent avec des gens qui leur sont totalement inconnus dans la vraie vie.
«D'anciennes pratiques comme le partage, la location, le troc sont revisitées de façon moderne», analyste Mme Botsman, «les gens se rendent compte qu'ils ont le pouvoir de réinventer le marché».
La défiance qu'inspirent les banques a aussi conduit à la prolifération de services en ligne permettant aux gens de se prêter de l'argent à des taux négociés, un phénomène baptisé «prêt communautaire».
«Au Royaume-Uni, le prêt communautaire représente 10% du marché des prêts personnels», assure Mme Botsman. «Si j'étais une banque, je m'inquiéterais sérieusement».


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mardi 22 novembre 2011

Déja les 4 degrés de séparation, sont a Facebook !

C'est désormais établi - Facebook a rétréci le monde
 
© Shutterstock

NEW YORK - Le réseau social sur internet Facebook, qui réunit désormais plus de 10% de la population mondiale, semble avoir rétréci le monde, en ramenant à 4,74 en moyenne les degrés de séparation entre deux individus, au lieu des 6 degrés communément admis depuis les années 1920.
«Le monde est encore plus petit que nous le pensions», écrivent cinq chercheurs (Lars Backstrom, Paolo Bodli, Marco Rosa, Johan Ugander, Sebastiano Vigna) dans une étude référencée par Facebook, qui y a collaboré.
Selon une hypothèse formulée pour la première fois dans les années 1920, n'importe quel individu peut être relié à n'importe quel autre par une chaîne de relations individuelles de six personnes.
Cette théorie s'appuie sur les travaux de Stanley Milgram et Jeffrey Travers, qui avaient demandé dans les années 1960 à 300 personnes vivant dans le Nebraska de faire parvenir une lettre à quelqu'un à Boston par l'intermédiaire de connaissances. Un ami représentait un degré de séparation, l'ami d'un ami deux degrés, etc... Les lettres parvenues à leur destinataire avaient franchi en moyenne 6,2 degrés de séparation.
La théorie des six degrés n'a jamais été considérée comme scientifiquement valable, mais elle a inspiré notamment une pièce de théâtre et donné son nom à une organisation caritative. En 1995, le film «Six degrés de séparation» mettait en scène Will Smith, un jeune homme se faisant passer pour une connaissance des enfants d'un riche marchand d'art interprété par Donald Sutherland.
En 2008 une équipe de chercheurs travaillant pour Microsoft, étudiant 30 milliards de messages instantanés envoyés par 240 millions de personnes en juin 2006, avaient établi qu'en moyenne, deux personnes peuvent être reliées en 6,6 étapes.
L'étude ayant bénéficié cette année du concours de Facebook montre quant à elle que 99,6% des utilisateurs du site peuvent se connecter avec un autre internaute, via des connaissances, en cinq étapes étapes seulement, et 92% en quatre étapes.
Pour Facebook, «même quand on pense à l'utilisateur de Facebook le plus isolé de la toundra de Sibérie ou de la jungle péruvienne, un ami de votre ami connaît probablement un ami de (son) ami».
«Quand on limite notre analyse à un seul pays, qu'il s'agisse des Etats-Unis, de la Suède, de l'Italie ou de n'importe quel autre, on découvre que le monde est encore plus petit, et la plupart des gens n'ont que trois degrés de séparation», a ajouté le site.
«Et avec la croissance de Facebook au fil des ans, conduisant à ce que (le site) regroupe une part toujours plus importante de la population mondiale, celle-ci est devenue régulièrement plus connectée», explique le site internet, qui voit ainsi validé l'un des principaux arguments invoqués pour affirmer son utilité. Cette étude, réalisée en début d'année, a porté sur les relations entre 721 millions de membres de Facebook, et 69 milliards de liens d'«amitié».
Cette proximité est facilitée du fait que les utilisateurs de Facebook, bien loin d'être de véritables «amis» dans la vraie vie, souvent se connaissent à peine ou même pas du tout, pour peu que ce soit le site qui leur ait conseillé d'entrer en contact, au vu justement de leurs connaissances communes. En réalité, les internautes ont bien plus de connexions de proximité que de contacts avec des gens vivant à l'autre bout du monde. Au quotidien, «la plupart de mes amis vivent aux Etats-Unis, et ceux dont je suis le plus proche habitent à quelques kilomètres de chez moi», note le responsable de Facebook ayant résumé l'étude sur le site.
Ce qui rend le site paradoxalement à la fois très vaste et extrêmement concentré, 84% des liens d'«amitié» réunissant des utilisateurs se trouvant dans le même pays.

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Détecteur de mensonges digne du Web 2.0

Le détecteur de mensonges, prochaine grande révolution informatique?

Alain McKenna, collaboration spéciale, La Presse (Montréal)
Votre fureteur web pourrait bientôt être doté d'un... (Photothèque: La Presse)
Votre fureteur web pourrait bientôt être doté d'un détecteur de mensonges! - Photothèque: La Presse




Si l'informatique doit se résumer en une grande ligne, on pourrait dire qu'elle a simplifié par mille la communication à tous les niveaux (personnelle, corporative, politique). Ce n'est pas fini : un chercheur du MIT planche actuellement sur une nouvelle technologie qui permettrait de détecter automatiquement les faussetés dans tout type de contenu publié sur internet.
Pour en savoir plus

C'est ce que révèle ce matin le Nieman Journalism Lab, qui a rencontré Dan Schultz, le diplômé du prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT) qui se propose de créer ce détecteur de mensonges digne du Web 2.0. En utilisant les technologies en place, Schultz pense qu'il serait possible de créer un logiciel comparable à un correcteur d'orthographe pour traitement de texte qui, plutôt que de surveiller les erreurs de frappe, s'assurerait plutôt que les faits mentionnés dans le texte sont véridiques.

La mise en service d'un tel système de contre-vérification ne devrait pas tarder, puisque le chercheur universitaire compte se rabattre sur le « Truth-o-Meter » du site PolitiFact, qui vérifie déjà la véracité des affirmations les plus flamboyantes des politiciens américains.
Difficile de dire si ce genre de plugiciel, qu'on rêverait d'intégrer à son navigateur web, à Twitter et à toute autre outil de communication internet, permettrait de déterminer une fois pour toutes si le gaz de schiste est une bonne affaire, ou si François Legault se considère réellement à la fois de droite et de gauche.
On rêve même d'une application systématique dans d'autres sphères d'activité, comme le sport : Dieu a-t-il réellement aidé telle équipe à remporter le championnat, ou tel athlète a-t-il réellement donné son 110 % ?
Ça n'ira probablement pas si loin. En revanche, si le MIT atteint son but, ce sera déjà ça de gagné. Comme Dan Schultz l'affirme au Nieman Lab, on trouve beaucoup de faits véridiques sur la Toile, mais ils se noient parfois dans une mer de clichés et d'opinions contradictoires. « Je désire éveiller le sens critique des internautes afin qu'ils réfléchissent un peu plus avant d'assimiler tout ce qu'ils lisent sur internet », conclut-il.


jeudi 3 novembre 2011

Socialbots, les nouveaux ennemis de votre vie privée sur Facebook


Facebook a vraiment été largement critiqué depuis son lancement et après sa popularité en raison de problèmes pourraient survenir à l'égard de notre vie privée. Plusieurs bogues et failles de sécurité prises dans le passé que la sonnette d'alarme à ce sujet, et même aujourd'hui il ya des nombreuses options de configuration, il ya encore beaucoup de gens qui découvrent que leurs données sont exposées sur le réseau qui est le plus grand le temps social.
Le problème aujourd'hui n'est pas Facebook , ou du moins pas entièrement. Laissez-moi vous expliquer. Facebook nous fournit les options nécessaires et est suffisamment souple pour configurer un réseau dans lequel nous choisissons ce que de partager avec qui et comment nous le faisons, mais souvent beaucoup de gens sont perdus dans la mer de choix, et ce vraiment pourrait être plus intuitive du réseau social. Bien, si nous avons le compte configuré correctement ou non, il ya un nouveau danger qui a commencé à devenir populaires concernent: Le soi-disant Socialbots .
Ces applications sont conçues pour créer de faux profils ou de profils existants fait et puis essayez à imiter que sont les gens. L'objectif est clair: obtenir des données auprès des gens qu'ils ajoutent ou qui ont déjà été ajoutées. Le contrôle est pratiquement identique à celui d'une personne, d'où la difficulté de les détecter: poster des messages, faire des demandes d'amis et, finalement, d'interagir en tant que membre du réseau social. Ce qui est vraiment inquiétant, c'est que traite de plus en plus Socialbots par les créateurs et les distributeurs essaient de vendre à des entreprises, bien évidemment, afin que ces fins de recueillir des données personnelles très proche de spams .
Un groupe de chercheurs de l'Université de Columbia a mené une étude qui a été critiqué par ses propres Facebook et rejeté comme irréaliste dans cette base de 102 socialbots ont eu accès aux données de 3055 personnes sur un total de 8570 demandes de l'amitié.
Le pourcentage est impressionnant, comme vous pouvez le voir, et dans la plupart des cas, ces robots ont un accès complet aux données pour au moins les premières minutes, assez pour extraire toutes les informations et les données personnelles de la même. Et non seulement cela, mais à travers le réseau des contacts ont été pris avec un total de 46 500 et 14 500 adresses e-mail.
Alors vous savez, à deux reprises avant d'ajouter pensároslo à un inconnu sur Facebook, surtout depuis qu'il ya derrière le bot ne peut pas être aussi bon que les fins de cette étude.

mercredi 29 juin 2011

Path le réseau social basé sur la photo d'amis


Path: une limite de 50 amis!

Chronique de Camille Dg - Path: une limite de 50 amis!
Path est un nouveau média social basé sur l'utilisation d'un téléphone intelligent possédant un appareil photo. 
© APP Store


Les médias sociaux sont à la mode. En fait, ils dominent le web. Facebook attire parfois plus de clics que Google selon CNN. Il est donc tout à fait normal que de plus en plus de joueurs tentent de mettre la main sur ce marché lucratif.
Path est apparu depuis peu. Ce nouveau réseau social se veut différent de ce que nous connaissons déjà.

Que ce soit Facebook, Twitter, Flickr ou autres, les réseaux déjà en place nous incitent sans cesse à augmenter notre nombre d'amis et à partager notre contenu avec le plus de personnes possible.Ce n'est pas ce que Path prône. Bien au contraire, nous sommes limités à 50 amis. C'est donc le premier réseau personnel.
Path est un média social basé sur l'utilisation d'un téléphone intelligent possédant un appareil photo. Ce n'est donc pas accessible à tous comme le sont Facebook et Twitter.
L'application Path pour téléphone mobile est seulement disponible pour les iPhone. Ceux qui ont un autre type de téléphone, vous pouvez toujours être présents grâce à votre navigateur web.
Un média social personnel
L'idée d'un média social fermé à 50 amis est intéressante. Soyons réalistes : a-t-on plus de 50 amis dans la vraie vie?
Comme Facebook, Path propose d'écrire des statuts. Un statut Path est en fait une photo à laquelle on doit attacher trois informations : les personnes, l'endroit et les objets présents dans la photo. Path propose aussi l'option «see» qui permet de savoir qui a regardé nos publications.
Path sortira-t-il du lot?
Path se lance dans les médias sociaux avec une toute nouvelle approche rafraîchissante. Mais va-t-il réussir à percer?
D'un côté, pensons à toutes ces personnes qui ont peur de Facebook parce qu’ils sont un terrain inconnu. Ces individus seront probablement plus enclins à utiliser Path que Facebook parce que le réseau est restreint et ne permet d’accepter que 50 amis.
En étant un réseau axé vers la photo et les téléphones intelligents, Path diminue aussi de beaucoup son potentiel d'usagers.
Nous sommes dans l'ère web 2.0. Les gens semblent vouloir partager leurs informations avec le monde entier. Plusieurs cherchent leurs 15 minutes de gloire. Est-ce que ces personnes narcissiques auront envie de prendre le temps d'écrire des statuts pour seulement 50 personnes? J'en doute.
Il est vrai que l'application est simple à utiliser. Cependant, j'étais très déçue de découvrir que je ne pouvais pas commenter les photos de mes amis.
Qu'arrive-t-il quand on arrive à 50 amis? Si on veut en ajouter un nouveau, il faut éliminer quelqu'un qu'on avait déjà ajouté. Ouch! Vu comme cela, est-ce vraiment un média social?

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mardi 28 juin 2011

Google Plus: Google présente un nouveau réseau social «repensé»


Google Plus - Google présente un nouveau réseau social «repensé»
 
©google.com

Google a présenté mardi un nouvel outil visant à rendre internet plus personnalisé et censé prendre en compte des critiques exprimées contre le roi des réseaux sociaux Facebook, qui lui fait de plus en plus d'ombre.
Google+, actuellement en phase de test sur invitation, se veut plus nuancé et moins «rigide» que Facebook. D'après l'aperçu montré sur internet, il s'agit moins d'un site unique que d'une série «d'outils».
«Cercles» permet de choisir à qui sont adressées les informations qu'on met en ligne, «Déclics» permet de repérer et faire partager des informations par thème, «Vidéo-bulles» est un système de messagerie instantanée vidéo, «Mobile» permet d'exploiter les fonctions appareil photo et géolocalisation d'un téléphone portable, et «Clique» est une messagerie instantanée collective.
L'idée, résumée sur le blog de groupe par une responsable de Google, Vic Gundotra, c'est de «faire évoluer le partage en ligne pour qu'il soit aussi naturel, riche et nuancé que nos interactions dans la "vie réelle"».
En fait, comme l'ont rapidement relevé plusieurs commentateurs, Facebook permet déjà la plupart de ces fonctionnalités, et si Google est susceptible d'apporter des améliorations, par exemple pour segmenter un réseau «d'amis» ou raffiner les réglages de confidentialité, il n'est pas certain que cela suffise à convaincre suffisamment d'utilisateurs de Facebook de migrer vers Google+.
Avec 700 millions d'utilisateurs, Facebook est déjà le champion mondial du temps passé sur internet, ses recettes sont en hausse, sa valorisation augmente de semaine en semaine avant même qu'il soit coté, et il fait désormais figure de groupe internet le plus en pointe pour sa capacité d'innovation.
Google reste certes leader en nombre de visiteurs uniques, après avoir dépassé le seuil du milliard en mai, mais sa progression sur un an (+8,4%) est bien plus lente que celle de Facebook (+30,2%, troisième du monde avec 713 millions de visiteurs uniques), selon des chiffres du cabinet ComScore.
Google, conscient que les internautes d'aujourd'hui ne se contentent plus d'une navigation régie par les seuls algorithmes, affiche depuis plusieurs mois son virage vers l'internet personnalisé, ce qui dans le milieu high-tech s'appelle «l'internet social».
«Si on pense à ce que les cinq prochaines années seront pour la vie en ligne, d'un point de vue social, et au genre d'outils qu'on pourra créer, nous n'en sommes vraiment qu'au tout début», avait déclaré le co-fondateur du groupe de Mountain View, Larry Page, à l'annonce en janvier de son retour au poste de directeur général.
Fin mai, l'ex-PDG et actuel président exécutif Eric Schmidt avait assumé la responsabilité du retard accusé par Google pour basculer vers une consultation d'internet plus personnalisée, c'est-à-dire reposant sur les circonstances de chacun et les recommandations d'amis.
«Je me suis planté», avait dit M. Schmidt, assurant pourtant avoir perçu cette évolution dès 2007-08.
Google a déjà plusieurs applications «sociales», comme le site de partage de vidéos YouTube, mais il a connu plusieurs échecs dans ce domaine, en particulier avec «Buzz», un système lancé en février 2010 pour concurrencer Facebook et Twitter, immédiatement critiqué parce qu'il pouvait avoir pour effet d'immédiatement divulguer un carnet d'adresses tout entier.
La présentation de Google+ a été réservée à une poignée de journalistes, le grand public devant se contenter des annonces sur le blog habituel du groupe.
Selon le site internet TechCrunch, «ce n'est pas parce que (le groupe) ne fonde pas de grands espoirs dessus, ou qu'il pense que ce n'est pas assez bien. C'est plutôt parce que ce qu'il est prêt à montrer maintenant n'est qu'un fragment d'un ensemble bien plus important».

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mercredi 22 juin 2011

Facebook espionné par Agatha


Voici encore une fois une autre preuve pour signifier à tous les utilisateurs de
Facebook
Facebook
Facebook de faire très attention à ce qu’ils publient sur le réseau social. En effet, un jeune chercheur en informatique, âgé de 22 ans, a mis en place un système d’espionnage dédié au portail communautaire, Facebook. Son but serait concrètement d’espionner les utilisateurs du réseau en accédant à l’intégralité des informations d’un membre Facebook préalablement piégé. Par contre, il n’aura pas besoin pour ce faire, de voler les identifiants de connexion du-dit membre.ZATAZ.COM a pu constater que la collecte d'informations est pléthorique : messages sur le mur, le statut, les vidéos, les photos, les informations personnelles, les messages reçus et envoyés, l'email, etc. Agatha [nom tiré de l'une des voyantes, précog, du film Minority Report, NDR] permet de monitorer les personnes infiltrées. "Pas besoin de sniffer les mots de passe comme ont pu le faire les opérateurs Internet pour aider les anciens gouvernements Tunisien et Égyptien." Agatha bypass la sécurité https, tout simplement ! Reda Cherqaoui, car c’est ainsi que s’appelle ce jeune étudiant, explique que son principe est simplement celui de bypasser la sécurité du HTTPS. Un système d’espionnage qui lui permet d’accéder à de nombreuses informations sur Facebook comme messages sur le mur, le statut, les vidéos, les photos, les informations personnelles, les messages reçus et envoyés, l’email, etc.Après Agatha, Reda commence à travailler sur un autre système de monitoring. Cette fois, le chercheur s'interesse aux téléphones portables. "Ici aussi, s'amuse-t-il,l'exploitation se fera en remote. Pas besoin d'avoir un accès physique au téléphone portable."

samedi 18 juin 2011

Web 2,0 ,Oui ou Non ? Seulement (52%) des utilisateurs de Facebook et le tiers (33%) de ceux de Twitter vont sur ces sites quotidiennement


Étude - Les utilisateurs de Facebook ont aussi une vraie vie
 
© Shutterstock/ Agence QMI

WASHINGTON - Contrairement à l'idée reçue, les utilisateurs de réseaux sociaux ne passent pas à côté de la vraie vie, selon une étude publiée jeudi aux États-Unis, révélant qu'ils ont en fait tendance à plus facilement se fier aux autres, avoir des amis proches et s'engager.

L'étude menée à l'automne par le centre de recherches indépendant Pew auprès de 2.255 adultes américains montre que les utilisateurs de Facebook ont plus de trois fois plus de chances que les autres internautes d'avoir le sentiment qu'on peut faire confiance à la plupart des gens.
Ceux qui se connectent plusieurs fois par jour à Facebook ont en moyenne 9% d'amis proches dans la vraie vie. Et ils ont 2,5 fois plus de chances de participer à des manifestations ou réunions politiques.
«On a beaucoup spéculé sur l'impact des réseaux sociaux sur la vie sociale des internautes», a relevé Keith Hampton, le principal auteur de cette étude du centre Pew. «L'essentiel du débat tourne sur le risque que ces sites nuisent aux relations des internautes et les éloignent de la participation au monde».
«Nous avons découvert que c'était exactement le contraire: que les gens qui utilisent des sites comme Facebook ont en fait plus de relations proches et ont plus de chances de s'impliquer dans des activités politiques et civiques», a ajouté M. Hampton, qui est professeur à l'Ecole de communication Annenberg à l'Université de Pennsylvanie.
Au total, les adultes américains fréquentant des réseaux sociaux sont plus nombreux et plus âgés qu'en 2008: ils représentent 42% des internautes contre 26% auparavant, et ont 38 ans, contre 33 ans.
Facebook, qui selon le cabinet ComsCore compte près de 700 millions d'utilisateurs dans le monde et près de 160 millions aux États-unis, est de loin le réseau le plus populaire parmi les personnes interrogées, et celui avec lequel ils se sentent le plus impliqués: 92% d'entre eux sont sur Facebook, 29% sur MySpace, qui de plus en plus est un site à thématique musicale, avec une moyenne d'âge plus jeune (32 ans), 18% sur le réseau pour professionnels LinkedIn, où la moyenne d'âge passe à 40 ans, et 13% utilisent le site de microblogs Twitter, dont les utilisateurs ont 33 ans en moyenne.
Plus de la moitié (52%) des utilisateurs de Facebook et le tiers (33%) de ceux de Twitter vont sur ces sites quotidiennement, ce qui n'est le cas que de 7% des utilisateurs de MySpace et de 6% de ceux de LinkedIn.
En moyenne, les utilisateurs de Facebook comptent 229 «amis» sur ce réseau, dont 22% d'amis de lycée, 12% de membres de la famille au sens large, 10% de collègues, 9% d'amis d'université, 8% de membres de la famille proche, 7% de contacts associatifs et 2% de voisins.
Toutefois, il reste 31% «d'amis» Facebook inclassables - mais seulement 3% de gens que les internautes n'ont jamais rencontré en personne.
Pour ce qui est de ce qu'ils font sur Facebook, en moyenne 15% des internautes actualisent leur propre «statut», 22% commentent le statut des autres, 20% commentent les photos des autres, 26% signalent qu'ils «aiment» le statut d'un autre, et 10% envoient des messages privés à leurs amis.
La plupart des gens actualisent leur statut moins d'une fois par semaine, et 16% ne l'ont même jamais fait.

REF.:

lundi 13 juin 2011

Un internet «fantôme» pour déjouer la censure


Washington - Un internet «fantôme» pour déjouer la censure
 
©Shutterstock

WASHINGTON - L'administration Obama travaille sur un projet mondial visant à déployer un internet «fantôme» ainsi que des systèmes de téléphonie mobile permettant aux dissidents de déjouer la censure des régimes dictatoriaux, rapporte dimanche le New York Times.
Ces efforts ont été révélés lors de nombreuses interviews menées par le quotidien new-yorkais ainsi que dans des documents et des câbles diplomatiques secrets obtenus par ce dernier.
Les États-Unis mènent ainsi des projets discrets pour créer des réseaux de téléphones portables indépendants à l'intérieur de certains pays et conduisent aussi une opération digne du plus pur roman d'espionnage pour mettre en place un internet furtif.
Dans cette perspective, de jeunes entrepreneurs de Washington cherchent à mettre au point des équipements électroniques n'attirant pas l'attention et suffisamment compacts pour être transportés dans une valise de voyage ordinaire.
Financée par une allocation de deux millions de dollars du département d'État, cette valise pourra passer les frontières d'un pays donné et les équipements y être rapidement assemblés pour permettre des communications sans fil sur une vaste zone avec un accès à internet.
Certains de ces projets portent sur de nouvelles technologies en développement aux États-Unis tandis que d'autres s'appuient sur des techniques et outils déjà créés par des pirates informatiques.
Les réseaux de communications furtifs permettront aux activistes de pays comme l'Iran, la Syrie et la Libye de communiquer avec l'extérieur sans que le gouvernement puissent même les détecter, selon des participants à ce projet cités par la NYT.
Initiative de l'administration américaine
Dans un des projets les plus ambitieux, le département d'État et le Pentagone ont consacré au moins 50 millions de dollars pour créer un réseau indépendant de téléphone mobile en Afghanistan utilisant des tours sur des bases militaires protégées comme relais à l'intérieur du pays.
Ces efforts technologiques des États-Unis ont redoublé à partir du moment où, en Égypte, l'ancien président Hosni Mubarak, confronté à une vague de contestation massive, a décidé de couper internet peu avant d'avoir à quitter le pouvoir.
Dernièrement, le gouvernement syrien a temporairement interrompu internet dans la plupart du pays pour empêcher la mobilisation des manifestants.
L'initiative de l'administration Obama est dans un sens un nouveau front dans les efforts diplomatiques américains menés de longue date pour défendre la liberté d'expression et encourager la démocratie.
Durant des décennies, les États-Unis ont produit des émissions de radio diffusées dans les pays autocratiques par le biais notamment de Voice of America.
Plus récemment, Washington a apporté son soutien au développement de logiciels qui préservent l'anonymat des utilisateurs dans des pays comme la Chine et pour former des citoyens de ces pays afin de faire passer des informations via le réseau internet contrôlé par le gouvernement sans être détecté.

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jeudi 9 juin 2011

plateforme de jeux et réseau social simplifié destiné aux enfants


50 millions d'inscrits - Un réseau social pour enfants
Moshimonsters.com est une division de la société anglaise Mind Candy. 


Moshimonsters.com, à la fois plateforme de jeux et réseau social simplifié destiné aux enfants, a annoncé le 6 juin qu'il comptait plus de 50 millions d'utilisateurs dans le monde.
Lancé il y a trois ans par la société anglaise Mind Candy, le site est devenu l'un des nouveaux sites internet européens ayant enregistré la croissance la plus forte.
Il est peuplé de petites créatures numériques baptisées Moshi Monsters que les enfants peuvent «adopter» et qu'ils doivent nourrir et soigner. De petites quêtes sont également proposées, rémunérées en «rocks» qui permettent d'acheter des objets et des services virtuels au sein de l'universMoshimonsters.
Sur ce jeu vidéo se greffe un réseau social élémentaire. Les enfants sont incités à ajouter d'autres monstres à leur liste d'amis. Ceci fait, ils reçoivent un flux d'informations de type Facebook relatant les activités de leurs correspondants et peuvent poster des notes sur leurs tableaux -- les utilisateurs jouissant du cercle social le plus actif sont nommés «monstre de la semaine».
La société affirme veiller à la sécurité et à la confidentialité du réseau en surveillant et en filtrant tous les billets de blogs. Les parents peuvent se renseigner sur moshimonsters.com/parents.
Mind Candy estime que la moitié des enfants britanniques âgés de 6 à 12 ans possèdent un Moshi Monster. Des chiffres comparables existent pour l'Australie et la Nouvelle-Zélande. Aux États-Unis, le site recense environ 15 millions d'inscrits.
Le succès de Moshi Monsters a poussé la marque à s'incarner dans le monde physique avec le lancement cette année d'une ligne de jouets, de livres, de cartes à jouer, etc. aux salons du jouet de Londres et de New York.
Sur le même créneau, on trouve Whatswhat.me,SkidekidsClub Penguin, de Disney et Togetherville.

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mardi 31 mai 2011

Le Canadien Voxco lance un logiciel de monitoring


Acuity4Social



Acuity4Social - Le Canadien Voxco lance un logiciel de monitoring

www.voxco.com

MONTREAL - L'éditeur de logiciels canadien Voxco a annoncé mardi à Montréal le lancement d'un logiciel permettant de surveiller les milliards de messages publics circulant sur internet, relevant non seulement les mentions d'un sujet donné, mais aussi les émotions qu'il suscite.
L'internet renferme une mine géante de renseignements, avec plus de 3,5 millions de sujets figurant dans Wikipédia, plus de 150 millions de blogues et plus de 250 millions de sites, alimentés par deux milliards d'internautes, dont plus d'un demi-milliard d'utilisateurs de Facebook et plus de 175 millions de ceux de Twitter.
Mais, a expliqué lors d'une conférence de presse le directeur des technologies chez Voxco, Alkis Papadopoullos, les grands moteurs de recherche, tels Google, ne font pas nécessairement la distinction entre les documents pertinents et ceux qui le sont moins, n'indiquent pas combien d'internautes disent du bien d'un produit et combien le détestent, ni à qui ils le disent.
C'est pour combler ces lacunes que Voxco a élaboré Acuity4Social, une «plateforme de veille et d'analyse des réseaux sociaux» qui combine l'analyse sémantique basée sur des dictionnaires spécifiques à l'industrie aux algorithmes d'apprentissage automatique.
À l'arrivée, le client est renseigné en quelques minutes sur le type de commentaires suscités sur le web par son produit ou sa politique, s'il s'agit d'un gouvernement, et sur leurs auteurs.
Cibler les documents pertinents
Selon Voxco, cet outil ne prend en compte que des documents pertinents, des filtres permettant d'éliminer tout ce qui ne l'est pas, y compris les «spams».
Il peut donc ajuster rapidement sa stratégie technique ou commerciale ou sa politique de communication.
Interrogés sur le coût de leur système pour un client, les dirigeants de Voxco se sont bornés à indiquer qu'il serait calculé en fonction du nombre de documents livrés, mais que ce nombre serait plafonné grâce à des filtres.
Est-ce une sorte de «Big Brother» du web qui voit tout? Non, a souligné M. Papadopoullos, le système ne scrute que ce qui est public. «Nous n'allons pas sur les pages privées de Facebook».
Basée à Montréal, la PME a des bureaux aux États-Unis, en France, au Royaume-Uni, en Allemagne et en Australie.

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mardi 10 mai 2011

Le trafic des sites d'info en ligne alimenté par Facebook

Institut Pew - Le trafic des sites d'info en ligne alimenté par Facebook
L'étude portait sur les 25 sites d'information en ligne les plus populaires aux États-Unis. 
© Facebook

WASHINGTON - Facebook est une source de lectorat de plus en plus importante pour les sites d'information en ligne, même si c'est toujours Google qui prime, selon une étude américaine publiée lundi.
À LIRE ÉGALEMENT: Apple détrône Google
L'étude, menée par l'Institut Pew, a porté sur le comportement des consommateurs d'information sur internet au cours des neuf premiers mois de 2010, en s'appuyant sur les chiffres d'audience de l'institut Nielsen.
L'étude portait sur les 25 sites d'information en ligne les plus populaires aux États-Unis, et a déterminé qu'en moyenne 40% du trafic était alimenté par d'autres sites.
Mais si Google Search et Google News priment, les médias sociaux, et Facebook en particulier, sont rapidement devenus des sources importantes de trafic pour les sites d'information en ligne, selon l'étude. Ainsi, Facebook était la deuxième ou la troisième source de trafic pour cinq des 25 sites étudiés.
«Si la recherche d'informations a été l'évolution la plus importante de la dernière décennie, le partage de l'information pourrait être l'une des plus importantes de la prochaine», écrivent les auteurs.
Twitter, en revanche, «est à peine présent en tant que source» de trafic: seul un site sur les 25, celui du Los Angeles Times, obtenait plus de 1% de son lectorat via Twitter (3,53%).
L'étude montre aussi que la plus grande partie des internautes qui visitent des sites d'information le font de manière occasionnelle: ils s'y connectent une ou deux fois par mois et n'y restent que quelques minutes.
Les utilisateurs assidus de ces sites, ceux qui y retournent plus de 10 fois par mois et peuvent y passer plus d'une heure au total, ne représentent que 7% de l'ensemble en moyenne. C'est le site de CNN qui compte le plus de visiteurs assidus (18%) devant celui de Fox News (16%).

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Les médias sociaux décuplent les poursuites pour diffamation

Les réseaux sociaux ont ouvert la porte aux diffamateurs: les poursuites pour ce délit sont en forte progression. Elles correspondent à 15 % des décisions judiciaires liées au Web 2.0 rendues aux États-Unis et au Canada. Ce chiffre grimpe à 49 % en France. Au Québec, cela concerne un peu plus de 10 % des jugements. Le reste des infractions commises dans le monde virtuel et jugées par les tribunaux relève de la pédocriminalité, du harcèlement et des menaces, et des atteintes à la vie privée.
Ces résultats sont tirés de la deuxième phase du grand projet de recherche Les crimes dans le Web 2.0, piloté par Benoit Dupont, directeur du Centre international de criminologie comparée, et Vincent Gautrais, titulaire de la Chaire de l'Université de Montréal en droit de la sécurité et des affaires électroniques. Pour y arriver, ils ont analysé quelque 400 décisions prononcées un peu partout dans le monde.
«On a souvent tendance à croire qu'Internet a augmenté les risques de menaces et de harcèlement, alors que ce n'est pas vrai, remarque M. Gautrais. Ce sont les cas de diffamation qui ont explosé avec l'arrivée des médias sociaux.»
Selon lui, deux facteurs contribuent à cet accroissement: l'anonymat et la permanence de l'information. «Sous le couvert de l'anonymat, les utilisateurs laissent plus facilement tomber leurs inhibitions et tiennent des propos qui peuvent avoir de graves conséquences, observe-t-il. Contrairement à la radio ou à la télévision, ces propos demeurent en permanence sur le Web, au vu et au su de tous. Il y a là un potentiel d'atteinte à la réputation qui est sans doute plus grand dans les réseaux sociaux, maintenant que tout un chacun est capable de publier des informations.»
La solution : l'éducation
Les décisions étudiées par MM. Dupont et Gautrais démontrent, à divers degrés, l'immense difficulté de contrer légalement les propos diffamatoires sur le Web. Le cas de Louise Major, ancienne mairesse de Rawdon, en fait foi.
En 2008, Mme Major a engagé des poursuites judiciaires contre l'exploitant d'un forum où des citoyens tenaient des propos diffamatoires à son endroit. Une injonction interlocutoire provisoire force alors la fermeture du site dans l'attente d'un jugement. Quelques mois plus tard, une juge de la Cour supérieure donne raison à la plaignante. En 2010, la Cour d'appel annule cette décision, affirmant que «la liberté d'expression est à la vie démocratique ce qu'est l'oxygène au corps humain: essentielle». Cout de l'opération pour la municipalité de Rawdon: environ 600 000 $.
Vincent GautraisVincent Gautrais
«Fermer le site n'était peut-être pas le meilleur moyen de résoudre le litige. Il aurait suffi de caviarder les propos injurieux. Cette histoire illustre à quel point la justice est une lourde machine qui coute cher et qui prend du temps. Ce n'est pas toujours l'instrument idéal pour freiner de tels comportements. À certains égards, c'est comme si l'on se servait d'un canon pour tuer une mouche», croit Vincent Gautrais, qui préconise une autre approche, celle de l'éducation des citoyens de demain. «Je milite pour la création d'un cours de technologie 101 à l'école secondaire où, par exemple, les adolescents seraient sensibilisés au fait que les réseaux sociaux sont des lieux publics et où on leur enseignerait à bloquer l'action d'un harceleur sur Facebook», déclare celui qui utilise depuis longtemps les médias sociaux comme outil pédagogique.
Mais les enseignants semblent effrayés par le Web 2.0. «Ils ont une peur bleue de l'utilisation des médias sociaux par les jeunes, signale-t-il. Ils craignent qu'un jeune les photographie à leur insu quand, par exemple, ils piquent une colère en classe et mette en ligne cette image.»
Pour Vincent Gautrais, cette réaction viscérale est normale, car notre société est en transition. «Nous vivons présentement une révolution et le moyen classique de s'en protéger est de la repousser. Mais nous devons évoluer et considérer les aspects positifs des médias sociaux.»
C'est pourquoi il préfère entretenir l'espoir plutôt que le catastrophisme. «Comme le disait Jean-Paul II, n'ayez pas peur! Avec un peu d'accompagnement des parents et de l'école, nous arriverons à limiter les infractions virtuelles. Et n'oublions jamais que les jeunes ont une capacité d'adaptation bien plus grande que celle des adultes!»
REF . :  Marie Lambert-Chan

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lundi 25 avril 2011

il est interdit de diffuser le résultat du vote d'une circonscription dans une autre circonscription

Soirée des élections - Avertissement pour les médias sociaux

Soirée des élections


Avertissement pour les médias sociaux

OTTAWA - Élections Canada a lancé un avertissement cette semaine au sujet de l’utilisation des réseaux sociaux pendant la soirée électorale du 2 mai prochain. Ainsi, Twitter et Facebook ne doivent pas servir à propager les résultats électoraux entre les différentes parties du pays tant que les bureaux de vote ne sont pas fermés partout, prévient l’organisme fédéral.
L'article 329 de la Loi électorale du Canada, qui stipule «qu'il est interdit de diffuser le résultat du vote d'une circonscription dans une autre circonscription avant que les bureaux de scrutin y soient fermés», s’applique aussi aux médias sociaux, rappelle Élection Canada.
L’organisme fédéral ne précise toutefois pas comment il compte surveiller les contrevenants le soir du 2 mai et le cas échéant les punir.
À cause du décalage horaire, les bureaux de vote ferment à différents moments au Canada.
Les contrevenants sont passibles d'une amende de 25 000 dollars ou jusqu'à cinq ans d'emprisonnement.REF.:

lundi 7 mars 2011

Micro paiement et jeux sociaux(web 2,0)









À l’occasion de l’arrivée de Playfish au Québec, nous sommes allés rencontrer le directeur du nouveau studio Montréalais Alex Hyder pour en savoir plus sur la stratégie de cette compagnie spécialisée dans les jeux sociaux gratuits, et qui a fondé ses revenus sur les micros paiements.

Alex Hayder, président de Playfish nous explique cette décision : «Je suis un ancien d’EA Montréal. Playfish voulait lancer un groupe pour développer sur plateforme mobile et cherchait une place pour développer des jeux. Montréal est une place qui compte beaucoup de talent, le choix a donc été facile de décider de s’implanter ici».

D’ici la fin de l’année, Playfish devrait embaucher cinquante personnes. Outre les programmeurs artistes et designers habituels, une partie des programmeurs sera affectée à gérer l’infrastructure de Playfish.

«Dans les programmeurs, il y a de la programmation serveur à haut rendement et hautes performances, ça ne va pas être des gens qui viennent du milieu du jeu, mais qui peuvent venir de la finance ou d’autres domaines où ils développent des systèmes de serveurs».

La petite équipe déjà en place a commencé à travailler sur son premier jeu qui devrait sortir dans le courant de cette année.

Rentabilité des micro paiements

Playfish est l’un des plus importants studios mondiaux de développement de jeux sociaux. Disponibles gratuitement sur Facebook, ils sont joués par plusieurs millions de personnes, à l’image de Pet Society fort d’une communauté de plus de 11 millions de joueurs.

Mais comment faire de l’argent alors avec un jeu gratuit? C’est là qu’entrent en ligne les micros paiements. Des contenus supplémentaires sont disponibles pour des sommes dérisoires. Le joueur achète une carte de points ou verse quelques dollars de réserve à Playfish, et peut ainsi se procurer de nouveaux éléments de jeu qui seront déduits de la somme versée.

«L’une des forces de Playfish c’est de connaître le modèle des micros paiement et de savoir comment ça marche. Avoir un jeu qui est gratuit dès le début est l’assurance que beaucoup de monde va embarquer. Playfish a développé une économie qui fonctionne. Je ne peux pas donner de chiffres, mais ça représente une somme importante, c’est un business qui est rentable», explique Alex Hayder.

Quant à la façon de faire connaître le jeu, la méthode de communication est différente. «Dans le jeu social, le plus important c’est les connexions entre les gens et qu’ils s’invitent entre eux, c’est totalement viral. Le meilleur moyen d’attirer les gens, ce sont des réseaux d’amis qui s’invitent à jouer ensemble», explique Alex Hyder.

Le suivi d’un jeu est lui aussi très important, une fois le jeu lancé, le développement peut continuer plusieurs années tant que le jeu reste rentable.

Alex Hyder conclut : «Le online change continuellement, on a le luxe de créer le jeu en fonction de la réaction des joueurs, on imagine ce que les gens vont aimer, puis on s’assoit pour voir la réaction des joueurs. Quand ils n’aiment pas, on crée du contenu et on améliore le jeu en fonction des critiques».


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vendredi 25 février 2011

Pixwoo, un réseau social consacré au jeu vidéo

France - Pixwoo, un réseau social consacré au jeu vidéo
Comme sur n'importe quel réseau social, l'internaute peut se constituer une liste d'amis, créer des groupes ou débattre autour d'une question.

PARIS - Développeurs, éditeurs, critiques ou joueurs: le réseau social Pixwoo, lancé mardi, espère fédérer et mettre en relation les différentes composantes du monde du jeu vidéo avec une plate-forme spécifiquement pensée pour cette industrie.

«Il fallait pouvoir rassembler le jeu vidéo sur un même réseau et permettre le partage de vidéos, infos, records,etc. Le site a été développé en intégrant tous ces paramètres», explique Pascal Vielhescaze, directeur associé de Spidergames, le groupe à l'origine du projet.

Comme sur n'importe quel réseau social, l'internaute peut se constituer une liste d'amis, créer des groupes ou débattre autour d'une question. Mais Pixwoo cherche aussi à créer une passerelle avec les professionnels du jeu vidéo, qui pourront gérer les pages de leurs jeux ou proposer des emplois.

«Nous avons une quarantaine de partenaires qui sont d'accord pour participer à Pixwoo», se réjouit M. Vielhescaze, citant notamment Ubisoft ou Sony.

Pixwoo ne permet pas, toutefois, de jouer à des jeux sur ses pages, contrairement à Facebook par exemple, car cela «dénaturerait son concept qui est de mettre en relation les gens autour du jeu, pas de les faire jouer», souligne le directeur associé.

D'autres réseaux sociaux parlant du jeu vidéo existent, à l'image de Gamersband qui veut faire se rencontrer des joueurs habitant à proximité l'un de l'autre.


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mardi 18 janvier 2011

Le concept d’achat groupé,le commerce social


Définition Achat groupé

Action qui consiste pour des acheteurs ou distributeurs à se regrouper afin de sélectionner des fournisseurs et de négocier les conditions d’achats. Le regroupement permet d’obtenir des conditions d’achat plus avantageuses grâce aux volumes. L’achat groupé peut notamment se faire par le recours à la création d’une centrale d’achat ou d’une coopérative. Des initiatives d’achat groupé pour les consommateurs ont vu le jour sur Internet, mais elles n’ont pas démontré leur efficacité économique.



Partant du principe que 76% des acheteurs sur le web tiennent compte de l'avis d'autres consommateurs avant d'acheter.· 82 % d'entre eux estiment que ces avis ont eu un impact sur leur décision d'achat (Deloitte & touche).
En Grande-Bretagne, 94 % des personnes qui achètent en ligne se réfèrent aux avis des clients (Jupiter Research/Bazaarvoice) et 78 % considèrent les recommandations de clients comme la forme la plus crédible de publicité (Nielsen). Le concept d’achat groupé est souvent utilisé pour désigner l’achat groupé en ligne (en anglais co-buying, group-buying, community shopping, team buying).
A l’origine, l’achat groupé est une pratique assez répandue, utilisée par des groupes qui pourraient être qualifiés de physiques tels que les Comités d’Entreprise (comité d’entreprise) pour les voyages organisés.

Enjeux des achats groupés[modifier]

Pour faire simple, l’achat groupé permet aux participants de bénéficier de réductions tarifaires parce qu’ils sont nombreux.
Les commerçants et les entreprises sont prêts à concéder un peu du prix de vente en échange d’une augmentation du volume de leurs ventes (sur la base de la formule CA = P x V où P=prix de vente, V=volume de ventes). Augmenter le volume de leur vente permet par ailleurs bien souvent aux entreprises d’amortir un certain nombre de coûts fixes et de coûts au taux marginal décroissant. Ainsi, plus les acheteurs sont nombreux, plus il est facile pour l’entreprise d’atteindre ses objectifs commerciaux.
L’offre de certains établissements, notamment les musées, s’adapte généralement à ce besoin en proposant des tarifs de groupe, mais la plupart des établissements privés n’accorde de tarifs préférentiels qu’exceptionnellement et de manière informelle.

Caractéristiques des achats groupés[modifier]

Le développement exponentiel d’internet et des réseaux sociaux, depuis quelques années, a rendu possible l’émergence de l’achat groupé en ligne. Malgré la distance physique, la mise en relation des acheteurs potentiels est aisée et permet d’agréger une demande même à distance. Plusieurs tentatives ont vu le jour, avant l’éclatement de la bulle internet en 2001, sans grand succès.
Mais ces dernières années, le concept est revenu en force, d’abord à travers les forums d’utilisateurs et de consommateurs qui se mettent en relation dans l’objectif de construire une voix à plusieurs plus forte que leurs voix individuelles, puis au travers de sites d’achat groupé depuis 2008, qui négocient eux-mêmes les tarifs préférentiels avant de les proposer à leurs clients. Le concept est également repris par des sociétés françaises et n'est donc pas le seul fait de groupes multinationaux. A l'échelle locale, ces entreprises négocient avec les commerçants des tarifs préférentiels contre une opération de communication basée sur une vente événementielle de 24 à 72h.
Le concept va cependant au delà de la simple « bonne affaire ». Impliquant les logiques communautaires propres au web 2.0 avec l'intégration des réseaux sociaux dans le processus de communication, l’achat groupé permet de créer un nouveau lien social entre les acheteurs, puisqu’une solidarité se construit autour d’habitudes de consommation commune, créant ainsi un réseau social propre..

http://www.dealmango.com/ (Québécois)